Un complexe de médecine privée pas tellement loin d’un autre comolexe de médecine privée situé sur le boulevard Hamel (Complexe Medway)
Un complexe de médecine privée pas tellement loin d’un autre comolexe de médecine privée situé sur le boulevard Hamel (Complexe Medway)
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Un nouveau projet situé ici
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Selon un habitué de Québec Urbain (Franks), le projet serait démarré. On le remercie.
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FM93
Les commerçants du quartier Montcalm ne veulent plus de rue piétonne sur l’avenue Cartier, en raison des résultats décevants sur l’achalandage et les chiffres d’affaires.
Dans un courriel envoyé cette semaine à ses membres, la Société de développement commercial (SDC) explique prendre cette position à la lumière d’un sondage de la firme SOM qui démontre que 54% des 156 répondants s’opposent au retour d’une rue piétonne.
L’organisme compte environ 180 membres, mais plusieurs d’entre eux sont propriétaires de plus d’un commerce dans le secteur.
Au terme de l’expérience vécue en 2021 et 2022, 11% des répondants disent avoir noté une hausse de l’achalandage et 12% une hausse marquée ou modérée de leur chiffre d’affaires.
À l’inverse, l’aménagement d’une portion exclusive aux piétons sur l’avenue Cartier, de juin à septembre, aurait généré une baisse de chiffre d’affaires pour 48% des membres de la SDC Montcalm.
La décision de ne pas reconduire l’idée pour un troisième été prise à l’unanimité par le conseil d’administration, mais ça ne veut pas dire pour autant que le souhait sera exaucé. Toujours dans la même missive, la SDC explique que la ville a répondu que la décision finale reviendrait aux élus, après l’analyse du dossier.
(…)
Ce que dit le sondage SOM commandé par la SDC Montcalm avant la période des Fêtes
– Souhaite le retour de la rue piétonne en 2023 :
Contre : 54%
Pour : 46%
– Impact sur l’achalandage du quartier lorsque la rue est piétonne :
Baisse : 50%
Stable : 39%
Hausse : 11%
– Chiffre d’affaires de votre commerce pendant la rue piétonne:
Baisse marquée ou modérée : 48%
Stable : 40%
Hausse marquée ou modérée : 12%
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Paul-Robert Raymond
Le Soleil
Le Soleil a relevé six chantiers majeurs à surveiller en 2023 dans la région de Québec.
Nouveau complexe hospitalier CHU de Québec–Université Laval
Annoncé en 2013 et amorcé en 2017, le chantier du Nouveau complexe hospitalier CHU de Québec–Université Laval est sans contredit l’un des plus grands chantiers de la région de la capitale.
Le CHU de Québec le présente comme «le plus important projet clinique et immobilier présentement en cours de réalisation au Québec». L’établissement qui regroupe L’Hôtel-Dieu de Québec et l’Hôpital de L’Enfant-Jésus compte sur un budget global de 2,24 milliards $, répartis de 2017 à 2026.
Bien qu’il soit difficile de chiffrer le budget qui sera attribué en 2023, l’année marquera notamment la livraison d’un cyclotron à l’automne. Celui-ci permettra au CHU d’être autonome dans la production et l’approvisionnement en radioisotopes utilisés dans ses installations.
En septembre dernier, le nouveau centre de recherche en cancérologie a été livré. Le CHU procède à son aménagement pour une ouverture au printemps. Parmi les prochains développements, la pièce centrale du Nouveau complexe hospitalier, le bâtiment des soins critiques sera livré en 2026. La nouvelle aile D qui reliera l’Hôpital de L’Enfant-Jésus aux nouveaux édifices sera quant à elle livrée en juin 2024.
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Vous avez peut-être constaté que des travaux sont en cours à l’ancien Colisée du livre.
Des consultations ont eu lieu récemment au Conseil de quartier St-Jean-Baptiste , car des modifications au zonage étaient demandées. Dans le cadre de des consultations, des préoccupations autres (non en lien avec l’objet des demandes de modification) ont été soulevées, notamment en lien avec l’absence de grands logements (5 1/2), la présence de 4 cases de stationnement au rez-de-chaussée, forçant la présence d’une porte de garage au coin des rues Turnbull et Saint-Jean, et la petitesse du local commercial au rez-de-chaussée (50 m2), limitant les possibilités de commerces.
Nos équipes de professionnels à la @Ville de Québec ont retravaillé le projet avec le promoteur et des modifications significatives y ont été apportées, bien qu’il n’y avait aucune obligation en ce sens:
👉 Deux logements de trois chambres ont été intégrés
👉 Il n’y aura plus de cases de stationnement au rez-de-chaussée (donc, il n’y aura plus de porte de garage à l’intersection Saint-Jean et Turnbull)
👉 La superficie commerciale triple, passant de 50 m2 à 150 m2
👉 Il y aura un stationnement intérieur à vélos
👉 Il y aura à l’intérieur un endroit pour entreposer les bacs de matières résiduelles
Il va sans dire que je suis extrêmement satisfaite de ces améliorations. Je suis aussi extrêmement satisfaite que le travail de concertation entre les citoyens, nous à la ville et le promoteur ait porté fruit. Le dialogue et la collaboration portent fruit. 🙌
Source: Page Facebook de la conseillère Mélissa Coulombe Leduc
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Marie-Soleil Brault
Le Soleil
L’îlot Dorchester, en basse-ville de Québec, appartient désormais aux frères Trudel.
Gestionnaire du stationnement depuis près de deux ans, Trudel Alliance a acquis le lot qui s’étire entre les rues Dorchester, Sainte-Hélène, Caron et Saint-Vallier Est pour la somme de 6 M$.
Selon le rôle d’évaluation de la ville de Québec, la valeur du terrain se chiffre à un peu plus de 7 M$.
Le site de 100 000 pieds carrés appartenait à la société de portefeuille, Les Développements Dorchester Inc, une propriété de Pierre Pomerleau – également président d’Espacium, jusqu’à l’achat de Jonathan et William Trudel.
Depuis 2017, les deux entités collaborent à travers plusieurs partenariats immobiliers.
Photo: Le Soleil
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Félix Lajoie
Le Soleil
L’édifice de l’Union Bank, qui abritait jusqu’en 2019 le prestigieux restaurant Initiale, va changer de vocation. Du moins, c’est ce qu’envisagent les dirigeants de l’Auberge Saint-Antoine, qui veulent y aménager des chambres ainsi qu’un restaurant sur le toit. Le projet doit toutefois recevoir les nombreuses autorisations nécessaires à sa réalisation.
L’Auberge Saint-Antoine, établie sur la rue du même nom, compte déjà 95 chambres et deux restaurants. Les propriétaires projettent maintenant d’aménager l’intérieur du bâtiment voisin, situé à l’intersection de la rue Saint-Pierre et de la côte de la Montagne, pour ajouter 25 nouvelles grandes chambres et suites.
Mis à part ces nouvelles chambres, le projet comprend notamment la construction d’un restaurant et d’un café-terrasse sur le toit de l’édifice. Avec la vue sur le fleuve d’un côté, et sur le Château Frontenac de l’autre, les images de synthèse de ce projet ont tout pour attirer les touristes.
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Québec, le mercredi 7 décembre 2022 – Le projet d’un stationnement de 9 étages, comprenant 349 cases, présenté par le promoteur Société Immobilière Lessard à la Ville, a été récemment refusé par celle-ci, qui a modifié unilatéralement le zonage initial du terrain où devait prendre place la structure. Le projet de stationnement étagé visait à combler l’espace laissé vacant par la destruction de l’Église Saint-Cœur-de-Marie sur la Grande Allée. Au moment du dépôt de la demande de permis de construction, à la mi-octobre, la requête répondait en tous points au zonage, aux usages permis et aux normes exigées par la Ville. Quelques jours plus tard, l’administration de la Ville décidait, sans consultation publique préalable et sans avertir les propriétaires du terrain, une branche de Groupe Lessard, de retirer l’usage de stationnement permis au zonage pour ce terrain, bloquant ainsi le projet.
Le promoteur, également propriétaire du terrain via une branche du Groupe, affirme que la Ville ne peut bloquer ce projet puisqu’au moment où il a été déposé, l’usage d’un stationnement était conforme au zonage, ce qui en fait un « usage acquis » selon les procédures judiciaires déposées par les avocats du Groupe Lessard. « La Ville ne peut pas décider de changer le zonage sans raison, pour bloquer un projet qui ne fait pas son affaire », affirme Loik Lessard, président de la Société Immobilière Lessard, promoteur du projet.
UN PROJET UTILE ET HARMONIEUX
Depuis plus de dix ans, une dizaine de tentatives de faire accepter un projet d’habitation pour ce terrain, vacant depuis 2019, ont été systématiquement refusées par la Ville de Québec. Les trois seuls usages économiquement viables étant acceptés par le zonage pour ce terrain étaient un bâtiment d’habitation, un restaurant ou un stationnement, la compagnie propriétaire du terrain a donc choisi de se tourner vers un projet de stationnement étagé. Afin de respecter le cachet et l’aspect patrimonial du secteur, un projet de stationnement remarquable d’un point de vue esthétique a été déposé, en harmonie avec son voisinage.
De plus, cette proposition répond à un besoin criant dans le secteur. « Nous avons l’appui de tous les commerçants du secteur. Restaurateurs, hôteliers, tous sont d’accord pour dire qu’un stationnement est le bienvenu sur la Grande Allée, et tous ont beaucoup aimé l’aspect urbain, esthétique et adapté au milieu de nos esquisses », poursuit Loik Lessard. « C’est pas compliqué, tous les commerçants veulent des stationnements sur Grande Allée, on en a besoin » ajoute Philippe Desrosiers, propriétaire de la Brasserie INOX, située sur Grande Allée.
Le projet de la ville pour un retrait des usages stationnement et poste de taxi
Saga Saint-Cœur-de-Marie: de l’offense à l’odieux
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Louis Gagné
Radio-Canada
La généralisation du télétravail au cours des deux dernières années et demie n’a pas sonné le glas des tours de bureaux de Québec, dont le taux d’occupation est demeuré pratiquement inchangé par rapport au début de la pandémie. Si les propriétaires d’immeubles commerciaux de la capitale font meilleure figure que leurs collègues de la métropole, c’est en grande partie grâce aux milliers de mètres carrés que loue le gouvernement du Québec pour héberger ses fonctionnaires.
L’Institut de développement urbain du Québec (IDU) représente les plus importants joueurs immobiliers des grandes villes de la province. Pour son président et directeur général, Jean-Marc Fournier, il n’y a pas photo : l’immobilier de bureaux se porte mieux à Québec qu’à l’autre bout de la 20.
Il y a une position beaucoup plus favorable à Québec qu’elle ne l’est à Montréal. Au centre-ville de Montréal, les taux d’inoccupation sont passés, en début de pandémie, de 8,8 à 16,9 %. Donc, ils ont doublé, et lorsqu’on regarde la région de Québec, bien là, on est plutôt au même niveau, ou à peu près, de 8 à 8,3 %, indique l’ancien ministre et député à l’Assemblée nationale.
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