Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Commercial »

Projet Le Solstice: état des travaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 mai 2022 3 commentaires

Le projet de ce promoteur

Tout à côté, l’édifice Mérici (801 Grande Allée Ouest) semble avoir presque tous ses locataires commerciaux:

Vers l’ouest, après le 801 Grande Allée Ouest et le 871 Grande Allée Ouest se trouve le 925 Grande Allée ouest qui appartient à l’Industrielle Alliance. Les espaces commerciaux semblent tous occupés.

Enfin, le dernier édifice vers l’ouest est le 955 Grande Allée Ouest qui a fait l’objet d’un projet qui a été rejeté par les gens suite à une consultation. Actuellement, les lieux semblent être à la à à la recherche de locataires commerciaux.

On se rappelle d’une consultation sur un projet de logements. Est-ce qu’une nouvelle mouture du projet existe ? Est-ce qu’une autre mobilisation aura lieu ? Est-ce que la Ville va trouver une solution ?

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Logement locatif ou social.

Qu’advient-il du projet Humaniti ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 avril 2022 3 commentaires

Humaniti

François Bourque
Le Soleil

La pandémie, un changement de promoteur et l’entrée en scène d’un nouveau maire à Québec concourent à maintenir l’incertitude sur le projet Humaniti, anciennement Le Phare.

Le promoteur Cogir, qui a pris le relais du Groupe Dallaire à l’automne 2020, refuse pour le moment de commenter l’état des choses.

Ce n’est guère plus clair du côté de la nouvelle mairie. J’ai compris qu’il n’y avait pas eu encore de discussion ou de négociation en haut lieu entre les parties.

En campagne électorale, le candidat Bruno Marchand avait été très ferme. La façon dont le Programme particulier d’urbanisme (PPU) a été changé pour autoriser un Phare à 65 étages était à son avis une «erreur».

Ce PPU était le résultat de consultations auprès des résidents du quartier, rappelait-il alors. On n’aurait pas dû «déchirer unilatéralement» ce contrat.

Je ne sens plus aujourd’hui cette même fermeté.

La réponse officielle du cabinet est que M. Marchand souhaite toujours un projet qui respecterait la limite de 29 étages du PPU d’origine.

On estime cependant qu’il est «trop tôt pour avoir un avis éclairé». On veut d’abord approfondir et mieux comprendre le dossier.

«Dans une élection, il y a des informations qu’on n’a pas», me fait-on valoir, pour expliquer sa posture plus nuancée.

C’est comme pour les fils électriques, les arbres et la dalle de béton du tramway, finalement. En campagne, on émet des souhaits et des volontés, mais une fois au pouvoir, on découvre qu’il n’est pas toujours possible de faire ce qu’on voulait.

Avec Le Phare-Humaniti, l’administration Marchand découvre qu’elle a «hérité d’un passé complexe» et qu’elle ne «peut pas défaire les choses spontanément».

Dans quelle mesure la Ville de Québec est-elle liée par le changement de zonage imposé par l’administration Labeaume?

A-t-on évalué ce qu’il en coûterait pour dédommager le promoteur si on voulait revenir à l’ancien zonage?

On me dit que cette évaluation n’est pas faite.

Ce qui est connu cependant, c’est que si une Ville laisse travailler un promoteur pendant des mois ou des années, il risque d’y avoir une facture si on change les règles en cours de route.

Lors de ses dernières communications publiques, à l’automne 2020, Cogir disait avoir renoncé à la grande tour de 65 étages prévue au Phare.

Le promoteur évoquait plutôt quatre tours, soit 53 étages, 40 étages et deux tours de 31 étages. Il comptait y loger 2000 à 2400 résidents (condos, logements, etc.), deux hôtels (200 chambres), près de 300 000 pieds carrés de bureaux et commerces, une salle de spectacles extérieure, un jardin, etc.

On ignore pour le moment si ce plan tient toujours après une pandémie qui se prolonge, le télétravail en plein essor et l’inflation qui s’emballe.

Ce qui est sûr, c’est que des tours à 40 ou 53 étages, c’est en collision directe avec le discours de campagne du maire Marchand.

Comme pour la Rive-Sud, le transport en commun sera une condition importante pour limiter l’impact sur la circulation.

Le tramway ne passera pas à la porte de Humaniti comme il était prévu pour Le Phare, mais ce sera tout près. L’îlot restera cependant «enclavé» entre l’autoroute Henri-IV et le boulevard Laurier, ce qui limitera l’accès aux voitures et aux piétons.

Le gouvernement de la CAQ, si prompt à s’inquiéter d’un changement à la circulation sur René-Lévesque au centre-ville, n’a jamais rien dit sur ce projet massif directement dans l’entonnoir des ponts. Il y aurait pourtant de bons motifs de questionnement.

Outre l’enjeu de circulation, l’impact urbain de quatre tours d’une hauteur supérieure au «G» ou au Jules-Dallaire sur un même terrain fait réfléchir. Ce n’est pas le modèle habituellement recherché. On souhaite aujourd’hui des projets ouverts et branchés sur les réseaux piétons et de vélo du voisinage. L’environnement ingrat de l’îlot rend cela difficile.

La forte concentration de bureaux prévue à Humaniti risque-t-elle «d’aspirer» tout le potentiel économique post-pandémique de Sainte-Foy?

Cela aura-t-il pour effet de retarder d’autres projets de tours qui pourraient être intéressantes pour le boulevard Laurier si elles permettent d’occuper des terrains vacants? C’est possible, mais le contraire est possible aussi. Humaniti pourrait se faire couper l’herbe sous le pied par les autres projets qui démarreraient plus vite.

L’article

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Condo, Logement locatif ou social.

Les ponts ne savent plus où donner de la tête

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 avril 2022 Commentaires fermés sur Les ponts ne savent plus où donner de la tête

François Bourque
Le Soleil

La pandémie, l’essor du télétravail et maintenant l’explosion des coûts de construction ont forcé des promoteurs à revoir leurs plans et échéanciers. Le pas de recul ne semble cependant pas avoir freiné l’appétit pour la tête des ponts où on continue de constater l’effervescence.
Au nord comme au sud, les chantiers s’additionnent dans les entonnoirs menant aux ponts, ce qui exacerbe le retard du MTQ à faire connaître son plan de réaménagement et de remise à niveau des bretelles d’accès vieillissantes.

Que nous réservent les têtes des ponts? Le portrait n’est pas aussi précis qu’on le voudrait, mais voici ce qui se dessine dans l’immédiat.

À Lévis, le projet d’une grande tour d’une vingtaine d’étages adossée à la voie d’accès au pont Pierre-Laporte, à l’angle de la route 132, a été mis sur la glace.

Cette tour allait devenir la plus haute de tout le territoire de Lévis, le zonage municipal n’imposant aucune limite de hauteur sur ce terrain. Ce sera pour plus tard peut-être.

Daniel Leblond, directeur associé chez Humaco Stratégies, explique que la pandémie, l’explosion des coûts et le télétravail l’ont obligé à revoir les plans de Cocité Lévis.

Sa tour de 87 condos avec façade au fleuve, dont la vente était en cours, vient aussi d’être «annulée».

Le projet Cocité n’est pas abandonné pour autant. L’objectif de mixité et le nombre de pieds carrés à construire sont maintenus.

Le promoteur a cependant voulu réduire son risque en s’adjoignant de nouveaux investisseurs, en repoussant les échéanciers et en modifiant la composition des immeubles.

La mise en chantier initialement prévue il y a deux ans est maintenant programmée pour plus tard ce printemps, mais sans la tour principale. Les espaces à bureaux qui y étaient prévus seront redistribués à travers des immeubles résidentiels.

Cela va répartir le risque, vu l’incertitude de l’après-pandémie pour les bureaux, explique M. Leblond.

Les unités résidentielles «sacrifiées» pourraient éventuellement être relogées dans la grande tour, si celle-ci revient dans les plans.

Outre les bureaux, le projet Cocité comprend un hôtel de 150 chambres, 1000 unités d’habitation, une résidence pour aînés de 450 places et des commerces.

Un beau projet, à n’en pas douter, et un site exceptionnel.

Cela fait cependant beaucoup de monde et de densité pour un secteur déjà congestionné aux heures de pointe.

D’autant plus que plusieurs autres projets d’envergure sont en chantier ou s’annoncent près du pôle commercial de Saint-Romuald.

Le service d’urbanisme de Lévis n’a pas le portrait précis du «potentiel de logements» dans ce secteur. Il n’a pas de cible spécifique à atteindre ou de plafond à ne pas dépasser.

Ce qu’on sait cependant, c’est que «le marché est en feu», note le directeur du service d’urbanisme, Dominic Deslauriers.

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Voir aussi : Commercial, Condo, Logement locatif ou social.

Complexe Novi: Un nouvel édifice sur Cyrille-Duquet pour héberger cliniques et blocs opératoires privés

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 mars 2022 Commentaires fermés sur Complexe Novi: Un nouvel édifice sur Cyrille-Duquet pour héberger cliniques et blocs opératoires privés

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Le gouvernement de la Coalition avenir Québec a annoncé le recours accru au privé pour prendre en charge des patients du réseau de santé publique… Un entrepreneur de la capitale se positionne : ACERO immobilier bâtira sous peu un nouvel édifice conçu pour héberger cliniques et blocs opératoires.

«On commence la construction à la fin avril et on va livrer le bâtiment pour le mois de juin 2023», annonce au Soleil le président de l’entreprise, Benoit Raymond. «C’est un investissement assez important.» Combien? 22 millions $.

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C’EST OÙ?

Toujours pertinent de bien nous situer lorsqu’il est question d’une nouvelle construction. Donc, nous sommes sur la rue Cyrille-Duquet, tout près du croisement achalandé du boulevard Charest et de l’avenue Saint-Sacrement, en Basse-Ville.

Le terrain en friche qui sera bientôt un chantier est situé à côté du Tim Hortons et du Bureau en gros.

«On est à proximité de trois hôpitaux», fait remarquer Benoit Raymond. Le duo Jeffery-Hale/Saint-Sacrement est en haut de la côte. Aussi, on peut se rendre à l’Institut de cardiologie et de pneumologie ou au CHUL en moins d’une quinzaine de minutes [quand il n’y a pas de trafic]. «C’est un secteur qui est très central.»

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Complexe Novi

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Institutionnel.

De nouveaux projets à Fleur de Lys

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 mars 2022 4 commentaires

Une entrevue à la radio de Radio-Canada avec l’architecte Éric Rivard sur les projets à Fleur de Lys.

Le lien

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Un nouveau milieu de vie pour 4000 citoyens à Fleur de Lys

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 janvier 2022 2 commentaires

Jean-Michel Genois Gagnon
Journal de Québec

Trudel Alliance prévoit un total de 2500 logements à Fleur de Lys.

C’est un véritable nouveau quartier que Trudel Alliance prévoit ériger sur le site du centre commercial Fleur de Lys avec l’ajout à terme d’environ 2500 logements et d’un hôtel de 200 chambres. Ce sont environ 4000 citoyens qui devraient habiter ce milieu de vie au cœur de la ville.

Ce développement immobilier, qui pourrait devenir l’un des plus importants à être réalisés à Québec, devrait sortir de terre sur une période de sept ans. La valeur de cette métamorphose est estimée à plus de 750 millions $.

À l’automne dernier, Trudel Alliance avait levé le voile sur la première phase de son chantier, visant à revoir le visage urbain de Vanier et à casser l’îlot de chaleur dans ce secteur, dans le cadre d’une consultation publique.

Lors de cette présentation, la direction avait évoqué la construction d’une résidence pour personnes âgées de 400 logements, d’un complexe locatif de 400 logements et d’une tour de 20 étages de 160 à 180 appartements avec un espace commercial au rez-de-chaussée. La livraison est prévue pour 2023.

La direction s’était alors engagée à replanter un arbre pour chaque logement. Les promoteurs ont affirmé à plusieurs reprises vouloir réaliser un projet mixte à l’échelle humaine et un milieu de vie qui traversera le temps. Des parcs, des rues et une piste multifonctionnelle (course, marche et vélo) de 1,4 km figurent dans le plan.

Déjà des travaux

Certains travaux sont déjà commencés depuis plusieurs semaines. Les demandes de modifications au zonage ont été approuvées pour la première phase qui prévoit aussi l’aménagement d’une rue qui scindera le centre commercial à la hauteur de l’enseigne du restaurant East Side Mario’s.

Si tout va bien, la direction de Trudel Alliance vise une annonce au printemps. Fleur de Lys demeurera ouvert pendant la durée des travaux. Pour les autres phases, selon nos informations, les promoteurs devront avoir de nouvelles discussions avec la Ville pour obtenir les autorisations et les modifications au zonage nécessaires.

Sous forme locative

Les logements, qui passeront du studio à la maison de ville, devraient être offerts sous forme locative. Une portion commerciale de Fleur de Lys sera conservée et des édifices de bureaux seront construits.
Les immeubles varieront entre 4 et 16 étages. Selon les plans, Trudel Alliance prévoit ériger une seule tour de 20 étages. La notion d’agriculture urbaine devrait également être intégrée au projet.

Joint par Le Journal, le groupe immobilier d’ici, qui est propriétaire de Fleur de Lys depuis 2018, a préféré limiter ses commentaires pour le moment.

« Notre projet à Fleur de Lys laissera une grande place aux espaces verts. Nous souhaitons aussi que notre projet soit un exemple de requalification de site urbain dévitalisé au Québec », a indiqué le vice-président, Jonathan Trudel.

L’article

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Logement locatif ou social.

Îlot Dorchester: retour à la case départ

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 janvier 2022 4 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Pendant des années, l’entreprise Kevlar a annoncé l’imminence d’un chantier d’envergure sur un stationnement à ciel ouvert de Saint-Roch : l’îlot Dorchester. Un petit quartier allait naître dans la Basse-Ville de Québec : immeuble de bureaux, près de 200 logements dans trois bâtiments, des espaces verts, des commerces… Oubliez ça!

Nous sommes le 22 septembre 2016. Dans Le Soleil, la collègue Valérie Gaudreau — aujourd’hui patronne de la rédaction — nous apprend que Kevlar et la Ville sont sur la même longueur d’onde. La plaie d’asphalte sera éliminée.

Le lot qui s’étire entre les rues Dorchester, Sainte-Hélène, Caron et Saint-Vallier Est sera transformé, promet-on. «Kevlar, dans un horizon à court terme, est déterminée à développer le site de l’îlot Dorchester afin de faire disparaître le stationnement de surface», annonce l’entreprise.

Exactement un an plus tard, Le Soleil révèle que les plans se précisent et que le budget de construction oscillera autour de 150 millions $. «On veut vraiment développer l’endroit», assure René Bellerive, président de Kevlar.

Puis les années ont passé…

Nous avons donc voulu savoir ce qu’il advient du rêve. Nous avons contacté le siège montréalais de Kevlar à plusieurs reprises, pour finalement apprendre que l’entreprise s’est presque complètement retirée du marché de la capitale.

L’îlot Dorchester n’est plus dans son portefeuille. «Kevlar n’a pas été de l’avant, car le terrain a été vendu», nous a expliqué Sarah Viau, commise comptable et adjointe administrative. «Ça ne nous appartient plus.»

En fait, la compagnie n’a plus qu’un projet immobilier dans la capitale. «Nous avons seulement les Appartements Bacc situés au 2400, chemin Sainte-Foy.»

Quartier Mozaïque

Ceux qui suivent la scène immobilière pourraient nous interpeler : «Mais Kevlar n’était-elle pas partenaire dans le gros “développement” en réalisation dans Lebourgneuf, le Quartier Mozaïque, ce chantier de plusieurs centaines de millions de dollars ?»

Vous avez raison ! Kevlar devait ériger les copropriétés Opale, un des immeubles du complexe. Vérification faite, Constrobourg est maintenant seul maître des destinées de Mozaïque.

L’îlot Dorchester couvre 9014,60 mètres carrés, soit près de 100 000 pieds carrés.

Depuis un petit bout de temps, le journaliste avait remarqué la présence de nouveaux agents de sécurité sur l’îlot Dorchester. L’un d’eux nous avait confirmé pour qui il travaille : Trudel Sécurité. Trudel comme dans William et Jonathan, les frères, anciens policiers devenus investisseurs en immobilier.

Voilà pourquoi nous avons appelé avec une insistance certaine chez Kevlar. Nous voulions savoir quels liens y a-t-il entre les deux groupes…

Après de nombreux échanges, on nous a confirmé la vente de l’îlot Dorchester. À qui ? Un nom est récemment apparu dans les registres publics: Pierre Pomerleau, à la fois président de l’entreprise de construction Pomerleau et du fonds immobilier familial Espacium.

C’est d’ailleurs Espacium qui a raflé l’îlot Dorchester.

Mariage

Rappelons que le fonds privé Espacium et les frères Trudel se sont mariés en 2017. Ils sont partenaires dans de nombreux projets au sein de Trudel Alliance — l’entreprise pilote notamment la transformation du centre commercial Fleur de Lys.

L’article

Un billet précédent en 2017

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.

Chantiers 2021 : rétrospective dans Saint-Roch

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 janvier 2022 3 commentaires

Jean Cazes
monsaintroch

Plusieurs chantiers immobiliers ont progressé ou débuté en 2021 dans Saint-Roch, incluant à l’écoquartier de la Pointe-aux-Lièvres. D’autres projets sont sur le point de démarrer cette année. En voici un tour d’horizon en photos. Voici les principaux, en bonne partie résidentiels, qui ont retenu notre attention ces derniers mois. La galerie en fin d’article présente les rendus de la plupart d’entre eux.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo, Logement locatif ou social.

Le Fasken : immeuble presque complété

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 30 décembre 2021 Commentaires fermés sur Le Fasken : immeuble presque complété

Le projet Fasken, aux limites de Saint-Roch et du Vieux-Port est à veille de se terminer. L'extérieur semble terminé et le travail semble se faire à l'intérieur.

Projet Édifice Fasken: état des travaux.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Commercial.