Le site internet de ce projet réalisé par la Société Immobilière Huot qui en a également mené à terme plusieurs autres
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Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Condo, Logement locatif ou social.
Québec Urbain en a parlé dans ce billet.
Le projet a maintenant son site internet
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Condo.
Le site du courtier qui offre aussi d’autres appartements du même projet, dont celui-ci
Appel au vandalisme dans le quartier St-Jean-Baptiste Radio-Canada
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo.
Condolegal.com
10 juillet 2018 – Royal LePage a dévoilé sa dernière Étude sur le prix des maisons, ainsi que ses prévisions du marché à Québec, où la valeur des propriétés a connu une faible hausse de 2 % au second trimestre de 2018, par rapport à la même période en 2017.
L’ensemble du secteur résidentiel a bénéficié de cette hausse de prix, à l’exception de la copropriété, dont le prix médian a faibli de 0,3 %, pour atteindre 241 309 $. En revanche, les ventes de condos se sont appréciées de 10,5 %, alors qu’elles avaient reculé de 12,3 %, année après année, lors du premier trimestre de 2018.
L’influence des condos locatifs
Bien que les ventes de condos aient augmenté, « La revente d’appartements demeure influencée par l’offre des condos locatifs. Ce que peu de gens savent, c’est que pendant les cinq premières années d’une nouvelle construction, les promoteurs immobiliers peuvent augmenter les loyers à leur guise, sans être assujettis aux plafonds d’augmentations imposés par la Régie du logement », observe Michèle Fournier, vice-présidente, Royal LePage Inter-Québec.
Plusieurs premiers acheteurs succombent aux offres alléchantes dans le domaine des condos locatifs, mais les avantages d’épargner et d’investir dans un espace qui leur appartiendra peu représenter, dans plusieurs cas, une solution beaucoup plus viable. Pour cette raison, ces consommateurs pourraient se tourner vers l’achat d’une copropriété, advenant que le loyer soit équivalent ou plus onéreux qu’une hypothèque.
Moratoire sur Airbnb
Le moratoire sur les résidences touristiques de type Airbnb contribue, également, à amenuiser l’intérêt d’acquérir un appartement en copropriété, principalement dans les quartiers situés à proximité des attractions touristiques, par exemple sur Grande Allée, dans le quartier le Petit Champlain et dans le Vieux-Québec.
Le prix des condos de luxe sont eux aussi demeurés stables, ce qui procure aux professionnels une fenêtre d’opportunité très intéressante. « Il s’agit du segment offrant le meilleur rapport qualité-prix en ce moment », souligne Michèle Fournier.
Ajustement de l’évaluation municipale à venir
Le dernier rôle foncier triennal a été surévalué à Québec, si bien que plusieurs propriétés se sont vendues à des prix inférieurs à l’évaluation municipale. Le prochain rôle, qui sera publié cet l’automne, devrait être plus réaliste et donner l’heure juste aux vendeurs et acheteurs.
Voir aussi : Condo, Publications & ressources Internet.
Nos maisons de ville haut de gamme, ceinturées par le Parc de la Pommeraie, sont situées à deux pas de la très vivante rue du Campanile, tout en étant à proximité de plusieurs services et transports en commun.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Condo, Résidentiel.
* Tableau: Chambre immobilière
François Cattapan
Québec Hebdo
STATISTIQUES. Avec quelque 2084 transactions conclues au 2e trimestre 2018, la Chambre immobilière de Québec (CIQ) estime que la région de la Capitale vient de connaître son meilleur printemps depuis 2012. La hausse est de l’ordre de 6% par rapport à la même période l’an dernier.
«Après deux trimestres marqués par la stabilité, les ventes ont finalement rebondi au cours de la période d’avril à juin 2018, note Martine Bélanger, directrice générale de la CIQ et porte-parole de la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) pour cette région. Il s’agit d’un sommet d’activité en six ans pour cette période de l’année.»
Après deux trimestres marqués par la stabilité, les ventes ont finalement rebondi au cours de la période d’avril à juin 2018.
D’après les données compilées par la CIQ, chacune des trois principales catégories de propriétés a vu son nombre de transactions augmenter par rapport à la même période un an plus tôt. L’unifamiliale a enregistré une croissance de 6% (1 452 ventes), tandis que la copropriété (469 ventes) et le plex (162 ventes) ont connu des augmentations respectives de 7% et de 12%.
Sur le plan géographique, 1454 propriétés résidentielles ont changé de mains dans l’agglomération de Québec (+7%), 275 dans la périphérie Nord (+1 %) et 355 sur la Rive-Sud (+7%).
Il ressort également qu’à l’échelle de la région de Québec, la moitié des maisons unifamiliales ont été vendues à plus de 260 000$, soit une légère hausse de 1% par rapport à la même période un an plus tôt. Il s’agit d’une cinquième hausse trimestrielle consécutive à ce chapitre.
Par ailleurs, le prix médian des copropriétés (190 000$) est quant à lui demeuré inchangé, tandis que celui des petits immeubles locatifs de deux à cinq logements (291 250$) a connu la plus forte augmentation, à +4%.
Enfin, le nombre de propriétés à vendre sur le système Centris des courtiers immobiliers a légèrement augmenté au deuxième trimestre de 2018 (+2%), avec en moyenne 7 826 inscriptions en vigueur d’avril à juin. Seul le plex a affiché une progression plus marquée des inscriptions en vigueur (+6%), alors que l’offre d’unifamiliales et de copropriétés est demeurée relativement stable (+1%).
Voir aussi : Condo, Résidentiel.
Jean-Michel Genois-Gagnon
Le Soleil
La Ville de Québec prévoit autoriser l’hébergement collaboratif de type Airbnb ou HomeAway sur l’ensemble de son territoire. Le locateur pourra toutefois louer seulement sa résidence principale. Un plan d’action sera mis en branle dès cet automne.
Jeudi, après des mois de discussions, le groupe de travail sur l’hébergement touristique, composé de propriétaires d’hôtel, d’utilisateurs d’Airbnb et de responsables de l’industrie, a présenté ses recommandations sur l’hébergement collaboratif et la croissance des plateformes de réservation en ligne.
Parmi les 11 recommandations visant à mieux encadrer l’industrie, l’une d’entre elles consiste à autoriser l’hébergement collaboratif, soit pour une période de 31 jours ou moins, partout à Québec. En contrepartie, le propriétaire ou le locataire devra limiter son offre à sa résidence principale.
Par exemple, il ne pourra pas afficher sur une plateforme de type Airbnb son condo au centre-ville s’il réside en permanence dans une maison à Sainte-Foy. Il devra également prouver qu’il s’agit bel et bien de sa résidence principale s’il veut obtenir les autorisations nécessaires.
Lorsqu’il se conformera à la réglementation, il obtiendra un numéro d’enregistrement unique qu’il devra afficher par la suite sur la page de son annonce.
Dans le cas d’un immeuble à logements ou à condos, l’utilisateur devra obtenir l’approbation de son syndicat de copropriété ou du propriétaire.
Pour inciter les utilisateurs à se conformer à la loi, le comité a conseillé à l’administration Labeaume d’offrir un procédé «simple et efficace» d’enregistrement en ligne ainsi qu’un tarif à un «coût raisonnable».
Quant aux autres types d’hébergement commercial, autre que pour une résidence principale, les propriétaires devront se soumettre à l’ensemble «des obligations réglementaires légales et fiscales» comme pour un hôtel. Ils devront obtenir les permis nécessaires sous peine de sanctions ou d’amendes.
Actuellement, en cas d’infraction, les amendes varient entre 2500 $ et 25 000 $ par jour pour une personne et 5000 $ à 50 000 $ par jour pour une entreprise.
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Entre 2015 et 2017, le nombre de chambres louées via Airbnb dans la région est passé de 977 à 4826. Comme quoi, il y a un engouement.
Voir aussi : Condo, Logement locatif ou social, Résidentiel, Tourisme.
Simon Diotte
Les Affaires
Dans les prochaines années, la propriété affrontera un vent de face à cause de la remontée déjà entamée des taux d’intérêt, le resserrement des règles hypothécaires et la concurrence, de plus en plus vive, du locatif neuf, en pleine révolution. Dans ce marché en mutation, vaut-il mieux acheter ou louer ?
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Dans la région de Québec, cette tendance est plus forte encore. On y a construit deux fois plus de logements locatifs (2 590, excluant les RPA), que de condos (1 195), indique la SCHL. « À l’échelle de la province, les promoteurs qui veulent développer leur terrain n’ont pas le choix de se tourner vers le segment locatif », constate Vincent Shirley, directeur développement immobilier au Groupe Altus, une firme-conseil.
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Oubliez les tours à l’apparence soviétique et à l’insonorisation déficiente, les nouveaux complexes « À louer » sont des copier-coller de la formule condo. Même finition, même emplacement de choix et même commodités, du toit-terrasse au gym en passant par les espaces de socialisation. L’unique différence, selon les consultants en immobilier : les locataires préfèrent des logements de plus petits gabarits. « C’est une tendance qui ne fait que commencer », affirme Pierre Moffet, promoteur de Quartier QB et de La Suite, deux immenses complexes locatifs dans l’arrondissement Sainte-Foy—Sillery-Cap-Rouge, à Québec.
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À l’échelle de la province, l’appétit pour le condo a généré une hausse du prix médian de 3 % sur le marché de la revente en 2017, à même hauteur que les unifamiliales et les plex. La Fédération des chambres immobilières du Québec prévoit une hausse de prix de même ampleur en 2018. Il existe cependant des disparités régionales. Une baisse de prix de 1 % a été enregistrée dans la région de Québec, où le marché de l’emploi et le solde migratoire sont plus faibles que dans la métropole. La chute, qui dure depuis quelques années, devrait s’arrêter en 2018, avec une stabilisation des prix.
Voir aussi : Condo.
Dans ce billet de mai 2017, Martin Otis soulignait qu’il n’y avait aucune nouvelle du projet. Voici des photos prises ce jour:
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo.
Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec
Pour la première fois en plus de 20 ans, la majorité des propriétaires de condos et même de certaines maisons, à Québec, doivent s’attendre à une baisse de leur évaluation municipale cet automne.
Le cycle haussier amorcé à la fin des années 1990, marqué par des bonds spectaculaires de la valeur foncière, a fini par s’essouffler dans la Vieille Capitale.
De nombreuses propriétés se transigent désormais sous l’évaluation municipale, une réalité qui se répercutera inévitablement dans le prochain rôle d’évaluation 2019-2020-2021, lequel tentera de se coller le plus possible à la valeur marchande.
Précisons que les valeurs inscrites sur le prochain rôle refléteront les conditions du marché au 1er juillet 2017 et ne tiendront pas compte des performances encourageantes de l’année 2018.
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Deux firmes d’évaluation privées (Groupe Altus et JLR) confirment la tendance en se basant notamment sur les données accessibles au Registre foncier.
« On s’attend à ce que les copropriétés diminuent parce que ça a été un secteur difficile à Québec. Il y a eu un peu trop de construction dans les dernières années et il y avait un surplus », observe l’économiste Joanie Fontaine de la firme JLR, laquelle s’attend à une baisse moyenne de 5,9 % du prix des condos.
« En 2017, c’était la quatrième année de suite où on avait une baisse de prix de la copropriété dans la région de Québec », expose Paul Cardinal, directeur de l’Analyse du marché à la FCIQ. Le site web DuProprio a lui aussi constaté une baisse du prix médian de 4 % sur les condos entre 2014 et 2017.
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L’évaluation municipale n’est qu’une « information » parmi d’autres, une « ligne directrice » dont il faut relativiser l’importance selon Simon Lafrenière, agent chez Via Capitale.
Les courtiers comme lui rappellent souvent à leurs clients qu’il faut prendre l’évaluation municipale avec un grain de sel et ne pas la confondre avec la valeur marchande.
« Le courtier va beaucoup plus se baser sur l’information qu’il a avec les maisons comparables vendues au cours d’une même année. Prenez deux maisons identiques, dans le même secteur, sur lesquelles on a fait les mêmes travaux ; dans un cas, on a demandé un permis, dans l’autre, non. Vous allez comprendre que l’évaluation municipale va être très différente, mais la valeur marchande est pourtant la même », illustre-t-il, invitant les gens à se méfier du chiffre inscrit au rôle.
Voir aussi : Condo, Québec La cité, Résidentiel.