Voir aussi : Environnement, Message d'intérêt public.
Jonathan Lavoie
Radio-Canada
Au cours des dix prochaines années, le gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) compte augmenter ses investissements dans le réseau routier de la Capitale-Nationale de 32,5 %. À l’inverse, avec un projet de transport structurant maintenant sur la glace, le plan d’investissement prévoit une baisse des dépenses en transport collectif de 9,5 %.
Dans le détail, le budget alloué pour la bonification des parcs d’autobus a baissé de 6 % dans le budget présenté mardi, pour un total de 3,25 milliards de dollars sur 10 ans. Le budget pour le maintien des actifs a quant à lui chuté de 44 %, à 146 millions de dollars.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Environnement, Transport.
Maxime Couture
Le Devoir
Le spectre de l’acceptabilité sociale n’est plus l’apanage des projets bulldozer de développement immobilier sauvage ou de construction d’une nouvelle usine émettant des particules dangereuses. Il s’étend désormais à des initiatives pour lesquelles jadis nous tenions pour acquis qu’elle serait naturelle.
L’ère où la construction d’une école, d’un parc ou d’une usine de traitement des eaux était accueillie avec unanimité est révolue. Aujourd’hui, chaque projet, indépendamment de sa taille ou de son envergure, est scruté, analysé et, souvent, contesté. L’unanimité d’un projet est devenue une chimère, car à chaque projet son opposant, son chialeux. Il y aura toujours quelqu’un pour trouver qu’on a trop mis de cannelle ou pas assez de sucre dans le projet. Chaque proposition est un appel à un dialogue, parfois conflictuel, parfois constructif, mais devenu nécessaire.
La polarisation n’est plus l’exception, elle est devenue la règle. Cependant, comme communauté, nous avons le devoir de transformer le réflexe de désaccord en collaboration. Un projet doit s’insérer dans un milieu, une communauté, un écosystème. Ignorer cette réalité, c’est aliéner des alliés potentiels et exacerber des oppositions.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Architecture urbaine, Consultation publique, Environnement, Hauteur, Qualité et milieu de vie, Urbanisme.
Source : Flavie Sauvageau, Ici Québec, le 2 octobre 2023
L’agglomération de Québec a identifié 39 km2 de milieux humides jugés « d’intérêt » sur son territoire. Son objectif est de conserver 98 % de cette superficie, ce qui équivaut à 38 fois les plaines d’Abraham.
Les conseillères municipales Marie-Josée Asselin et Marie-Pierre Boucher ont présenté lundi matin le projet de Plan régional des milieux humides et hydriques (PRMHH) de l’agglomération de Québec, qui comprend aussi les villes de L’Ancienne-Lorette et de Saint-Augustin-de-Desmaures.
On ne peut pas se permettre aujourd’hui de voir la ville comme on la voyait il y a 20 ans dans son développement. Il faut absolument prendre en considération les services écologiques qui sont rendus par [les milieux humides et hydriques], explique Marie-Josée Asselin.
Le dépôt de ce plan est une exigence du gouvernement provincial. D’ici décembre, toutes les municipalités régionales de comté (MRC) devront avoir déposé un plan pour protéger leurs milieux naturels et humides.
Voir aussi : Environnement.
Source : Raphaël Beaumont-Douin, Ici Québec, le 2 juillet 2023
Une partie du terrain entourant l’école primaire Saint-Fidèle dans Limoilou subira une cure de verdissement et de déminéralisation.
PHOTO : RADIO-CANADA / RÉGIS PEUGNET
La Ville de Québec poursuit son offensive afin de verdir des espaces sur son territoire et ainsi bonifier sa canopée.
La semaine dernière, l’administration municipale a annoncé des investissements de 114 000 $ pour réaliser sept projets de verdissement et de déminéralisation sur des terrains qui ne sont pas détenus par la Ville.
Les écoles Saint-Fidèle, Saint-Michel, le CHSLD Christ-Roi, l’Université TÉLUQ et le VITAM, centre de recherche en santé durable recevront chacun entre 17 000 et 20 000 $ pour les aider à verdir et déminéraliser une partie de leurs aménagements.
Voir aussi : Arbres, Environnement, Nouvel urbanisme, Qualité et milieu de vie, Urbanisme.
Source : Ville de Québec
Cette démarche vise à connaître les principaux usages récréatifs pratiqués sur le lac et la rivière Saint-Charles (de la prise d’eau Château d’eau jusqu’au Marais du Nord). La Ville de Québec souhaite consolider son offre de services récréatifs tout en protégeant sa principale source d’eau potable.
Les résultats du questionnaire seront transmis à un consultant externe pour analyse et guideront l’élaboration du plan de gestion des usages récréatifs de la rivière et du lac Saint-Charles.
Vous avez jusqu’au 4 septembre 2023 pour répondre au questionnaire.
Merci de votre participation.
Service de l’interaction citoyenne
Ville de Québec
Voir aussi : Environnement, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie.
Le 30 septembre 2022, le gouvernement du Québec a acquis les terres des Sœurs de la Charité de Québec, dans les arrondissements de Beauport et de Charlesbourg.
L’achat des quelque 203 hectares de terres d’une qualité exceptionnelle est l’occasion unique de créer un parc d’innovation agricole dans la région de la Capitale-Nationale. Ce projet, communément nommé l’Agro-parc, est porté par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ).
Le projet d’Agro-Parc sera voué à une agriculture novatrice, durable, garante de l’autonomie alimentaire du Québec, créatrice d’emplois et génératrice d’investissements.
Une consultation en deux phases
Le projet d’Agro-parc se développera en collaboration avec les acteurs du milieu et la population de la ville de Québec. Il a donc été prévu que les consultations se déroulent en deux phases distinctes.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement Beauport, Consultation publique, Environnement, Parc.
Une employée de la ville est venue me livrer ce nouveau bac, ce samedi 29 avril. Je vais commencer la collecte des résidus alimentaires…
Voir aussi : Environnement, Message d'intérêt public.
Québec, le 13 mars 2023 – Après avoir pris connaissance des constats établis par la Direction de la santé publique dans son rapport Mon environnement, ma santé – Volet Qualité de l’air extérieur, la Ville de Québec accueille positivement ses recommandations.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Environnement, Message d'intérêt public.
Émilie Pelletier
Olivier Bossé
Le Soleil
Contrairement à plusieurs projets publics qui subissent les contrecoups d’un marché en surchauffe, la promenade Samuel-De Champlain, elle, s’en sort indemne. Ou presque. Elle sera livrée dans les délais et budgets révisés en 2020, mais avec quelques ajustements aux plans initiaux.
L’été 2023 marquera, comme prévu, la fin du chantier sur le boulevard Champlain, destiné à l’inauguration de la phase 3 de la promenade Samuel-De Champlain, confirme la Commission de la capitale nationale du Québec (CCNQ) au Soleil.
D’ici là, il reste encore à finaliser les travaux de stabilisation de la falaise déjà entamés, tout comme la construction du bassin de baignade et du miroir d’eau, entre autres. Les équipes devront encore terminer «quelques travaux d’aménagement» à la fonte des neiges, tandis que le Canadien National (CN) vise le printemps pour terminer le déplacement de la voie ferrée dans le secteur.
Certaines portions de cette nouvelle section de la promenade urbaine, qui s’étire sur 2,5 km entre la côte de Sillery et la côte Gilmour, sont accessibles depuis l’an dernier. Toutes le seront pour la saison estivale à venir. Plage urbaine, bassin de baignade, miroir d’eau avec jets, trois stations thématiques et pavillons de services, accès au fleuve, piste cyclable, sentiers piétonniers et aires de détente : toutes les installations verront le jour, assure la CCNQ.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement La Cité-Limoilou, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Environnement, Histoire, Parc, Projet - Promenade Samuel de Champlain.