Avec plus de 500 000 habitants, la Ville de Québec fait partie du peloton de tête des villes de moyenne taille en Amérique du Nord, tant pour la qualité de ses milieux de vie que pour sa vitalité et le niveau de vie élevé de la population. Elle est l’exemple d’une collectivité moderne, cité éducative axée sur le développement et l’innovation, compétitive au plan international, exemplaire au plan de la gestion de l’environnement et de la mise en valeur de ses spécificités de capitale, de grande ville francophone d’Amérique, de capitale de la nordicité en Amérique du Nord et de destination touristique majeure, à la fois exotique et d’une grande authenticité. (Extrait)

Le son du Leaf

* Merci à un lecteur (Jacques Martin)

François Bourque
Le Soleil

(Québec) Le maire Labeaume sonne le glas du rêve américain

La fin de ce qui fut le modèle de développement dominant depuis la dernière grande guerre : celui du bungalow au bout de l’autoroute et de son entrée de garage généreusement nettoyée à la «hose».

Dans un discours qui fera époque, le maire de Québec annonce son intention de mettre un «frein à l’étalement urbain» et de faire une «meilleure utilisation de notre territoire».

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Vendre la densification par l’eau

Réaction des maires de la MRC Jacques Cartier

La Ville de Québec devra s’entendre avec ses voisins

Québec, le 31 mai 2010 – Le maire de Québec, M. Régis Labeaume, a dévoilé aujourd’hui sa vision pour le développement durable de Québec. Cette vision rend compte d’une réflexion et de décisions en matière d’aménagement, d’urbanisation et de protection des bassins versants des prises d’eau de Québec.

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L’étalement urbain

Gestion de l’eau potable

D’autres informations

Source : Radio-Canada

L’Association des riverains du lac Saint-Charles s’impatiente face au problème des résidences du chemin de la Grande-Ligne dont les fosses septiques sont non conformes. Une vingtaine de fosses septiques polluent le lac Saint-Charles, une source d’eau potable pour 250 000 habitants de la région.

L’Association souhaite que la Ville de Québec débloque les fonds pour stopper cette source de pollution. La Ville a proposé de raccorder les résidences concernées au réseau d’égouts municipal. Toutefois, les propriétaires ont rejeté cette proposition, car ils auraient dû payer 75 % de la facture, ce qui aurait représenté, pour certains, des dizaines de milliers de dollars.

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Le Lac St-Charles sur Google Maps en relation avec la région de Québec.

Source : Luc Fournier, Québec Hebdo, le 11 mai 2010

Fondaction CSN a procédé ce matin à l’inauguration officielle de son nouvel édifice dans le cadre de son 15e anniversaire. L’édifice à bureau de six étages est doté d’une structure en bois lamellé-collé et est conçu en vue d’une certification LEED. C’est le plus haut du genre sur tout le continent.
L’inauguration concorde aussi avec la première Journée du matériau bois, mise sur pied par la Coalition BOIS Québec. L’avantage d’utiliser le bois réside entre autres dans sa capacité à incarcérer le carbone. Ainsi, quelque 1350 tonnes de CO² se retrouvent ainsi emprisonnées dans cette charpente de bois, du carbone autrement présent dans l’air. De plus, le bois utilisé provient d’entreprises québécoises.

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Le dernier billet en date sur cet immeuble.

Et selon un article de Radio-Canada.

Le maire de Québec « rêve en bois ».

Un site que j’ai découvert par hasard, par contact et qui est une vitrine d’un mouvement en cours dans plusieurs villes du monde, donc entre autres au Québec.

C’Est une initiative de transition mise sur pied au niveau local par des citoyennes et citoyens désirant agir au sein de leur communauté afin de réduire sa vulnérabilité (augmenter la résilience) face aux impacts négatifs découlant des changements climatiques et du pic pétrolier. Touchant des sujets tels
le transport, l’aménagement urbain, l’économie et aussi bien le côté social.

Site Québécois, site Mondial.

Tant qu’à être dans le même sujet, article de Cyberpresse sur le sujet du transport dans les nouveaux quartiers résidentiels à naitre ! (Sherbrooke) ICI

Peut-on s’inspirer, de cet initiative pour avoir une ville meilleur ?
.

Source : Marie-Josée Nantel, Le Soleil, le 8 mai 2010

(Québec) Afin d’embellir leur quartier, une quarantaine de bénévoles ont participé samedi à une grande corvée de nettoyage dans l’îlot des tanneurs, dans le quartier Saint-Roch.

L’activité a été organisée par Frédéric Dutil, résidant du quartier depuis cinq ans, mais aussi président de Verdir et divertir. Créé il y a à peine deux mois, cet organisme à but non lucratif vit au rythme des préoccupations des citoyens.

«Quand j’ai lu le Plan directeur du quartier Saint-Roch, j’ai retenu deux choses: que les gens souhaitaient verdir leur quartier et se divertir avec plus d’activités culturelles», explique M. Dutil.

Il n’en fallait pas plus pour que cet écologiste dans l’âme mobilise une vingtaine de résidants du quartier, mais aussi 25 jeunes du corps de cadets 2630 de Saint-Malo.

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Que dire de plus que « Merci » et un gros « Bravo » à ces gens qui prennent leur rôle de citoyen à coeur. Chaque petit geste compte.

Pierre-André Normandin
Le Soleil

(Québec) Une partie du boisé Saint-Émile sera protégée par la Ville de Québec. Mince victoire pour les citoyens qui réclamaient la préservation du secteur puisque l’essentiel du terrain verra un quartier résidentiel pousser, confirme François Picard, responsable de l’aménagement du territoire de l’administration Labeaume.

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Un billet précédent

Source : Luc Fournier, Québec Hebdo, le 4 mai 2010

La Ville de Québec est à connecter ensemble ses réseaux d’aqueduc. Elle estime qu’ainsi, la demande d’eau potable sur le lac Saint-Charles et sa prise d’eau, à Château-d’Eau, diminuera au profit de l’usine de traitement d’eau de Sainte-Foy.
Le principal avantage, selon la directrice de l’APEL, sera que le débit de la rivière, en aval de la prise d’eau, sera plus grand. Ainsi, les riverains et les gens qui profitent des nouvelles infrastructures sur les rives de la Saint-Charles pourront mieux en profiter.

Les loisirs comme le canot et le kayak pourront être praticables de façon plus constante. Autant la quantité augmentera, autant la qualité s’en verra améliorée, la dilution des rejets d’égouts pluviaux se faisant de meilleure façon.

l’article

Il y a quelques années, Québec recevait un de ses cadeaux à l’occasion de son 400e.