Source : Diane Tremblay, Le Journal de Québec, 1er octobre 2010
S’il avait à déménager, un répondant sur deux opterait pour la banlieue (49,3 %). La ville remporte 27 % de la faveur populaire comparativement à 22 % pour le milieu rural.
« La banlieue, c’est un concept qui est né du meilleur des deux mondes. On y trouve la proximité du monde urbain, qui offre des activités, et le côté paisible et tranquille de la campagne », a expliqué M. Martin Dubé, président d’Axiome. En dépit des coûts engendrés par l’étalement urbain, la préférence va vers la maison individuelle et au petit lopin de terre, même s’il faut pour cela payer le gros prix.
« C’est ça, la réalité. Ça rentre directement en conflit avec les principes de développement durable dont on n’arrête pas d’entendre parler. On veut que les gens restent en ville et qu’ils habitent des condos. On veut les limiter, mais les gens résistent à ça », ne s’est pas gêné pour dire Me Daniel Bouchard, avocat associé de Lavery, qui était invité à participer, hier, à Québec, à un forum sur les enjeux d’avenir pour le développement des municipalités.
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