Dans le site Web, on écrit: « La Ville de Québec innove: le boulevard urbain prolongeant Du Vallon, est exemplaire par son respect de l’environnement et de contrôle de la pollution. » Il faut bien le dire, l’impact anticipé sur les boisés du parc de l’Escarpement des projets immobiliers en cours dans l’axe du boulevard Robert-Bourassa suscitent toujours des craintes bien légitimes exprimées notamment dans ces deux billets…

Pour ma part, j’ai bien hâte de découvrir bientôt l’ensemble de ce vaste espace vert qui a pour principal origine l’action d’un groupe de citoyens des quartiers Haute-Saint-Charles et des Rivières: l’UCDR.

Source: ÉcoPromenade des rivières.

La «ÉcoPromenade des rivières» est un parc récréatif, ludoéducatif, animé et sécuritaire qui a pour mission de promouvoir les actions en faveur du développement durable, individuelles et collectives, publiques ou privées, auprès des habitants des quartiers Nord-Ouest de Québec. Ses 12 jardins thématiques proposent des gestes concrets pour améliorer l’équilibre écologique, le progrès social, la diversité culturelle ou la viabilité économique. (…)

Physiquement, la «ÉcoPromenade des rivières» est un chemin piétonnier de 4.2 kilomètres, en parallèle au boulevard, entre les boulevards Bastien et Lebourgneuf et se prolongeant dans le Parc de l’Escarpement. (…)

L’Éco-promenade vise à être en 2010, un modèle international de parc thématique provocant une modification de comportements des visiteurs, en appliquant et en présentant des actions concrètes individuelles et collectives, dans les 3 volets du développement durable. (…)

À consulter, entre autres billets: Parc de la Montagne-des-Roches: chasse photo aux champignons!.

Source: Maison de Lauberivière.

Afin de souligner le 25e anniversaire de la Maison de Lauberivière, Nous avons le plaisir de vous convier à l’événement « Portes ouvertes 25 ans d’accueil à Lauberivière » qui se tiendra vendredi le 2 mai de 9 h à 12 h et le samedi 3 mai de 13 h à 16 h.

Afin de mieux faire connaitre ses services et briser les préjugés à l’égard des plus démunis, le personnel de la Maison de Lauberivière vous invite à venir les rencontrer pour une visite guidée de tous les secteurs. Vous serez étonné de constater la gamme des services sociaux qui sont offerts par cette œuvre humanitaire profondément ancrée dans le paysage de Québec.(…)

À consulter aussi, ce billet: Lauberivière fait de plus en plus appel au privé.

Oui, la misère existe à Québec; elle est plus répandue qu’on ne le pense, et l’immense majorité de ceux et celles qui en souffrent ne l’ont pas choisie. Même les ignorants, et surtout les minables qui se font du crédit sur le dos des démunis ne sont pas à l’abri de la pauvreté et de la maladie…

Source: Moisson Québec.

Depuis quelques mois déjà, nos bénévoles préparent activement la Grande Collecte. Dès le 24 avril, 2 500 bénévoles prendront place dans les 77 supermarchés participants de la grande région de Québec et ce, jusqu’au 26 avril. Cette cueillette de denrées non périssables est importante pour Moisson Québec qui approvisionnent 25 000 personnes chaque mois par le biais de 160 organismes accrédités. (…)

À consulter entre autres billets: Pauvreté: Limoilou de plus en plus pauvre.

Je cite ici un imprimeur en « lock-out » qui vient de s’exprimer sur les ondes de Radio-Canada: « On a changé un peu la face de Québec (…) »…

Source: MédiaMatin Québec (édition spéciale), 22 avril 2008.

La dignité survit

Une richesse ne s’évalue pas avec un compte en banque. Dans les joies et les peines, des hommes et des femmes font la démonstration depuis un an dans les rues de Québec que la barbarie n’emportera jamais une chose: leur dignité. (…)

Les lockouté ont manifesté ce matin en face des locaux du Journal de Quebec pour « célébrer » ce premier anniversaire.

  Denis Bolduc, porte-parole des employés en lock-out (Photo Francis Vachon)

  Pierre Péladeau et son fil PKP… (Photo Cindy Boily)

  Le journaliste Michel Hébert (Photo Francis Vachon)

À consulter entre autres billets: Information régionale: Un autre service de nouvelles menacé.

Source: Éric Moreault, Le Soleil, 21 avril 2008.

(…) Les organisateurs de l’événement, né le 22 avril 1970, ne se trompent pas en insistant désormais pour que le Jour de la Terre se déroule 365 jours par année au lieu de devenir un sauf-conduit pour le gaspillage, la surconsommation et la pollution — tant parmi la population, les gouvernements que les entreprises privées.

La récupération de l’événement prend plusieurs formes. Ce peut être de vagues énoncés d’intention d’un gouvernement. Ou carrément des motifs mercantiles comme la chaîne Best Buy qui offre de recycler ordinateurs, télés et lecteurs MP3… à l’achat de nouveaux produits! (…)

Ce détournement à son profit (ou à celui des actionnaires) se pratique couramment en environnement, surtout depuis que l’écologie bénéficie d’un effet de mode. Ce que nos voisins appellent greenwashing et nos cousins écoblanchiment consiste à ven­dre un produit, un règlement ou une loi sous de fausses représentations environnementales afin de se donner une image verte. (…)

Alors, que faire pour trier le bon grain de l’ivraie? Comme pour tout le reste de notre vie en société : avoir l’esprit critique, s’informer auprès de sources crédibles et être prêt à changer ses mauvaises habitudes. Mais surtout, se rendre compte que c’est bien beau utiliser un savon sans phosphate ou étendre son linge sur la corde à linge; si de tels comportements ne s’accompagnent pas de changements fondamentaux dans nos habitudes de transport et d’habitation, ils ne donnent pas grand-chose. (…)

La suite. À consulter aussi, entre autres billets: Un débat à finir?.

Source: Théâtre du Petit Champlain.

Ce spectacle bénéfice réunira différentes performances artistiques pour le plaisir de vos yeux et de vos oreilles! Les fonds amassés serviront à soutenir le travail de Gilles Kègle et de ses bénévoles qui viennent en aide à des centaines de personnes délaissées de la Ville de Québec ayant besoin de soins, de réconfort et d’amour.

Les détails. À consulter, ce dossier de mon cru (identifié par mégarde « Francis »): Le temps des Fêtes et ses diverses manifestations de solidarité.

Voilà ma conception bien conviviale du vélo en ville: une utilisation aussi naturelle que nos deux jambes! Et dans ce coin attachant de l’Europe, on est bien loin de cette foutue obsession maladive de la sécurité qui afflige le Québec…

Pour ma part, c’est demain que je sors enfin ma vieille bicyclette: il était temps! Et en passant, cette « plogue » bien personnelle: Vélo Vert. ;-)

Source: Fabienne Couturier, Veloptimum (extrait d’un reportage publié dans La Presse), 12 avril 2008.

C’est à pied qu’Amsterdam se laisse le mieux apprivoiser. Ici, pas de pollution comme à Paris, peu de klaxons et de pétarades : le vélo est roi. Mieux, il est un mode de vie. Souvent, on n’entend que le bruit des talons sur les pavés, le chuintement des tramways et le tintement des clochettes par lesquelles les cyclistes avertissent fort civilement les piétons de leur présence. (…)

En fin d’après-midi, les parents vont à bicyclette chercher leurs enfants à l’école. C’est merveille de les voir passer, un petit assis devant eux, un autre (parfois deux) sur le porte-bagage à l’arrière… De casque point, de chichi non plus. En escarpins vernis, en veston-cravate, en minijupe, ils pédalent bravement, élégants et imperturbables, parfois avec un cellulaire à l’oreille, mains et tête nues, indifférents au crachin glacial de mars. (…)

La suite. À consulter, ce billet: Le vélo, une nuisance aux yeux des fonctionnaires de la Ville de Québec?

Source: Radio-Canada (Québec), 8 avril 2008.

La commission parlementaire chargée d’étudier les poursuites-bâillons s’est terminée mardi.

C’était l’occasion pour plusieurs organismes de revendiquer des mesures auprès du gouvernement du Québec pour que cessent les poursuites stratégiques contre la mobilisation publique ou Strategic Lawsuit Against Public Participation (SLAPP). (…)

La suite. À consulter, ce billet: Poursuites stratégiques pour contrer la participation citoyenne.

Source: Radio-Canada (Québec), 7 avril 2008.

Plusieurs personnalités ont été honorées dans le cadre du Grand Brunch de la solidarité, qui se tenait dimanche, au Centre des congrès de Québec.

L’événement, dont c’était la première et unique édition, a été inspiré par la Société du 400e anniversaire de Québec. Quelque 1300 invités ont assisté à une présentation multimédia et holographique, relatant les 400 ans de solidarité dans la vieille capitale, suivie d’une prestation du Cirque du Soleil.

Le nom des quatre lauréats des Grands Prix de la solidarité a donc été dévoilé au fort d’une soirée haute en couleurs. Le prix du secteur culturel a été décerné à l’ancien maire de Québec, Jean-Paul L’Allier. Richard Drouin, avocat d’affaires, a été honoré pour son engagement dans le secteur économique. Les entrepreneurs Jacques et Maurice Tanguay ont obtenu le prix du secteur des loisirs et des sports. Finalement, Claudette et Louis Dionne, fondateurs de la Maison Michel-Sarrazin, ont remporté le prix dans le secteur social.

Les Grands Prix de la solidarité couronnent l’oeuvre d’une vie et le dévouement remarquable de certaines de personnes envers la communauté.

À consulter, ce billet: Une page d’histoire se tourne à l’hôtel de ville.

Source: Patricia Sauzède-Bilodeau, Le Soleil, 31 mars 2008.

(…) Il n’y a pas de doute pour les Québécois, les changements climatiques sont bien visibles. Selon le sondage CROP commandé par La Presse, 89 % des 1004 sondés croient à leur existence. Mieux, 92 % estiment que l’homme en est responsable en raison de la hausse des émissions de gaz à effet de serre. Un signe que le message lancé par les environnementalistes ces dernières années a fait son chemin, estime Claude Gauthier, vice-président de CROP.

«Globalement, il y a quand même 9 personnes sur 10 qui croient à l’existence des changements climatiques. En proportion plus élevée à Montréal, à 92 %, chez les gens de moins de 35 ans et ceux dont le salaire est de 60 000 $ et plus.» À Québec, on a répondu oui à la question à 85 %, proportion à peine plus faible que la moyenne québécoise sans Montréal.

Toutefois, lorsque vient le temps de trouver un coupable, ils préfèrent remettre la faute sur d’autres. (…)

La suite. Aussi, entre autres billets: Une heure pour la Terre.