Cette activité « citoyenne » a fait l’objet de nombreuses discussions et reportages dernièrement, notamment à Christiane Charette (à défaut de Bazzo et de son équipe, qui me manquent cruellement pour ma culture…), mercredi dernier.

Source: Radio-Canada (Montréal), 23 novembre 2006.

Un camp de réfugiés temporaire a été érigé place Émilie-Gamelin, autour du métro Berri-UQAM, à Montréal. À toute heure du jour et de la nuit, les sans-abri peuvent y dormir au chaud et se mettre quelque chose sous la dent.

Sous l’un des deux chapiteaux chauffés, l’organisme Homelessnation.org recueille des témoignages des gens de la rue et Médecins du monde offre une clinique de santé. « Et c’est là qu’ont lieu les conférences et l’heure du conte », explique Annie Roy, cofondatrice de l’État d’urgence.

Fondé en 1998, cet événement annuel vise à la fois à faire le bien et à sensibiliser le public au sort des gens de la rue. Il est une initiative de l’Action terroriste socialement acceptable(ATSA)… (…)

La suite. Aussi, ce billet.

Intéressante initiative. Pourquoi pas à Québec, aussi?

Source: Radio-Canada (Montréal), 10 novembre 2006.

Des commerçants de Montréal dorment plus paisiblement, depuis quelque temps, parce que des itinérants en font autant devant les portes de leurs commerces.

Empêchés de passer la nuit dans les parcs de la ville, plusieurs sans-abri trouvent désormais refuge devant les boutiques de la rue Sainte-Catherine, notamment. (…)

La suite.

Voir aussi cet article (merci à Carol!), de même que ce billet.

Source: Alain Bouchard, Le Soleil, 20 octobre 2006.

Fermée depuis mars pour transformations majeures, l’hôtellerie de l’Armée du salut, à Québec, espère pouvoir rouvrir ses portes en décembre pour continuer d’héberger les miséreux.

Les travaux vont bon train, a indiqué au Soleil, cette semaine, le porte-parole Mario Pelletier. « Nous ne pouvons rien garantir, a-t-il dit. Mais notre objectif est de rouvrir en décembre, à l’aube du nouvel hiver. »

De maison de chambres qu’elle était, l’hôtellerie de la côte du Palais, dans le Vieux-Québec, a été transformée en immeuble à logements à prix modique. Les 100 chambres qu’elle comptait jadis feront place à 66 petits appartements qui permettront beaucoup plus d’autonomie aux pensionnaires.

Avec cette image en introduction, permettez-moi de dénoncer l’inaction scandaleuse et le je-m’en-foutisme des conservateurs en matière d’environnement…

J’adresse donc un (autre) bolo bien personnel au gouvernement Harper!

À ce sujet, lire ces deux reportages sur le site de Radio-Canada…

À consulter aussi, le Protocole de Kyoto (Wikipédia), la pétition Sauvons Kyoto, de même que le site de la Fondation Suzuki.

Source: Réseau du forum social de Chaudière-Appalache, La nuit des sans-abri, 24 septembre 2006.

Le Regroupement pour l’aide aux itinérants et itinérantes de Québec organise cette année, pour une cinquième édition, l’évènement de la Nuit des sans-abri, qui se déroulera le 20 octobre 2006.

* à La Place de l’Université du Québec au coin du Boulevard Charest et de la Couronne [où le parc, près de l’ENAP, près de TQS].

La Nuit des sans-abri a pour but de sensibiliser la population au phénomène de l’errance et de l’itinérance en la démystifiant. Des activités de sensibilisation pour toute la famille se tiendront de midi à 18h00, un spectacle animé par le parrain de l’évènement Paul-André Méthot de 18h00 à 23h00, suivie de la vigile de nuit de 23h00 à 6h00 autour des braseros. (…)

Bon, l’boulot m’attend. Bonne journée, et… oui, mononc’ Lucien, c’coup-là, j’vas travailler fort fort! ;-)

Voir aussi ce billet (édition 2005).

La grande exposition les idées ALLANT vert– le 22 octobre 2006

Le 22 octobre 2006, au Musée de la civilisation du Québec, Québec’ERE, la Ville de Québec, la CDÉC de Québec, la Ressourcerie La Commode, Fripes et trouvailles et Concertation Recyclage Québec auront le plaisir de présenter, pour une troisième année consécutive, un événement célébrant l’atteinte d’une meilleure gestion des matières résiduelles à Québec.

Voir la suite.

Des entreprises d’économie sociale comme La Commode, il y en a d’autres tel que : Le Vélo Vert,et la Bouquinerie Trait d’union, pour ne nommer que ceux-là.

Et comme disait Théodore Monod « Le peu, le très peu que l’on peut faire, on doit le faire… »

Source: Marc Allard, Le Soleil, 4 septembre 2006.

Pour une quatrième année, quelques centaines de manifestants ont bloqué la circulation dans les rues de Québec, hier, à l’occasion de l’événement Réclame ta rue. Pourquoi, au juste ? La formule fait l’unanimité : « prendre congé de capitalisme ».

Ce n’est pas un hasard si le départ a eu lieu cette année sur le parvis de l’église Saint-Roch.

« La Ville veut amener des nouveaux parvenus dans le quartier, laisser la rue aux riches », expliquait l’organisateur Thomas B. Lisée. En choissisant cet emplacement, les organisateurs souhaitaient dénoncer l’embourgeoisement de Saint-Roch.

Entraînés dans les rues de la Couronne, de la Reine et Dorchester, les participants ont ensuite défilé en déployant de larges banderoles altermondialistes et en jouant du tam-tam, sous le regard amusé des passants. Dans les rues où les policiers avaient dévié la circulation, des bouchons se sont formés.

Voir cet autre billet.

Réalisée en 2003, la coopérative Les Pénates, sise au 350, 5e Rue, présente une architecture contemporaine qui tranche avec celle des vieux immeubles voisins. Son toit, en plus d’offrir une vue saisissante sur les environs, est fort bien adapté à un type de jardinage qui a cours depuis 2002 à Montréal.

Les membres de la coop de 18 logements s’intéressent depuis l’an dernier au projet Des Jardins sur les toits développé par le groupe montréalais Alternatives et dont l’objectif est d' »élaborer des techniques de jardinages qui soient durables, écologiques, abordables et assez légères afin d’être utilisées sur les toits ou tout autre petit espace urbain. »

Photo ci-haut, la coopérative. Ci-bas, rencontre sur le toit au cours de la visite « grand public » organisée hier après-midi. Cette autre photo illustre bien les résultats tout à fait convaincants de ces nouvelles techniques de jardinage alternatif en milieu urbain!

Pour en savoir plus. Voir aussi ce dossier de Carol Proulx sur les toits verts de Québec.

Dans un dernier billet, on présentait les petits déjeuners servis à des enfants au niveau primaire. Il existe aussi une aide alimentaire pour les adultes et/ou les familles dans le besoin. . Par ailleurs, plusieurs organismes tels que Centraide, observent que notre société subit un écart toujours grandissant entre les plus riches et les plus pauvres.

Source: François Cattapan Québec Hebdo, 6 août 2006

Les stocks de Moisson Québec sont en baisse : Pas de vacances pour la pauvreté
Mois des vacances et du repos, juillet est aussi une période où on décroche de certaines responsabilités sociales. Si bien qu’à ce jour, Moisson Québec essuie une baisse de 7% par rapport à la récupération totale de denrées à pareille date en 2005. Malheureusement, la pauvreté, elle ne prend pas de vacances et se vit 365 jours par année.

Voir la suite.

De plus la solitude (non seulement des personnes âgées, mais aussi des différentes catégories de gens) se vit de différente façon dans les grandes villes surtout si vous n’avez personne avec qui parler. L’existence de cette solitude témoigne du problème de l’angoisse et de l’isolement dans le milieu urbain.

Source: Sylvain Trépanier Journal de Québec, 5 août 2006

Un octogénaire vivait dans un logement insalubre
Un problème de réservoir d’eau chaude dans un logement du quartier Saint-Sauveur s’est soldé, hier, par l’hospitalisation d’un homme de 84 ans et la remise de ses six animaux de compagnie à la SPA. La pathétique histoire a débuté en avant-midi, hier, lorsque des employés d’une compagnie de plomberie ont tour à tour refusé de travailler dans le logement du 580, Saint-Sauveur, à Québec, prétextant que les odeurs d’urine et d’excréments y étaient incommodantes.

Voir la suite.

Voir aussi le rapport de la CDEC de Québec sur les facteurs influençant la pauvreté.