Québec, mardi le 22 octobre 2013 — La Commission de la capitale nationale du Québec est heureuse de lancer la onzième saison de son populaire Tribunal de l’Histoire, le lundi 28 octobre à 19 h 30, à la salle Raoul-Jobin du Palais Montcalm.

Cette année, les spectateurs sont conviés à étudier six grands projets destinés à Québec et à découvrir les défis, parfois insurmontables, qui se sont dressés sur leur route. Le premier spectacle de la saison se penchera sur l’aventure en Amérique de Jacques Cartier et Jean-François de La Rocque de Roberval.

En 1540, François Ier confie à Jacques Cartier, puis à Jean-François de La Rocque de Roberval, la mission d’étendre son royaume en Amérique. L’absence d’un passage vers l’Asie, d’or et de diamants, tout comme la guerre et les relations difficiles avec les Amérindiens saperont l’aventure coloniale du cap Rouge. Doit-on néanmoins parler d’un échec ?

L’historien Jean-Marie Lebel et l’archéologue Gilles Samson participeront aux débats en compagnie des personnages incarnés par les comédiens Paul Breton, Serge Bonin, Sylvio Arriola et Martin Perreault. Les musiciens David Jacques (luth) et Anne Thivierge (traverso), de même que le chanteur Robert Huard, agrémenteront la soirée de quelques airs d’époque.

Les intéressés peuvent s’abonner aux six spectacles de la saison pour seulement 55 $, choisir trois spectacles au choix pour 40 $ ou se procurer un billet pour 16 $. Taxes et frais de service du réseau Billetech non inclus. Billets disponibles auprès de la billetterie du Palais Montcalm, au (418) 641-6040.

* La programmation de la série

Un ouvrage récent sur le traité de Paris (1763) aux éditions Septentrion

Olivier Parent
Le Soleil

(Québec) Pas question de démolir la Maison Pollack sur la Grande Allée, prévient le parti de Régis Labeaume. Les propriétaires du bâtiment centenaire feront face à l’opposition d’Équipe Labeaume s’ils projettent de raser ses grandes colonnes blanches.

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Saint-Roch: Une histoire populaire

Dans les années 60, en pleine révolution tranquille, le progrès est synonyme de béton, de voitures, de gratte-ciels et de consommation débridée. C’est l’ère des banlieues. Les villes étant jugées invivables, on construit de pharaoniques infrastructures routières pour les quitter au plus vite. Des milliers de logements sont démolis pour faire de la place. Leurs habitantes et habitants sont chassés en périphérie

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Jean Cazes
monsaintsauveur.com

Auteur de la photo ci-contre, Daniel B. Guillot m’a signalé le déménagement du monument qui s’est déroulé mardi dernier, à l’intersection du boulevard Henri-Bourassa et de la 18e Rue, dans Limoilou. Ce monument sera installé (sous peu ?) devant la Caserne 3 des pompiers de Québec, sur la rue des Oblats, dans Saint-Sauveur.

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* Merci à un très fidèle lecteur (André Bernatchez)

Saison 2013-2014 — Les grands projets

Six grands projets pour la capitale

Pour cette onzième saison, les spectateurs sont conviés à étudier six grands projets destinés à Québec et à découvrir les défis, parfois insurmontables, qui se sont dressés sur leur route.

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La programmation

* Pour y assister depuis quelques années, cette série est remarquable pour quiconque s’intéresse à l’Histoire de Québec.

Sophie Grenier-Héroux
Le Soleil

(Québec) Ville Montcalm, 1913. Les grandes villas et le développement du tramway font rêver les résidents qui habitent le Westmount de Québec. Les services publics se déploient, l’urbanisme se dessine et attire une population en quête d’une meilleure qualité de vie, fière du patrimoine, de l’architecture britannique et de sa vie en marge des quartiers populeux. Mais en dessous de ces apparats, l’eau vient à manquer. Québec, sa voisine, songe quant à elle à se bonifier, à faire comme New York qui vient de se fusionner à Brooklyn, à devenir «the greater Quebec». Elle tente d’amadouer Montcalm, en vain, mais réussit grâce… à ses tuyaux d’aqueduc !

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Montcalm en chiffres

Montcalm: l’histoire d’ici par ses noms de rue

Le riche patrimoine urbain du quartier Montcalm

Montcalm vu par Jean-Paul L’Allier

Montcalm vu par Anne Guérette

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Radio-Canada
L’autre midi à la table d’à côté * 21 septembre 2013

Le premier est un entrepreneur des nouvelles technologies devenu mécène en art contemporain. Alexandre Taillefer est aussi connu pour sa participation à l’émission Dans l’oeil du dragon. Le second est un ancien ministre du gouvernement de Robert Bourassa. Jean-Paul L’Allier a réussi un coup de maître en tant que maire de Québec dans la transformation du quartier Saint-Roch.

Alexandre Taillefer aime Montréal, et Jean-Paul L’Allier, Québec. La conversation tourne naturellement sur le rôle d’un maire, sur l’importance de la beauté dans une ville et sur la rivalité avec les banlieues.

Le jeune entrepreneur et l’ancien politicien rêvent que les habitants soient fiers de leur ville et qu’ils aient envie d’y vivre. Cette rencontre est aussi une magistrale leçon de politique municipale.

L’entrevue

* Une heure et c’est extrêmement intéressant

L’exposition « Le Grand Livre des Rivières »

Québec, le 12 septembre 2013 – L’Arrondissement des Rivières a procédé aujourd’hui à l’inauguration de l’exposition « Le Grand Livre des Rivières » logée dans le hall d’entrée du Bureau d’arrondissement. Cette exposition permanente rend hommage aux cinq anciennes villes qui constituent l’Arrondissement des Rivières soient Duberger, Les Saules, Charlesbourg-Ouest (Lebourgneuf), Neufchâtel (une partie) et Vanier. Elle permet de mettre en lumière leur passé commun, leur histoire respective ainsi que leur avenir collectif.

Une première exposition permanente dans un Bureau d’arrondissement

L’exposition « Le Grand livre des Rivières » est la première exposition permanente présentée dans un Bureau d’arrondissement de la Ville de Québec. Elle démontre l’évolution de l’arrondissement des Rivières, des origines seigneuriales jusqu’à nos jours.

Cette exposition nous amène à découvrir l’arrondissement des Rivières qui s’étend de la vallée de la rivière Saint-Charles jusqu’aux premiers contreforts des Laurentides. Au fil du temps, seigneuries, municipalités de paroisses, villes et quartiers se sont succédé pour finalement former cet arrondissement arrosé par trois rivières.

« Chaque arrondissement possède une histoire importante que l’on se doit de dévoiler afin qu’elle s’inscrive dans la mémoire de tous », a fait savoir M. Régis Labeaume, maire de la Ville de Québec.

Un grand livre d’histoire

Des moyens muséographiques sont mis à la disposition des visiteurs tels qu’un grand livre d’histoire comportant deux pages côte-à-côte par ancienne ville, déposé sur un plan incliné ainsi que des panneaux muraux présentant l’évolution du territoire. Quelques objets de la collection muséologique de la Ville de Québec et des photos provenant des archives de la Ville et de citoyennes et citoyens de l’arrondissement feront revivre de beaux moments aux visiteurs.
« Je me réjouis de la qualité du contenu et du concept choisi pour la réalisation de cette exposition. Elle permettra à plusieurs de découvrir notre histoire », a souligné M. Gérald Poirier, président du conseil d’arrondissement des Rivières.
La préparation et la production de cette exposition, par l’Arrondissement des Rivières en collaboration avec le Service de la culture, ont été réalisées au coût de 37 000 $.

Les citoyennes et citoyens sont conviés à visiter gratuitement l’exposition « Le Grand Livre des Rivières », à leur Bureau d’arrondissement situé au 330, rue Chabot. Les heures d’ouverture sont du lundi au vendredi de 8 h 30 à 16 h 30.

Québec Urbain était présent ce soir au lancement de ce site internet consacré à l’histoire populaire de St-Roch.
Un travail monumental de François Gosselin Couillard. Quand on connais son passé, on comprend mieux le présent.

La Ville de Québec, le ministère de la Culture et des Communications et la Chaire de recherche du Canada en patrimoine ethnologique de l’Université Laval ont lancé aujourd’hui l’application mobile Découvrir Québec. À travers ses récits inédits, l’application présente 96 points d’intérêts patrimoniaux du Vieux-Québec et du quartier Saint-Roch, racontés de façon moderne. (…) L’application, gratuite, est disponible sur iPhone et iPad. Elle peut être téléchargée à partir de l’App Store. Une version Android sera accessible au cours de l’automne. Enfin, grâce à l’appui de l’Office du tourisme de Québec, tous les textes de l’application sont également disponibles en version anglaise.

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Une application développée au coût de 565 000$ * Valérie Gaudreau (Le Soleil)

* J’ai téléchargé et c’est vraiment à essayer