* Merci à l’historien Réjean Lemoine
* Merci à l’historien Réjean Lemoine
Voir aussi : Histoire, Publications & ressources Internet, Transport en commun.
C’est en 1913 que des trains commencèrent à circuler sur le long tracel surplombant la vallée de la rivière du Cap-Rouge. Des activités de la Société historique du Cap-Rouge souligneront d’ailleurs ce centenaire à compter du mois d’avril .Devenu un élément familier du paysage carougeois, ce tracel constitue toujours l’un des plus impressionnants viaducs ferroviaires en Amérique.
Article de Jean-Marie Lebel, historien, Magazine PRESTIGE (28 février 2013)
Dans le ciel de Cap-Rouge, un «TRACEL» centenaire (Société historique du Cap-Rouge)
Le symbole de Cap-Rouge a 100 ans (Journal L’Appel, 13 janvier 2013)
Jeudi 18 avril 2013, 19 h 00, lancement de la brochure «LE TRACEL DE CAP-ROUGE». Ensuite, à 19 h 30, Jean-Marie Lebel donnera une conférence sur l’histoire du tracel de Cap-Rouge à l’église de Cap-Rouge (1460, rue Provancher).
Voir aussi : Arrondissement Laurentien, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.
*Merci à une lectrice (Rosemarie Allard)
À l’heure du 2.0, quelles sont les nouvelles manières de penser la discipline historique?
Canadian Geographic en parle
Voir aussi : Histoire, Publications & ressources Internet, Québec La cité.
Commission de la capitale nationale du Québec
Dans sa plus récente parution, le magazine Québec Vert consacre un article complet au site archéologique Cartier-Roberval. Intitulé « Sur les traces du premier établissement français d’importance en Amérique du Nord », cet article a été rédigé par la journaliste Sarah Delisle.
Le mur mémoire Cartier-Roberval, résultat du chantier de consolidation et de mise en valeur de la falaise de Cap-Rouge. © CCNQ Pierre Joosten
On y raconte d’abord l’expédition de Jacques Cartier et de Jean-François de La Rocque, sieur de Roberval, mandatés en 1541 par le roi François 1er. Leur mission était claire : établir une colonie française en Amérique du Nord. Ils choisissent alors d’ériger deux forts à Cap-Rouge, l’un au sommet de la falaise et l’autre en bordure du fleuve. Ce n’est qu’en 2005 qu’on a découvert, par hasard, les vestiges archéologiques témoignant de cet établissement français.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Histoire, Publications & ressources Internet.
Réjean Lemoine
monsaintsaveur.com
Pour compléter la modernisation de la Ville, le maire Olivier-Napoléon Drouin, en poste de 1910 à 1916, va investir un million de dollars dans la réalisation d’un troisième maître-tuyau d’aqueduc entre Québec et Lorette. Un rapport dévastateur des compagnies d’assurance-incendie en octobre 1910 affirme que la Ville se retrouvera dans une situation extrêmement précaire et dangereuse si deux incendies se déclarent simultanément. L’incendie majeur à la fabrique de la Dominion Corset de Georges-Élie Amyot, en juin 1911, va convaincre les autorités municipales d’agir. Après un premier tuyau de 18 pouces de diamètre installé en 1854 et un second de 30 pouces en 1884, le projet d’un tuyau de 40 pouces en fonte est accepté par le conseil municipal en décembre 1911 et il est complété en décembre 1913.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire.
Sophie Gall
Le Soleil
(Québec) Pour son 350e anniversaire, le Séminaire de Québec s’offre une plongée dans le temps et dans le savoir. L’exposition Révélations – L’art pour comprendre le monde présente à compter de mercredi une centaine d’oeuvres tirées de la collection des prêtres du Séminaire : tableaux, gravures, sculptures. Peu vu, cet ensemble hétéroclite retrace des pans d’histoire du Séminaire, mais aussi la volonté de fer de ces prêtres qui, par l’acquisition d’oeuvres d’art et d’objets scientifiques, voulaient transmettre la connaissance.
Des oeuvres d’art de la collection du Séminaire dévoilées * Radio-Canada (Québec)
Voir aussi : Conférences / évènements, Histoire.
Alexandra Perron
Le Soleil
(Québec) Rue des Ardennes, rue de l’Aviation, rue de l’Armée, rue Roosevelt, rue Churchill… Vous connaissez? On se croirait en plein terrain miné! Et pourtant, pour Odette Falardeau, ce coin de Québec qu’elle appelle encore Saint-Malo est un petit havre paisible.
«C’est la campagne en ville, à deux pas du centre-ville.» Sa maison est toute coquette, surtout en été.
Mme Falardeau a déjà remporté un prix Maisons fleuries. Elle tient son pouce vert de sa grand-mère, de qui elle a racheté demeure et jardin lors de la succession en 1984. En hiver, il y a tout plein d’oiseaux. Cette année, elle a même eu droit à la visite de beaux cardinaux rouges.
Un article ayant inspiré le titre du billet * Diane Archambault-Malouin (Continuité)
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.
Vicky Lapointe
Patrimoine, Histoire et multimédia
En 1893, pour devenir policier à Québec, il fallait remplir certaines conditions: avoir entre 20 et 30 ans, mesurer au moins 5 pieds 8 pouces, ne pas être atteint d’une infirmité ou d’une maladie chronique, savoir lire et écrire et comprendre l’anglais et le français.
Les obligations de chaque policier ainsi que les règlements qu’ils devaient faire respecter étaient consignés dans le Guide de la police de la cité de Québec.
Le guide recommande de ne pas procéder à une arrestation à vue des personnes qui font leurs besoins dans la rue (no 111) ou qui gardent un cochon vivant à l’intérieur d’une demeure (no 112), mais plutôt de rédiger un rapport. Par contre, le policier doit arrêter immédiatement les artisans du cirque qui se produisent sans permissions (no 144) (…)
Voir aussi : Histoire, Publications & ressources Internet, Québec La cité.
Québec, le 21 février 2013 – Le président de l’Assemblée nationale, M. Jacques Chagnon, a inauguré aujourd’hui l’exposition Gouverner en Nouvelle-France. Cette exposition grand public brosse un portrait de l’histoire politique de la Nouvelle-France.
« À l’occasion du 350e anniversaire de la création du Conseil souverain, le 18 septembre 1663, j’invite les visiteurs de passage à l’hôtel du Parlement à parcourir cette exposition sur les institutions politiques du Régime français. Fidèle à la devise Je me souviens, l’Assemblée nationale est fière de mettre en valeur cette fascinante histoire de nos origines et de la partager », a souligné M. Chagnon.
Précisons que l’exposition est ouverte au public du lundi au vendredi, de 9 h à 16 h 30. Les visiteurs pourront découvrir, entre autres, une ligne du temps illustrée et de multiples objets anciens, exposés dans les vitrines du rez-de-chaussée de l’hôtel du Parlement. On y aborde notamment l’administration coloniale avant la création du Conseil souverain, puis la formation et l’évolution de ce dernier ainsi que le rôle des intendants de la Nouvelle-France
Voir aussi : Conférences / évènements, Histoire.
Réjean Lemoine
monsaintsauveur.com
Québec a connu de nombreux incendies dévastateurs au milieu du XIXe, et la ville doit faire face de nouveau, le 8 juin 1881, à une conflagration majeure. L’élément destructeur rase une partie des faubourgs Saint-Jean et Montcalm. L’église et le presbytère Saint-Jean Baptiste sont la proie des flammes et plus de 1,500 familles se retrouvent sur le pavé. Le travail des pompiers est entravé par l’incapacité de l’aqueduc de fournir suffisamment d’eau pour combattre le fléau.
Le journal Le Canadien écrit le lendemain de l’incendie : « Nous avons de l’eau à pleines rivières; allons-nous nous décider à en garder quelques milliers de gallons pour nous empêcher de rôtir tous vivants ». Ce drame provoque une augmentation importante des tarifs d’assurance-incendie. Il amène aussi une prise de conscience chez les citoyens de la nécessité d’améliorer le réseau d’approvisionnement en eau afin de mieux les protéger d’une catastrophe majeure. Depuis la conflagration de 1881, les compagnies d’assurance-incendie ont perdu confiance dans la ville de Québec.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire.