Le quotidien national The Globe and Mail s’intéresse aujourd’hui à la rue St-Joseph.

The celebrations rage on in Quebec City. But for less programmed partying, correspondent Rh̩al S̩guin heads to the lower town Рwhere the roof that once enclosed a strip of boutiques and clubs has literally been raised, leaving the stretch open for locals in search of hot buys and cool jazz

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À ne pas manquer, une gallerie de photos, signé par un certain Francis Vachon, accompagne l’article. Plus de photo sur mon blog photo

L’agrandissement et la rénovation du Métro de la rue Cartier débutera finalement le 24 juin pour se terminer probablement en décembre. C’est à tout le moins l’information qui est véhiculé aux usagers de ce commerce. Reste à voir si çà se fera selon les plans que ce billet nous avait transmis.

Eh oui! Québec entre (enfin) dans l’ère Starbucks! Quoi de plus plaisant que de passer prendre un latté chez Starbucks avant d’aller travailler? Ou encore lire un bon livre, étudier ou simplement discuter entre amis assis confortablement dans les nombreux fauteuils de Starbucks! Vivement l’ouverture prochaine sur Maguire et au centre-ville!

Source: Pierre Champagne, Le Soleil, 17 octobre 2007.

 » Un premier café Starbucks a ouvert ses portes hier matin, dans la région de la Capitale-Nationale, plus précisément au 2790, avenue Saint-David, juste voisin du Boston Pizza, à Beauport, 20 ans après l’ouverture du premier Starbucks du Canada.Un deuxième café Starbucks ouvrira dans les semaines qui viennent dans l’édifice Germain des Prés, à Sainte-Foy, puis un troisième, d’ici la fin de l’année, sur l’avenue Maguire à Sillery. »

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De vifs souvenirs ont surgi en moi, l’autre jour au petit matin, devant cette scène préautomnale sur la rue Saint-Jean. Évocation d’une époque où c’était à la mode, selon les styles, d’écouter Jim et Bertrand, Genesis ou les Bee Gees…

Les « mononc’ et matantes » en devenir (j’en suis), qui ont vécu le cégep à la fin des années 70, se souviennent certainement de cet autre lieu culte au nom évocateur désormais confiné dans la mémoire collective de leur génération: il s’agissait de La Cour, aujourd’hui occupée par le sage bar Les Yeux Bleus.

À consulter aussi, ce billet.

Source : Anne-Marie Savoie, Média Matin Québec, 19 septembre 2007

N’étant plus en mesure de lutter contre le fléau de la contrebande de cigarettes, la Tabagie Tremblay fermera définitivement ses portes d’ici à la fin du mois, après 55 ans dans le décor du quartier Saint-Roch.

Les temps sont durs pour Nicole Tremblay. Lorsque la propriétaire de la Tabagie Tremblay, rue Dorchester, a repris le flambeau de son père, André, il y a 25 ans, elle croyait fermement pouvoir offrir cet héritage familial à ses enfants.

Mais depuis trois ans, la tabagie a perdu 70 % de son chiffre d’affaires, situation que Mme Tremblay attribue principalement à la contrebande de cigarettes.(..)

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C’est avec consternation que je me suis réveillé ce matin en lisant cette nouvelle. Qui ne connait pas la fameuse tabagie Tremblay, tout particulièrement les chauffeurs d’autobus qui profitent de cet endroit pour prendre leur café avant de débuter leur parcours. Et que dire des citoyens ordinaires qui se sont à un moment ou un autre arrêté pour acheter un billet d’autobus ou pour les amateurs de tabac qui ont fait leur provision à cet endroit. D’autant plus surprenant que des rénovations majeures avaient été apportées à l’édifice au cours des dernières années. Ce n’est qu’un « au revoir » Mme Tremblay…

Plutôt que de « pogner les nerfs », ce bref, mais sincère commentaire bien personnel: bon succès, M. Nasranee! La bêtise humaine a décidément fait l’objet de nombreuses interventions sur Québec Urbain, ces derniers jours…

Source: Marc Allard, Le Soleil, 6 août 2007.

Ahmad Nasranee en a eu assez des clients qui annulaient leur réservation parce qu’un soldat canadien venait de mourir en Afghanistan et des quidams qui se stationnaient devant la terrasse pour traiter ses employés de terroristes. (…)

Depuis l’ouverture, cependant, environ quatre clients par mois annulent leur réservation quand un soldat canadien est tué en Afghanistan.

« Les réservations, ce n’est pas trop grave. Mais quand j’avais des clients assis sur la terrasse et qu’il y a un malade qui passait devant et qui disait “Crissez le camp, quittez le Québec, c’est pas votre place, maudits terroristes !â€?, je me sentais vraiment mal », dit-il. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet.

C’est sous ce sous-titre que Sélection (du Reader’s Digest) présente cette « institution » de Québec (et ma librairie préférée!) dans son dernier numéro…

Source: Claude Lebrun, Sélection (Le meilleur du Québec 2007), juin 2007, p. 59.

En 1972, quand les propriétaires de Pantoute ont voulu enregistrer le nom de leur modeste librairie, le registraire du gouvernement a refusé tout net! Motif: pas français! Ils ont tenu bon, jurant qu’il s’agissait de la contraction de trois êtres mythiques: Pandore, Toutankhamon et Thétis! Huit ans plus tard, un terrible incendie a failli mettre fin à l’aventure. Pour se remettre à flot: une vente de feu surréaliste, où les ouvrages humides ont été bradés à la criée et séchée sur place au micro-ondes! Aujourd’hui, la plus grande librairie indépendante de Québec fait un pied de nez aux grandes surfaces.

Voir aussi ce billet.

La première entreprise financée par le Fonds était l’Abraham Martin, en 1997. Depuis, plusieurs autres entreprises des quartiers centraux, qui ont grandi avec l’aide du Fonds, ont déjà été mentionnées dans Québec Urbain: à titre d’exemples, ces trois billets illustrant respectivement les activités de la microbrasserie La Barberie, des Tours d’hier (Julien Dallaire) et de la Boîte à pain.

Source: Marie-Claude Boileau, Le Carrefour de Québec, 17 mai 2007.

(…) À cette époque [1999], l’équipe du Fonds comptait deux employés. En 2007, 13 personnes oeuvrent à l’organisme (…).

(suite…)

Une petite nouvelle différente, question de connaître les gens qui habitent cette belle ville qu’est Québec !

Source: Marc Allard, Le Soleil, 18 novembre 2006

Vendredi soir, ils sont allés au Dauphin comme d’habitude. Mimi était là, derrière le bar, prête à remplir leur verre en moins de deux. Sur la miniscène, la chanteuse country chevrotait des airs connus. Le long du mur, des joueurs tapaient avidement sur les loteries vidéo. Au fond, des couples folâtraient sur la piste de danse illuminée. Tout était parfait.

Jusqu’à ce qu’on arrive, moi et mon complice, environ 20 ans plus jeunes que la moyenne des clients. […]

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