* Merci à un fidèle lecteur (Jean-François Cormier)

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Source: Frédéric Denoncourt, Le Soleil, le 9 août 2011

(Québec) Les cinéphiles de Québec seront bientôt en deuil de six salles de cinéma. Les Cinémas Ciné Entreprise Inc. ont fait connaître lundi par communiqué leur décision de fermer leurs six salles des Galeries de la Capitale le 18 août.

«C’est avec un profond regret que nous avons pris cette décision, mais nous n’avions pas le choix», écrit le président de Cinémas Ciné Entreprise, Raffaele Papalia.

M. Papalia donne peu de détails sur les raisons qui l’ont forcé à mettre la clé sous la porte, se bornant à invoquer les «négociations non abouties à un commun accord avec le propriétaire du centre d’achats les Galeries de la Capitale» et «l’état désuet des salles qui ne pouvaient plus rivaliser avec les salles situées dans le même centre». Ce sont ces éléments qui auraient «inévitablement conduit à ce malencontreux dénouement».

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Quel sera le sort des salles de cinéma des Galeries de la Capitale ?

Disons que c’est un coup dur pour les amateurs de cinéma qui n’ont pas de voiture. Ce sont deux complexes à leur disposition qui ferment cette année. Ne reste que pour eux (et je m’inclus…) le Clap et la salle du cinéma Cartier.

Quelqu’un connait la raison de la fermeture de ce restaurant ? Un autre restaurant prendra-t-il la relève ?

Le 105: projet presque terminé.

Source : Gilbert Leduc, Le Soleil, le 28 mai 2011

(Québec) L’agence de communication Cossette quittera la Grande Allée et déménagera, au début de 2012, dans le secteur historique et patrimonial du Vieux-Port, à deux pas du quartier Saint-Roch.

Le Soleil a appris que la centaine d’employés de Cossette et de Vision7 International – le holding auquel appartient Cossette – emménagera à La Place TELUS, au 300, rue Saint-Paul.

Ancien centre de tri de Postes Canada, cet édifice de cinq étages a été modernisé au coût de 300 millions $ et reconverti selon les normes LEED (Leadership in Energy and Environnemental Design) argent. Plus de 50 % de la superficie louable de l’immeuble appartenant au Fonds immobilier de solidarité de la FTQ et à des partenaires privés est occupée par 300 employés de TELUS.

«Alors que notre bail au 801, Grande Allée Ouest se termine à la fin de l’année, une opportunité s’est offerte à nous», a indiqué la directrice des communications de Cossette pour les bureaux de Québec et de Montréal, Caroline Morin.

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La Place TELUS, un nouvel édifice LEED à Québec.

Ancien centre de tri : Telus s’installe.

Intéressant de savoir que la phase 2 sera probablement à l’étude bientôt.

Une chronique historique n’attend pas l’autre. Cette fois, découvrez les origines véritables de ce restaurant très connu à Québec. Bonne lecture à tous gracieuseté de M. Pierre Dubeau.

Le Restaurant Le Relais, sur la rue Sainte-Anne, a changé de nom pour le Bistro 1640 récemment.

Ce plan de 1640 de Pierre-Louis Morin serait peut-être à l’origine de ce changement de nom. Selon ce plan, en E, la maison des cent-Associés correspond à l’emplacement exact du restaurant Bistro 1640. Cependant, ce plan est fortement contesté car on n’a jamais trouvé l’original soi-disant de Jean Bourdon. Pour plus de détails, voir cette page.

On a peu d’information sur la localisation de la maison des cent-Associés. On présume qu’elle occupait le site du Sénéchaussée, construite par le Gouverneur Lauzon vers 1651.

Plan de Bourdon de 1660 (détail). En pointillé, anciennement, la terre du Gouverneur d’Ailleboust.

De fait, Il s’agit plutôt de la maison de Jean Jobin construite sur son terrain acquis de Louis d’Ailleboust en date de juin 1658. Cette bâtisse est bien présente sur le véritable plan de Jean Boudon de 1660.

Extrait de cet acte :

« Une place sise en cette ville de Québec contenant demi arpent de terre ou environ faisant moitié d’un arpent de terre au dit sieur bailleur appartenant, joignant d’un côté à la rue qui passe entre l’église paroissiale et la dite terre, d’autre côté à Jacques Boisselle en partie et à Louis Côté, d’un bout à une rue qui passe entre le Fort des Sauvages et la ditte terre, et d’autre bout à la place Abraham Martin en partie et aux terres non concédés »

Près du fort des Hurons, c’est la cabane en écorce occupée par Martin Boutet, maître de chapelle. Nous savons ces précisions par l’apport de l’abbé Provost qui a analysé cette lettre de Mme D’Ailleboust à Mgr de Laval, datée de septembre 1661.

En 1947 Honorius Provost conclu :

« A part l’école de Martin Boutet, qu’y avait-il alors, en fait de constructions, sur la réserve de M. d’Ailleboust? Sa veuve nous parle du « sieur Jobin ». Il s’agit d’un nommé Jean Jobin, tailleur d’habits, à qui l’ancien gouverneur avait accordé en concession, le 30 juin 1658, rien moins que la moitié de sa réserve, un demi-arpent en superficie, détaché dans la direction nord-sud et le long de la rue du Trésor. Jean Jobin s’était tout de suite installé sur son emplacement… En fait, comme on le voit par la suite, il s’est bâti une maison sur là ou se trouve à peu près le restaurant Old Homestead, sur la rue Sainte-Anne. »

Conclusion.

Pour respecter les sources historiques, le restaurant aurait eu avantage à être nommé Bistro Jobin.

Sources documentaires :

Provost, Honorius, « La réserve de M. d’Ailleboust à Québec », Bulletin des recherches historiques, Lévis, 1947, vol. 53, no.6, pp. 178-187

Greffre de Pauvret, Bail à rente à Jean Jobin, 30 juin 1658.

Source : Samuel Auger, Le Soleil, 11 mai 2011

La Coop des Grands rangs veut faire son nid… sur la rue Saint-Joseph, dans le quartier Saint-Roch. Pour réhabiliter les ruraux et les urbains, un collectif d’artisans et de producteurs agricoles prévoit ouvrir cet automne la première coopérative agricole en plein coeur de la ville.

(…)Un projet plus audacieux fera renaître à l’automne l’Artisan et son pays, alors que la Coopérative des Grands rangs sauvera la fromagerie. La future coop rêve d’implanter dans Saint-Roch un bâtiment multifonctionnel dédié aux artisans. Au menu : fromagerie, cuisine d’établissement, bistro, épicerie et salles de cours de cuisine.

Des passants de Saint-Roch pourraient apercevoir bientôt des artisans s’activer à produire du fromage derrière une grande fenêtre. Le premier fromage frais fabriqué en zone hautement urbaine.

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Que dire de plus que : RIDEAU.

Place Charest ferme ses portes.

Pour revenir sur le billet de la mi-mars sur les nouveautés commerciales sur St-Joseph.
Plusieurs bonnes nouvelles, et une mauvaise, pour la rue St-Joseph., voici des photos du Yuzu et des futurs « Table » et « Sushi Shop ». Un besoin maintenant pour un autre fast-food de type McDo pour faire compétition au Ashton ?

Le centre-ville de Québec va perdre son cinéma dans moins de deux semaines. Le Cinéplex Odéon Place Charest fermera ses portes au public le jeudi 7 avril.

Cinéplex Divertissement n’a toutefois pas l’intention de quitter définitivement le centre-ville de Québec. Selon une porte-parole de l’entreprise, des recherches sont en cours pour tenter de trouver un autre emplacement dans le but d’ouvrir un nouveau complexe.

Il s’agirait d’un cinéma à la fine pointe de la technologie avec des projections numériques et une salle 3 D.

Aucune date n’a été avancée pour l’instant pour l’ouverture de ce nouveau complexe.

Radio-Canada (Québec)

Cinéplex n’a jamais eu l’intention de quitter le centre-ville (Québec Hebdo)

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