Le projet doté d’un budget de 84 millions

Source : Elisa Cloutier, Journal de Québec, le 11 juin 2024

PHOTO FOURNIE PAR COMPLEXE ALOHA

Un nouveau complexe sportif de 20 M$, incluant un centre de surf offrant la plus grosse vague au Canada, verra le jour à Québec à l’automne 2025.

L’idée du projet a d’abord germé il y a cinq ans, à partir de l’«idée folle» de deux frères, Jean-François et Laurent Paquin, de Québec.

Le premier, âgé de 41 ans, est un entrepreneur de Québec, ayant notamment œuvré dans le domaine des technologies de l’information. Son frère, Laurent, âgé de 35 ans, est un enquêteur aux crimes majeurs de la Sûreté du Québec. Ensemble, ils caressaient le rêve d’ouvrir un centre de surf à Québec. «Est-ce qu’on est de grands surfeurs? Non. Mais, nous sommes passionnés […] Surfer en océan c’est excessivement dur, mais dans un centre de surf intérieur, c’est accessible. On peut changer et adapter la hauteur et l’angle de la vague», décrit celui qui affirme avoir visité la «presque totalité» des centres de surf dans le monde pour peaufiner son rêve.

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Simon Bélanger
Monlimoilou

Trois scénarios, encore très préliminaires, sont à l’étude face à l’avenir de la section nord-est d’ExpoCité, qui inclut le Colisée. Autour de 70 personnes ont tenté d’imaginer le futur du site lors d’un atelier participatif mardi soir. Et, n’en déplaise au maire de Québec, l’attachement au vieil aréna est toujours bien présent chez plusieurs citoyens.

(…)

La vocation événementielle d’ExpoCité doit notamment être pérennisée, alors que le site doit conserver une attractivité et un achalandage constant. Cette vocation événementielle d’envergure doit aussi se concilier avec les besoins de la communauté, quant aux impacts pouvant être causés par le bruit ou la circulation.
Les espaces sous-utilisés devront aussi être développés ou valorisés, par exemple en intégrant des stationnements intérieurs au projet. Les usages et les aménagements choisis doivent aussi être compatibles et cohérents, tandis que l’architecture de nouveaux bâtiments doit être à échelle humaine et en harmonie avec son milieu.

Les usagers de la mobilité active devront profiter d’un aménagement convivial. La sécurité et le confort devront aussi être de mise pour les usagers d’ExpoCité.

Finalement, on vise au moins 25% d’aire verte ou de canopée sur le site, à travers des travaux de déminéralisation et de verdissement.

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Source : Stéphanie Marti, Journal de Québec, le 19 avril 2024

La ville de Québec aura une patinoire réfrigérée Bleu Blanc Bouge financée en partie grâce à un don de la Fondation des Canadiens pour l’enfance, comme c’est le cas de celle de Trois-Rivières, qu’on voit ici sur la photo. PHOTO D’ARCHIVES, AGENCE QM

Les installations de la patinoire réfrigérée du parc Victoria coûteront au moins 8,2 millions $, selon les soumissions reçues, un coût qui est en deçà des estimations de la Ville, a appris Le Journal.

Les enveloppes de soumission ont été ouvertes mercredi. Six propositions ont été reçues. La plus basse, présentée par Construction Durand, se chiffrait à 8,18 millions $ et la plus haute se situait à 10 millions $, a indiqué le conseiller membre de l’exécutif responsable des sports, Jean-François Gosselin.

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QUÉBEC, le 3 avril 2024 /CNW/ – Le jury de sélection du concours d’idées lancé par le gouvernement du Québec pour le réaménagement du littoral du Saint-Laurent, phase 4, a dévoilé l’identité des trois équipes multidisciplinaires ayant présenté les concepts qu’il juge les plus porteurs.

(…)

Voici les lauréats :

1er prix
Le fleuve est tiède sur les battures
Atelier L’Abri, Écoterritoire, Ghost, Le Picbois, Montréal (Québec)

2e prix
Détour le long des chemins de Beauport
Re-A.D / ONE Architecture, États-Unis et Pays-Bas

3e prix
Littoral vivant
Pelletier de Fontenay & Enclume, Montréal (Québec)

Le communiqué

Sur les 32 projet déposés, 12 émanent d’équipes du Québec. Les autres projets ont été présentés par des équipes en provenance d’Europe (6), des États-Unis (3), d’Amérique du Sud (3), d’Australie (2) et d’ailleurs dans le monde (6).

Illustrations des projets

Dufferin-Montmorency: un boulevard urbain ? Journal de Québec

Source : Émilie Pelletier, Le Soleil, 11 décembre 2023

La centrale du parc Victoria (Erick Labbé/Archives Le Soleil)

La vie de la centrale Victoria tire à sa fin. Voué à une démolition, le bâtiment disparaîtra bientôt. Mais un éventuel projet sur ce terrain fort contaminé à l’entrée de la basse-ville pourrait prendre du temps à voir le jour. La démolition de l’actuelle centrale de police, au parc Victoria, discutée de longue date, a été reconfirmée lundi, lors d’une présentation détaillée du budget 2024 de la Ville de Québec. Le Service de la gestion des immeubles planifie que le vieux bâtiment de la rue de la Maréchaussée tombera sous le pic des démolisseurs ces prochaines années. «En demi -année» 2024, l’analyse pour y parvenir s’enclenchera. La disparition de l’édifice construit en 1965 devient possible avec le déménagement imminent des troupes du Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) dans la nouvelle centrale de police, à l’angle de l’autoroute Laurentienne et du boulevard Louis-XIV.

Les coûts de la démolition ne sont pas chiffrés, mais la Ville s’attend à des économies de 300 000 $ l’an prochain, réalisées à même la fin de l’entretien de la centrale.

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OUVERTURE PRÉVUE LE 17 NOVEMBRE À 10 H

Surface glacée pour le patinage

Renseignements généraux : 418 641‑6100 (ligne d’information automatisée)

Source : Patinoire d’Youville sur le site de la ville de Québec

Source : Stéphanie Martin, Journal de Québec, le 2 novembre 2013

Le lettrage du Colisée avait été enlevé en 2019. PHOTO D’ARCHIVES

La population aura son mot à dire sur le sort qui sera réservé au Colisée de Québec: l’administration Marchand entreprend une démarche de consultation publique pour déterminer ce qu’il adviendra du bâtiment et des stationnements adjacents. La Ville de Québec souhaite maintenant revaloriser le secteur nord-est du site d’ExpoCité, constitué principalement du Colisée de Québec et des stationnements adjacents», lit-on dans un sommaire décisionnel du comité exécutif de la Ville, qui a adopté cette semaine une résolution pour lancer un processus de consultation publique, en se basant sur une recommandation du comité exécutif d’ExpoCité.

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Source : Olivier Lemieux, Ici Québec, le 26 octobre 2023

Le nouveau quartier général du SPVQ devrait accueillir ses premiers policiers au début de 2024.

PHOTO : RADIO-CANADA / ERIC CAREAU

L’important chantier de la nouvelle centrale du SPVQ tire à sa fin. La Ville de Québec prendra possession du bâtiment dès le mois prochain, dans le respect du budget et de l’échéancier dévoilés lors de la mise à jour du projet, au printemps 2022.

La livraison aura lieu comme prévu le mois prochain, confirme le chef d’équipe des relations de presse à la Ville de Québec, Jean-Pascal Lavoie. Le budget tient toujours.

Il s’agit d’une bonne nouvelle pour l’administration Marchand dans un contexte où l’inflation continue de faire pression sur les projets d’infrastructure au pays.

Lors d’une visite de chantier, en mai 2022, la Ville évaluait les coûts de la réorganisation des effectifs du Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) à 143,3 millions de dollars.

À ce moment, la Ville jugeait l’enveloppe suffisante pour couvrir la construction d’une nouvelle centrale à l’intersection de l’autoroute Laurentienne et du boulevard Louis-XIV, pour 114,3 millions de dollars, ainsi que la réfection de l’édifice F.X.-Drolet, pour 29 millions de dollars, dans Saint-Roch, qui doit accueillir la Cour municipale, un poste de police de quartier et une aile de détention.

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SCHL

Les mises en chantier sont un indicateur économique qui reflète le nombre de logements dont la construction a été commencée pendant une période déterminée. Les données sont divisées en 3 catégories : les maisons individuelles, les maisons en rangée ou les copropriétés de petite taille, et les immeubles d’appartements de 5 unités ou plus.

Faits saillants des mises en chantier mensuelles de septembre

La tendance des mises en chantier d’habitations a augmenté en septembre 2023. Elle s’est chiffrée à 254 006, en hausse de 3,9 % par rapport à celle de 244 511 relevée en août.

Cette tendance correspond à la moyenne mobile de 6 mois du nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé de mises en chantier d’habitations dans l’ensemble des régions du Canada.

Le nombre total désaisonnalisé et annualisé de mises en chantier d’habitations a augmenté de 98 % à Montréal et de 20 % à Toronto en septembre.

À Vancouver, il a diminué de 17 %, l’activité ayant baissé tant pour les maisons individuelles (-12 %) que de pour les logements collectifs (-18 %).

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* Pour le tableau avec les donnée pour la ville de Québec: Les données