Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Lieux magiques »

La Tour Martello no. 4: Le trésor caché du Faubourg Saint-Jean-Baptiste

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er juin 2010 27 commentaires

La Tour Martello no.4 ˆsur la rue Lavigueur / Photo Francis Vachon

La Tour Martello #4 ˆsur la rue Lavigueur / Photo Francis Vachon

Saviez-vous qu’une tour de défense militaire datant près de 200 ans est située à la limite de la falaise du Faubourg Saint-Jean-Baptiste? Une tour inaccessible au public qui est difficilement atteignable par les multiples rues étroites à sens unique de ce quartier. Elle nous surprend lorsqu’on tombe face à face à elle, puisqu’elle empiète sur la moitié de la rue Lavigueur. De plus, elle est complètement cachée de la basse-ville par l’importante végétation du cap.

La construction des tours

L’effort de fortification des Britanniques a débuté en 1800 après une nouvelle menace d’invasion américaine. La construction des tours a débuté en 1808. Les trois premières tours ont été complétées en 1810. La quatrième tour fut complétée 2 ans plus tard, soit en 1812, par manque de main-d’oeuvre disponible et due aux trop courtes saisons de travaux.

Tour Martello no.4 en 1838 par un artiste inconnu (Archives Canada)

La structure d’une tour comme celle-ci est très solide. L’armée britannique avait dû faire face à ce type de construction en 1794 à la pointe de Mortella en Corse. Pendant 2 jours, la tour avait résisté à des bombardements de 2 navires équipés de multiples canons . Les Britanniques furent impressionnés par la robustesse de cette tour. Ils ont donc décidé d’en bâtir plusieurs un peu partout dans le monde et d’en copier l’architecture. Toutefois, ils se sont trompé dans le nom en les nommant « Martello » au lieu de «Mortella».

La tour no. 4 mesure 42,5 pieds en diamètre, elle est 26,5 pieds de haut et ses murs ont 6 à 11 pieds d’épaisseur. La tour no. 1 est légèrement plus grosse avec un diamètre de 44,5 pieds et une hauteur de 29,1 pieds. La tour no. 2 a donc un diamètre de 56 pieds et une hauteur de 33 pieds. Les tours du centre, les nos. 2 et 3, étaient plus grosses que celles à l’extrémité (nos. 1 et 4). Les murs sont bâtis avec un mélange de pierre de calcaire disponible à Charlesbourg et Beauport et de la pierre de grès disponible à l’Ange-Gardien.

La terrasse de la tour s’appuyait sur une chambre forte voûtée avec un énorme pilier central. On pouvait alors y placer un lourd et puissant canon qui pouvait pivoter sur 360 °. L’assise de la tour était plus large pour améliorer sa solidité.

Un système de défense avancé

Les quatre tours ont été construites pour empêcher ou du moins ralentir l’envahisseur américain à atteindre Québec. À cette époque, la Ville de Québec s’étendait uniquement à l’intérieur des fortifications. Les tours étaient situés à environ un kilomètre de la Ville. Les murs à l’ouest des forts étaient épais de 3,5 mètres (12 pieds) du côté ouest et beaucoup plus minces du côté de la Ville (1,5 mètre).

Les murs épais étaient conçus pour résister aux boules de canon ennemies. Les murs intérieurs étaient conçus pour être détruits facilement par les canons situés à Québec et dans les autres tours si l’ennemi en prenant le contrôle d’une tour. En autres mots la terrasse du canon et la chambre voûtée n’étaient pas au centre du bâtiment.

La différence d'épaisseur des murs / Photo Francis Vachon

La différence d'épaisseur des murs / Photo Francis Vachon

Un fort autonome

Les tours ont été conçus pour être occupés pendant une lune (environ un mois) par une garnison de soldats. La tour no. 4 pouvait loger 12 hommes. Lors des changements de garde, les soldats sortaient et entraient de la tour par une porte au 1er étage et à l’aide d’une échelle amovible. Cette dernière était alors hissée vers le haut dans la tour par les soldats pour éviter qu’un ennemi y mette les pieds. Il y avait 2 quarts de travail. 6 hommes montaient la garde sur la terrasse de la tour au 2e étage alors que les 6 autres opéraient la tour (bois de chauffage, cuisine, poudrière, etc.) et se reposaient.

L’escalier étroit

L'Escalier menant à l'espace supérieur

Pour circuler entre les 2 espaces de travail, un escalier était construit à même le mur le plus mince. Elle était très étroite et elle épousait la courbe du mur de la tour. Un soldat en haut de l’escalier pouvait alors se défendre avec son fusil et se réfugier le long du mur pour éviter de se faire tirer en cas d’invasion.

L’espace d’entreposage et la poudrière

Le rez-de-chaussée avait une vocation plus utilitaire et d’entreposage. On y entreposait la nourriture et l’eau grâce à de vastes réservoirs sous le plancher. On pouvait hisser l’eau avec des chaudières grâce à des cordes rattachées au plafond voûté du 2e et à travers des trappes au plancher. Le RDC logeait aussi la poudrière qui était isolée dans un coin dans sa propre voûte en pierre.

Jamais mise à l’épreuve

Lors de la guerre anglo-américaine de 1812, les tours Martello de Québec étaient pleinement fonctionnelles et prêtes à recevoir l’ennemi. Toutefois, lors de la bataille de Châteauguay le 25 octobre 1813, les troupes de Charles de Salaberry ont défait les 4 000 troupes du major-général Wade Hampton et les empêchant ainsi de monter le fleuve Saint-Laurent et atteindre Québec.

La tour au fils des ans

L’emplacement des tours no. 3 et no. 4 à l’extérieur des champs de bataille les ont en quelque sorte isolés. La tour no. 4 s’est fait enclaver dans un quartier résidentiel par le développement domiciliaire de la fin du 19e siècle. Autrefois, située au bout du cap dans un champ, elle empiète maintenant sur la rue Lavigueur. La Ville de Québec a construit la rue en faisant abstraction de la présence de la tour. Les véhicules automobiles doivent la contourner puisqu’elle occupe la moitié de la voie de circulation comme le témoigne le plan de localisation de 1987.

Démolition de la tour no. 3 en 1905

Démolition de la Tour Martello no. 3 (archives de la Ville de Québec)

On est allé jusqu’à détruire une autre tour, la no. 3, en 1905 pour permettre la construction du MacKenzie Memorial Building en 1906 de l’Hôpital Jeffrey-Hale lorsqu’elle était située jusqu’en 1955 sur la Colline Parlementaire (voisin du Grand-Théâtre). L’emplacement précis de la tour est bien identifié sur Wikimapia.

Création de la Commission des champs de bataille nationaux en 1908

J’ai été incapable de voir un lien officiel entre la fondation de la Commission et les événements. La Commission a d’ailleurs fait l’acquisition de la tour no. 4 en 1910. L’armée britannique possédait jusqu’alors l’équipement. Fait étonnant, un gendarme de l’armée britannique a surveillé et habitué la tour avec sa famille de 1892 à 1907.

La famille qui a habité dans la Tour Martello no. 4 de 1892 à 1907 (archives de la Ville de Québec)

Travaux de restauration

Les trois tours subiront des travaux de restauration en 1910, 1937, 1964 et 1992. Les travaux de 1964 comprenait des nouveaux planchers de béton pour remplacer les planchers de bois probablement pourris. Les travaux en 1992 ont été très importants puisqu’ils comprenaient un nouveau toit, des travaux de mortier et un nouvel escalier extérieur et seules les tours 1 et 2 ont reçu des nouveaux planchers de bois.  D’ailleurs, elle fut la seule à ne pas recevoir un plancher de bois fidèle à ceux d’origine.

Les toits

Le toit de la tour no.4, vue de l'intérieur / Photo Francis Vachon

La terrasse à l’origine n’avait pas de toit. Le toit aurait été construit 11 ans plus tard en 1823. On constatait que l’eau et la neige endommageaient trop la maçonnerie et les pièces d’artillerie. Les premiers toits étaient bas. Le dernier toit reconstruit en 1992 offre un bon dégagement pour les occupants.

La tour no. 4 aujourd’hui

Cette tour ne fait pas partie du circuit touristique dû à son emplacement peu accessible. Elle n’est pas exploitée par la Commission des champs de bataille nationaux. Elle demeure la propriété de la Commission qui a la responsabilité de son entretien et sa surveillance. Le CCBN n’a pas de plans futurs pour la tour autre que le statu quo.

Elle ne contient aucun bien ou artefact de l’époque. Elle est entièrement vidée de son contenu historique. Son foyer est condamné et les pièces d’artillerie sont toutes retirées. Son canon principal, autrefois installé sur le toit, a été déménagé et installé sur les Plaines d’Abraham sur l’avenue Tâché.

D’ailleurs, les agents de sécurité de la CCBN font régulièrement des tournées sur la rue Lavigueur. La sécurité est assurée par le Corps canadien des Commissionnaires qui rendent des services dans la plupart des sites et édifices du gouvernement fédéral.

Les Compagnons de l’ère médiévale depuis 1996

Une association d’adeptes de l’époque médiévale a pris son envol après les fêtes des médiévales de 1993 et 1995. La Ville de Québec s’est entendue avec la Commission des champs de bataille pour prêter la Tour Martello no. 4 à ce groupe en 1996. L’entente s’est renouvelée plus officiellement en 2008 avec la CCBN directement.

Les Compagnons sont en sorte les gardiens de la tour. Ils ont la responsabilité de veiller sur elle et l’occuper. Elle serait autrement vide et pas surveillée. Ils défrayent aussi le coût des assurances habitation qui atteignent les 2 500 $ par année due à la particularité du bâtiment. La Commission a toutefois la responsabilité de la préservation des lieux, des coûts en électricité et de l’entretien du bâtiment.

Aujourd’hui, l’association regroupe 20 bénévoles qui organisent des soupers banquets avec une thématique médiévale au 2e étage (la terrasse recouverte du toit). Le bâtiment est leur lieu de rencontre et il sert à entreposer leurs costumes et accessoires. Ils doivent être discrets par respect au voisinage qui est à proximité. Ils s’imposent un couvre-feu de 23 h pour toutes leurs activités en soirée.

D’ailleurs, l’ex-président de l’association, André Chagnon, et une des administratrices, Huguette Desroches ont permis à Francis Vachon et moi de faire une visite complète de la tour. Nous les remercions pour leur accueil inconditionnel.

Les aménagements décoratifs réalisés par Les Compagnons de l’ère médiévale. La photo de gauche montre le pilier central / Photo Francis Vachon

Faits intéressants

  • Lors de notre visite, il faisait un écrasant 30 ° avec beaucoup d’humidité. Une fois rendu à l’intérieur, on aurait cru avoir changé de saison. C’était très confortable tout en restant assez humide.
  • Malgré que la tour est officiellement fermée au public, les Compagnons sont très accueillants et vous êtes les bienvenus à visiter la tour lorsqu’ils sont sur place.

Pour en savoir plus :

MAJ 2010-06-02 : J’ai ajouté le plan de localisation de 1987 dont je faisais mention dans le texte. Ça va aider davantage dans la compréhension.

MAJ 2010-07-20 : J’ai retiré l’information que la tour glissait vers le cap et que la hauteur des marches était un moyen de trébucher l’ennemi. J’ai ajouté l’emplacement actuel du canon. J’ai corrigé les faits sur les rénovations sur les planchers des tours.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Histoire, Lieux magiques, Patrimoine et lieux historiques, Québec La cité, Voyage dans le temps.

Invitation à aller découvrir la rivière de Cap-Rouge

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 mai 2010 1 commentaire

Source : Thaïs Martel, Québec Hebdo, le 16 mai 2010

La rivière du Cap Rouge s’est refaite une beauté et veut maintenant se laisser découvrir. Les sentiers pédestres qui longent la rivière, depuis le secteur Cap-Rouge derrière l’église et qui se prolongent vers le nord, au-delà de l’autoroute Félix-Leclerc dans le secteur Champigny, seront le théâtre d’un rallye-découverte le 29 mai prochain.
La Ville de Québec a en effet complété récemment l’aménagement d’un nouveau parcours dans le secteur Champigny, entraînant la tenue du tout premier rallye-découverte des sentiers de la rivière du Cap Rouge, un parcours aller-retour de 3,7 km depuis le parc Kiwanis (Champigny) jusqu’à la rue René-Pomerleau.

Le Conseil de bassin de la rivière du Cap Rouge (CBRCR), en collaboration avec les Conseils de quartier de l’Aéroport et de Cap-Rouge, invite la population à venir apprécier la beauté de la rivière et de ses abords. C’est aussi pour le CBRCR l’occasion de sensibiliser les randonneurs à la protection, à la restauration et à la mise en valeur de ce cours d’eau pour les générations actuelles et futures.

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Le Conseil de bassin de la rivière du Cap-Rouge.


Ainsi que la carte des sentier en version pdf.

La rivière de Cap-Rouge sur Google Maps.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Art de vivre en ville, Lieux magiques, Parc, Qualité et milieu de vie.

L’histoire du tunnel de chemin de fer sous Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 mai 2010 30 commentaires

Entrée sud du tunnel du CP (crédit photo Meddy Garnet)

Saviez-vous qu’un tunnel de chemin de fer de 1,6 kilomètre passe sous la Ville de Québec? Il fut construit en 1930 et il est toujours en exploitation. Il est à une profondeur de 100 mètres sous la haute-ville et les Plaines d’Abraham.

Son extrémité nord est située dans le quartier St-Malo tout près du boulevard Charest Ouest entre les rues Vincent Massey et de Verdun. L’extrémité sud est située à l’Anse-au-Foulon près du Fleuve St-Laurent sous un viaduc du boulevard Champlain. Sa trajectoire suit l’avenue Belvédère et passe sous les Jardins de Mérici. Il a une pente ascendante vers le nord.

Construction du tunnel

Les travaux ont débuté en 1930 et le premier train y a circulé le 26 mai 1931. Le chantier a employé 600 hommes qui travaillaient 12 heures par jour et qui habitaient le chantier dans des voitures-voyageur ferroviaires à proximité. Le projet avançait de 16 pieds par jour. La construction aurait duré 11 mois avec des équipes qui ont creusé chaque extrémité pour se rejoindre au milieu. La boue du côté sud a servi à remblayer le long du fleuve. Trois niches ont été créées dans le tunnel pour éviter le passage des trains.

Relayer le nouveau Port Champlain au chemin de fer Québec-Montréal

Vue de l'intérieur du tunnel (crédit photo Meddy Garnet)

Le tunnel avait été construit pour relayer le nouveau secteur Anse-au-Foulon du Port de Québec à la ligne principale Québec-Montréal. La mise en service du navire transatlantique Empress of Britain du Canadien Pacifique était la principale justification de la construction de ce tunnel. Le port servait uniquement l’été puisque le chenal du St-Laurent était glacé tout au long de l’hiver à cette époque. Les navires Empress ne pouvaient se rendre directement à Montréal puisque la hauteur de leurs mats ne permettait pas de passer sous le pont Jacques-Cartier. On avait décidé de faire escale à Québec pour transférer les passagers sur les trains jusqu’à la métropole. L’utilisation du tunnel a grandement diminué à partir de 1964, puisqu’on a commencé à briser la glace entre Québec et Montréal et le service de navires de passagers transatlantique avaient disparu au profit de l’avion.

Autres faits intéressants

La courbe avant l’entrée sud du tunnel ralentissait les locomotives à vapeur. La pente ascendante pour circuler vers le nord faisait glisser les roues sur les rails humides. Les employés devaient se mettre des morceaux de linge mouillés devant leur visage pour éviter de trop respirer de fumée. La fumée était si importante, qu’ils étaient incapables de voir autour d’eux. Ils devaient toucher la paroi du tunnel pour savoir s’ils avançaient. Aussitôt que les locomotives au diesel ont été disponibles, le Canadian Pacifique en a dépêché une sur place pour pousser les trains à vapeur pour éviter d’incommoder les passagers.

Le tunnel avait auparavant de grandes portes à chaque extrémité pour éviter que la neige s’infiltre lors de tempêtes et se transforme en glace. Mais, en 1960 un train circulait vers le sud et un employé avait oublié d’ouvrir les portes. Elles ont été fracassées par la locomotive. Elles n’ont pas été remplacées et celles à l’entrée nord ont été retirées.

Aujourd’hui

Le réseau de la Rive-Nord incluant le tunnel ont été vendus en 1997 par le CP à la compagnie Chemins de fer Québec-Gatineau qui appartient à Genesee & Wyoming Inc. Un train l’emprunterait à chaque jour.

Liens intéressants

Photos additionnelles

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Arrondissement La Cité - St-Sauveur, Histoire, Industriel, Lieux magiques, Patrimoine et lieux historiques, Voyage dans le temps.

Québec, ville religieuse

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 avril 2010 8 commentaires

De gauche à doite et de haut en bas :

L’église St-Dominique; l’église St-Jean-Baptiste; l’église St-Roch; la basilique Notre-Dame; la cathédrale anglicane Holy Trinity.

Nos églises sont nos châteaux.


Le conseil du patrimoine religieux du Québec.


Joyeuses Pâques à tous nos lecteurs.

Voir aussi : Lieux magiques, Patrimoine et lieux historiques, Québec La cité.

Site historique du Monastère-des-Augustines de l’Hôtel-Dieu-de-Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 avril 2010 2 commentaires

Rien de bien spécial à dire sinon que je me trouvais dans ce secteur et que les Augustines ce sont plusieurs siècles d’histoire qui nous contemplent.

Le gouvernement fédéral investira dans ce lieu historique.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Lieux magiques, Patrimoine et lieux historiques.

MNBAQ : la firme OMA remporte le concours

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 mars 2010 97 commentaires

Source : François Bourque, Le Soleil, le 31 mars 2010

Crédit Image : Luxigon

(Québec) La firme OMA (Office for Metropolitan Architecture) du Néerlandais Rem Koolhaas, remporte le concours international d’architecture pour le nouveau pavillon du Musée national des beaux-arts de Québec, a appris Le Soleil.

Ce pavillon sera construit sur la Grande Allée avec un budget alloué de 90 millions $. La livraison est prévue en 2013.

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La page consacrée à l’agrandissement du musée sur le site du MNBAQ

Le site de la firme OMA

Nouvelle vue d’ensemble de la future bâtisse, gracieuseté de kollectif.net

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Lieux magiques, Patrimoine et lieux historiques, Québec La cité.

Quatre ans sans zoo à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 mars 2010 34 commentaires

Source : Thaïs Martel, Québec Hebdo, 28 mars 2010

Malgré les quatre années écoulées depuis la fermeture, les citoyens ne baissent pas les bras. René Reid, membre du Comité de citoyens pour la réouverture du Jardin zoologique, cite d’ailleurs quelques chiffres pour appuyer les prétentions de son groupe. «S’il demeure fermé, sur les 11 années qu’il reste à son amortissement de 15 ans, le Jardin zoologique de la Capitale, coûtera 247.5 M$, soit près de 78 M$ de plus que s’il est rouvert grâce à un investissement de 35 M$ et une aide gouvernementale récurrente de 12,5 M$.»

Lire l’article

En 2006, une partie du site a été transformé en parc. Et SOS Zoo refuse de baisser les bras.
Il y a aussi un projet d’école d’horticulture à cet endroit, qui ne semble pas décoller.

Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg, Lieux magiques, Message d'intérêt public, Parc.

Rendez-vous à la plage du Foulon avec votre maillot en 2013

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 février 2010 15 commentaires

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 28 février 2010

Les gens de Québec pourront se réapproprier la fameuse plage de l’anse au Foulon au plus tard en 2013, alors que sera terminé l’aménagement de la promenade Samuel-De Champlain au coût de 210 millions, a appris Le Journal de Québec.

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Un petit retour dans le passé, en octobre 2005, où tout ce projet de Promenade Samuel-de-Champlain n’était qu’un rêve.
Vous-y verra-t-on ?

Voir aussi : Environnement, Lieux magiques, Nouvel urbanisme, Parc, Projet - Promenade Samuel de Champlain, Qualité et milieu de vie.

Passerelle du Buisson : le dossier débloque

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 février 2010 Commentaires fermés sur Passerelle du Buisson : le dossier débloque

Source : Luc Fournier, Québec Hebdo, le 8 février 2010

La passerelle devant enjamber la rivière Saint-Charles dans le quartier Duberger-Les Saules devrait finalement être construite à l’automne. Il faudra d’abord adapter le schéma d’aménagement de la Ville de Québec et obtenir l’accord du ministère de l’Environnement.
Un pilier devra nécessairement être construit sur une rive de la rivière, dans une zone jugée inondable. Toutefois, selon la Politique de protection des rives, du littoral et des plaines inondables, on ne peut construire dans une telle zone.

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La fin d’une controverse ?

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Lieux magiques, Parc.