Ce projet à Saint-Roch dans le stationnement du Ashton de la rue Saint-Joseph va être très gros. Pour en savoir plus, la page web du projet est ici.
Projet de GM Développement au 800 Charest est: état des travaux.
Ce projet à Saint-Roch dans le stationnement du Ashton de la rue Saint-Joseph va être très gros. Pour en savoir plus, la page web du projet est ici.
Projet de GM Développement au 800 Charest est: état des travaux.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Commercial, Hauteur, Logement locatif ou social.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.
Les travaux pour le projet Kozi en haute-ville au coin du chemin Ste-Foy et de Cardinal-Bégin sont débutés.
Les deux côtés de l’immeuble en transformation.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Logement locatif ou social.
Marie-Soleil Brault
Le Soleil
Si vous vous êtes demandé ce qui se construisait sur boulevard Charest Est à l’intersection Monseigneur-Gauvreau, il s’agit du projet résidentiel Le Watson. 177 unités seront construites d’ici l’été prochain.
Le promoteur immobilier Camado, en partenariat avec GSE Immobilier, est derrière le bâtiment de 12 étages qui prendra forme d’ici juillet 2022.
Des studios 3 ½, 4 ½ ou 5 ½ seront offerts et selon Mathieu Bérubé-Beaumont, directeur des opérations à GM Développement, les unités moins dispendieuses coûteront autour de 900 $, tout inclus.
Des aires communes seront ouvertes aux futurs résidents, dont un foyer, un espace de cuisine et de billard, une piscine avec un pavillon au toit, ainsi qu’un stationnement souterrain.
«L’emplacement de choix, près des transports en commun, de la piste cyclable, du Port de Québec, de la gare et en bordure du tracé du futur réseau de transport structurant sera également un atout important lorsque nous présenterons le projet aux futurs locataires», cite le communiqué de presse publié mardi.
Il est déjà possible de louer et les premiers résidents pourront s’y installer en juillet 2022.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.
Pierre-Paul Biron
Journal de Québec
Le promoteur a présenté mardi son projet de QG Vieux-Québec, qui comprend 40 unités de logement. Un promoteur immobilier veut changer la face du secteur de l’îlot Charlevoix, terrain vacant de la côte du Palais, en transformant complètement le quadrilatère pour y créer un «district» décliné en volets résidentiel, gourmet, services, patrimonial et hôtelier, un projet de «75 M$ à 100 M$». Avec son projet, le groupe Capwood dit vouloir «consolider la vie de quartier» dans ce secteur de la ville qui est délaissé par les familles.
Selon les données du promoteur, la population du quartier «Vieux-Québec/Cap-Blanc/Colline-Parlementaire» a diminué de 13% au cours des 15 dernières années. Soixante-trois pour cent des ménages y sont composés de personnes vivant seules.
Le QG Vieux-Québec se veut donc un milieu de vie qui viendra unifier le secteur, selon le promoteur et la firme d’architectes qui l’accompagne, ABCP. «Le QG permet d’atténuer cette image négative, grâce au déploiement de nouveaux résidents; d’un projet adapté aux familles; d’une diversité de services de proximité; d’une communauté vivante et permanente [et] d’une vie de quartier s’harmonisant avec la vocation touristique», peut-on lire dans la présentation du projet faite par le promoteur.
Le projet, qui devait au départ inclure uniquement une construction sur le lot vacant de l’îlot Charlevoix, a pris de l’ampleur au cours des dernières années. On trouvera dans le quadrilatère des rues Charlevoix, de l’Hôtel-Dieu, Saint-Jean et côte du Palais un éventail de fonctionnalités comprenant un hôtel, un atrium mettant en valeur les anciennes écuries, un marché, un hall alimentaire, des soins de santé et de bien-être, un centre d’interprétation historique, des stationnements souterrains et 40 unités de condo.
Les plans redessinés prévoient un investissement de 75 M$ à 100 M$. Le groupe espère aussi que son projet aura un effet d’entraînement sur le reste du quartier, où l’on retrouve de nombreux immeubles dans lesquels les logements des deuxième et troisième étages sont abandonnés. «Le QG Vieux-Québec aura un effet d’entraînement sur ces logements abandonnés en raison de l’apport en services de proximité, la création d’un milieu de vie de qualité et aussi la possibilité d’acquérir ou de louer des stationnements», soutient le Groupe Capwood, qui s’engage également à respecter le bâti patrimonial du secteur.
Le dossier de l’îlot Charlevoix date d’il y a déjà quelques années. Le convoité terrain vacant, qui appartenait au ministère de la Santé et des Services sociaux, avait été racheté par la Ville de Québec en 2017 afin d’y développer un projet qui viendrait «redynamiser» le secteur. En mars 2018, la Ville avait lancé un appel de propositions, disant souhaiter une construction «dans un horizon de quatre ans». Le promoteur retenu, Capwood, a toutefois présenté à la Ville un projet revampé et bonifié, dévoilé aujourd’hui, ce qui a repoussé les délais. La direction indique que des travaux de décontamination ont été menés et qu’on n’attend plus que certaines autorisations gouvernementales pour commencer la construction.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo, Logement locatif ou social, Patrimoine et lieux historiques.
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Un projet immobilier d’une envergure certaine, piloté par des groupes communautaires, est en germination dans Sainte-Foy. Une ancienne école sera rasée pour faire de la place au bâtiment de 30 millions $. Un tel investissement est rare dans le milieu des organismes sans but lucratif, convient Stéphane Paradis, directeur général de la popote populaire La Baratte. «C’est un très gros projet.»
«Un projet mixte avec habitations et services communautaires est prévu sur la rue Boivin, dans l’arrondissement de Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge. Le site est actuellement occupé par des organismes communautaires, [un stationnement] et un jardin communautaire. Il est prévu de démolir le bâtiment actuel et d’en construire un nouveau. Le projet comprend 93 logements et 12 espaces dédiés à des organismes communautaires. La clientèle du volet habitation comprend des jeunes en difficulté et des personnes ayant un enjeu de santé mentale.» Source : Ville de Québec
Nous sommes devant l’ancienne école Saint-Thomas-d’Aquin de la rue Boivin. Sur notre gauche, à l’intersection, passe l’avenue Myrand. À droite, la rue Terrasse Laurentienne. Pas loin, il y a l’université Laval.
C’est ici qu’une poignée de groupes d’aide ont élu domicile au début des années 2000 après avoir investi un demi-million pour rénover l’immeuble qui appartenait à la Commission scolaire des Découvreurs.
Pour acquérir la propriété, ils ont fondé la coopérative La Maison des entreprises de cœur.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Institutionnel, Logement locatif ou social.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo, Logement locatif ou social.
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Le développement effréné des rives de l’autoroute-boulevard Robert-Bourassa ne semble pas décélérer. Et les promoteurs immobiliers, qui s’en donnent à cœur joie dans Lebourgneuf, ne paraissent pas rassasiés. Certains zieutent maintenant le quartier Duberger-Les Saules, plus au sud.
La mutation accélérée de ce secteur de la capitale autrefois boisé, qui a commencé avec le prolongement de Robert-Bourassa vers le nord en 2006, se poursuit donc. Des milliers de copropriétés, appartements pour aînés et maisons de ville sont apparus au-dessus du boulevard Lebourgneuf. Des milliers d’autres germent sous cette frontière, en direction de Sainte-Foy.
Le plus gros projet, le Quartier Mozaïque, progresse toujours du côté ouest des commerces des Galeries de la capitale. La résidence pour personnes âgées le Marc-Aurèle est debout. Tout comme son voisin, le Saphir de 223 appartements. Lors de notre récent passage, les ouvriers s’affairaient sur deux autres bâtiments du complexe qui en comptera 11. Une réalisation de Kevlar et Constrobourg.
Félix-Leclerc
Il faut toutefois rouler encore un peu direction sud pour nous retrouver officiellement dans Duberger-Les Saules. Dès l’autoroute Félix-Leclerc traversée, nous y sommes.
À l’est, nous voyons le vaste terrain boisé du Groupe Dallaire collé sur le Réno-Dépôt. Tout de suite après, le chantier grouillant de L’Aventura du Groupe Huot. Environ un millier de logements neufs sont annoncés en 10 phases de travaux. Déjà, plusieurs bâtiments ont été complétés sur le grand lot.
La suite
En poursuivant notre route vers Sainte-Foy, nous constatons qu’il ne reste plus beaucoup de terrains disponibles : il y a des parcs municipaux, des propriétés d’Hydro-Québec, une zone industrielle.
L’autoroute Robert-Bourassa offrirait néanmoins encore de belles opportunités pour les investisseurs. Aussi, deux tours totalisant quelque 300 logements seront érigées au croisement du boulevard Père-Lelièvre, devant la rivière Saint-Charles.
Juste à côté, la Ville prévoit la construction d’une centaine d’appartements abordables communautaires. Histoire d’assurer une certaine mixité sociale.
Examinons les infos que nous avons grappillées…
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DUBERGER-LES SAULES AURAIT BESOIN DE NOUVEAUTÉ
«Les besoins étaient là pour construire ces logements», assure le promoteur George Blouin, de Synchro immobilier, l’entreprise désirant édifier les deux tours de Père-Lelièvre. «Sinon je n’aurais aucun intérêt à investir dans ce projet s’il n’y avait pas de demande. Des logements neufs à Duberger, il n’y en a pas présentement, donc c’est intéressant d’offrir un autre type de logements à la clientèle dans un parc résidentiel plus âgé.»
Cette citation est tirée du compte-rendu d’un exposé qu’a récemment effectué l’homme d’affaires devant les membres du conseil de quartier. Cet exercice est obligatoire afin d’obtenir le changement au règlement de zonage qu’il souhaite. Un prérequis à l’obtention des permis de la Ville.
Les représentants des citoyens élus au conseil ont exprimé des craintes quant à la grosseur des tours projetées, quant à la circulation automobile, quant à la protection de la rivière Saint-Charles. Ils n’ont pas l’habitude de voir des bâtiments de tels gabarits dans leur coin.
Le développeur s’est fait rassurant. Tout comme les représentants de la Ville de Québec. L’imposant stationnement souterrain ainsi que la proximité de l’autoroute devraient assurer une fluidité dans le trafic. Et des normes de construction édictées par la mairie devraient protéger le cours d’eau.
Renouvellement
Nous avons appelé George Blouin afin d’obtenir quelques détails supplémentaires. Il est convaincu que le quartier Duberger-Les Saules est mûr pour la densification. «Le milieu bâti de Duberger, au niveau de l’offre en location, est assez âgé», réitère-t-il. Mais il y aurait une clientèle intéressée à s’y installer.
«Tranquillement, Père-Lelièvre est en train de se renouveler. C’est un secteur où il y a de la place pour restaurer des bâtiments existants ou en bâtir des neufs.»
Son projet : deux édifices totalisant plus ou moins 280 portes sur les terrains abandonnés de l’intersection sud-ouest de Père-Lelièvre et Robert-Bourassa. Le site est en friche depuis la démolition de maisons mal en point. Ne subsiste qu’un commerce fermé qui sera également éliminé.
Sur les dessins architecturaux que nous avons dénichés, nous constatons qu’il y aura trois niveaux souterrains pour les voitures. Au-dessus du sol, un immeuble comptera 8 étages ; l’autre 12.
«On vise la clientèle typique en mesure de se payer du logement neuf, entre 900-1500$ [par mois].» Le plus petit bâtiment, le B sur les plans, s’élèvera en premier. Il faudra environ 13 mois pour le compléter. La gestation du «C» sera plus longue ; il devrait naître un an plus tard.
L’échéancier n’est pas encore coulé dans le béton. M. Blouin escompte néanmoins lancer son chantier fin 2022 pour une livraison en 2024. Les plans seront peaufinés au cours des prochains moins.
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OUI, MAIS IL Y A DES CONDITIONS
«Le projet offre l’occasion de revaloriser un ensemble de terrains vacants», souligne la Ville dans une analyse publiée récemment. «Le projet contribue ainsi à l’atteinte des objectifs d’urbanisme de consolidation urbaine. Toutefois, considérant le nombre de logements et le gabarit du bâtiment projeté, il importe d’assurer une intégration harmonieuse du projet dans le milieu construit environnant.»
L’administration municipale a donc établi une liste de conditions à remplir avant que Synchro obtienne son permis de construction : verdissement, impact limité sur les voisins, protection de la rivière…
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DES LOGEMENTS SOCIAUX
Sur les plans que nous avons consultés, il y a un troisième bâtiment. Le bâtiment A, situé à l’ouest des deux qu’érigera Synchro immobilier.
L’investisseur privé s’est entendu avec la Ville et les organismes Un Toit en Réserve, Solidarité familles ainsi que l’Association du Québec pour l’intégration sociale. Il leur a vendu une partie de son terrain pour 1,3 million $ plus taxes.
Que verra-t-on sur cette portion du lot ? C’est là que les groupes populaires planteront un nouvel édifice à vocation sociale. «Le projet comprend 95 logements distribués en six étages», lit-on dans un document officiel. «Trente-six logements sont destinés pour des familles, 35 logements pour des personnes ayant une déficience intellectuelle, 12 logements pour des familles monoparentales, 12 logements pour des personnes ayant une problématique de santé mentale et 12 espaces dédiés à des organismes communautaires.»
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Condo, Logement locatif ou social.
Nouvelle construction de résidences pour étudiants, cette fois pour les étudiants de l’Université Laval.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Logement locatif ou social.
Sébastien Tanguay
Radio-Canada
La région de Québec a connu, au mois d’août, la plus importante diminution du pays quant aux mises en chantier d’habitations, accusant un recul de 78 % par rapport à 2020.
La région métropolitaine de recensement de la capitale n’a compté que 170 mises en chantier au cours du mois d’août 2021. Pendant la même période l’an dernier, la RMR de Québec en recensait 781, selon les données les plus récentes de la SCHL.
Il s’agit de la plus importante baisse enregistrée au mois d’août non seulement au Québec, mais dans l’ensemble des centres urbains de plus de 10 000 habitants du Canada.
En comparaison, Sherbrooke, au cours de cette même période, limitait la baisse à 4 % tandis que Montréal accusait une diminution de seulement 1 % par rapport à 2020.
Trois-Rivières, pendant ce temps, connaissait une hausse de 17 % des mises en chantier d’habitations.
La RMR de Québec a connu une année de construction résidentielle exceptionnelle en 2021. Avec 6476 logements individuels et collectifs construits depuis le début de l’année, la RMR enregistre une hausse de 50 % par rapport aux 4305 chantiers résidentiels démarrés au cours des huit premiers mois de 2020.
Dans l’ensemble de la province, les mises en chantier, au moins d’août, ont reculé de 15 %. Paul Cardinal, le directeur du Service économique de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec, y voit des signes indiquant que la cadence des mises en chantier commence à s’essouffler.
Néanmoins, l’activité demeure robuste, de sorte qu’on se dirige toujours vers la meilleure année depuis 1987 pour la construction résidentielle au Québec, conclut-il.
Voir aussi : Condo, Logement locatif ou social, Résidentiel.