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Le projet et un billet précédent en novembre 2019
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Ce projet est réalisé par Immostar « Totalisant un investissement de 130 M$, MU est réalisé par IMMOSTAR en partenariat avec Fiera Immobilier et Claridge. Avec un chantier de construction pleinement actif, MU sera livré en deux phases, de l’été 2021 à l’été 2022. » Le communiqué officiel
Une entrevue très intéressante avec le constructeur.
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David Rémillard
Radio-Canada
Des blocs de béton sont apparus devant le 196, rue Saint-Paul, vendredi. La façade de l’immeuble à valeur patrimoniale menace de s’effondrer. Le propriétaire réclame la permission d’y construire des logements touristiques, ce qui n’est pas autorisé dans ce secteur.
Le conseiller du district du Cap-aux-Diamants, Jean Rousseau, a sonné l’alarme sur la situation vendredi.
S’activant sur les réseaux sociaux, il a rappelé d’entrée de jeu que le propriétaire, Nicolas Paradis, avait réclamé dès 2017 la permission de construire un hébergement touristique.
Il avait déclaré lors d’une séance du conseil d’arrondissement au printemps 2017 qu’il n’investirait pas un sou dans la façade tant qu’on ne lui aurait pas donné l’autorisation, lance-t-il.
Selon M. Paradis, rencontré samedi devant l’immeuble construit en 1860, la façade a besoin de travaux d’étaiement rapidement, sans quoi il sera trop tard. On est rendu à avoir un permis de construction et de procéder à l’étaiement. Je ne veux pas me retrouver à dire que ça a trop tardé et qu’il faut démolir le bâtiment, dit-il à propos de son projet soumis à la Ville.
« Tout a été fait en fonction de garder la façade, c’est important de réagir rapidement« .
Nicolas Paradis, promoteur et président de GParadis Inc.
Or l’hébergement touristique commercial n’est permis que dans certains secteurs de la ville identifiés par le zonage C10, dont est exclue la rue Saint-Paul. Pour avoir gain de cause, M. Paradis devra donc obtenir une autorisation de changement de zonage de la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec. D’ici là, aucun permis de construction ne sera délivré.
M. Paradis, lui, assure que c’est le seul moyen de rentabiliser les travaux de construction sur l’immeuble. Pour assurer une pérennité à la façade du bâtiment, on n’a pas le choix d’investir des sommes qui sont assez astronomiques. Ça prend des projets capables de prendre en charge les frais, plaide-t-il.
Il a accepté de faire passer son projet de 58 à 45 unités. Mais le zonage ne le permet pas plus.
* Que va faire la Ville à votre avis ? L’exproprier ? Lui donner le permis qu’il demande ? Laisser la rue fermée pendant des mois ?
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Le projet du Groupe Casot (Un billet de septembre 2019).
Le terrain et son bâtiment ont été vendus en 2009
* Merci à un fidèle lecteur (Nicolaï Rochatskaya) pour l’information.
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Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec
Le promoteur Immostar construira un édifice résidentiel de huit étages et de 465 unités haut de gamme sur l’îlot Lapointe, à Sainte-Foy. Le développement baptisé MU est évalué à 130 millions $.
Mardi, la direction d’Immostar a levé le voile sur son projet de condos locatifs «connectés» à proximité du boulevard Laurier et des centres commerciaux. Les travaux ont commencé à l’automne dernier avec la démolition des 16 bungalows sur le site.
«L’îlot Lapointe jouit d’une situation géographique unique, à proximité de tout ce dont on peut avoir besoin au quotidien: commerces, services, restaurants, épicerie, pharmacie, soins médicaux, divertissement», fait valoir Kevin Lachance, associé et vice-président finance et investissements.
Avec ce nouveau développement, le promoteur immobilier de Québec vise une clientèle multigénérationnelle. Des 465 unités allant des studios aux maisons de ville, 50 seront de prestige. Le Journal avait révélé les grandes lignes de ce projet en novembre dernier.
Par ailleurs, environ 80 formules d’habitation tout inclus seront offertes, note la direction dans un communiqué. L’édifice offrira une cour intérieure, des jardins communautaires, une salle de travail, un café, un espace foyer, une cuisine commune, une salle d’entraînement et une piscine.
Tout comme pour son projet de 13 étages baptisé Le Huppé, à Lebourgneuf, Immostar souhaite obtenir la certification WELL, qui se base sur la santé et le bien-être des êtres humains, pour MU.
Le projet, qui sera à proximité du futur tramway, est réalisé en partenariat avec Fiera Immobilier et Claridge. En 2018, les promoteurs avaient déboursé 16 millions de dollars pour mettre le grappin sur ces terrains.
La livraison de la première phase de condos pour le développement MU est prévue pour l’été 2021. Les travaux pour la deuxième phase devraient être terminés à l’été 2022. Les animaux de compagnie seront acceptés.
Immostar possède un portefeuille immobilier d’environ 3 millions de pieds carrés au Québec. Au cours des trois prochaines années, l’entreprise espère construire 1000 unités résidentielles dans la grande région de Québec.
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Source : Jean-François Néron, Le Soleil, le 15 juin 2020
Les résidents de Lairet peuvent se réjouir. La Ville abandonne la construction d’un centre d’entretien et d’exploitation secondaire du tramway dans l’axe de la 41e rue. La volonté municipale est maintenant d’y développer un ensemble immobilier incluant du logement social entre le boulevard Henri-Bourassa et l’avenue Duval. L
e Bureau de projet du Réseau structurant de transport en commun (RSTC) en a fait l’annonce jeudi lors de la présentation de l’insertion du tramway sur la 1re Avenue. Son directeur, Daniel Genest, explique que le concept a évolué depuis la première annonce de 2018 et que des impératifs budgétaires ont aussi guidé la décision d’abandonner la construction d’un second bâtiment d’entretien.
«C’est normal qu’on se questionne sur la notion d’avoir [ou pas] un centre d’exploitation secondaire. À l’époque, ça nous semblait plus critique pour l’exploitation du réseau. On a fait l’analyse du coût-bénéfice. Et on en est venu à la conclusion qu’on peut arriver à la même qualité de service avec un seul centre. Mon rôle est de trouver l’équilibre entre la portée [le déploiement du réseau], les coûts et la qualité du projet. Ça représentait une économie importante.»
Terrains 41e Rue : le conseil de quartier imagine le futur de Lairet.
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