Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Logement locatif ou social.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Logement locatif ou social, Projet - Le 155 Grande Allée Est.
Merci à un fidèle lecteur (J.C. La Forge) qui nous informe de ceci:
J’espère beaucoup voir ce projet se réaliser! L’image est tirée directement du site de GM Développement. Livraison prévue: fin 2020.
Il s’agit du terrain qui sert actuellement de stationnement au Ahston sur le boulevard Charest tout près des bretelles d’accès à Dufferin-Montmorency.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo, Logement locatif ou social.
Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec
Afin d’optimiser ses actifs, le Fonds de placement immobilier
Cominar envisage la construction de près de 10 000 unités résidentielles sur dix de ses sites commerciaux au Québec, dont la sortie de terre de six tours au Mail Champlain et trois dans la gare centrale de Montréal.
(…)
Parmi les autres sites analysés, en raison de la construction du tramway à Québec, Cominar souhaite ériger, à son développement commercial dans le secteur Duplessis à proximité des détaillants IKEA et Décathlon, 1000 unités résidentielles. D’autres possibilités sont aussi à l’étude, notamment la construction d’édifices pour le secteur industriel.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo, Densification, Logement locatif ou social.
L’un des plus gros concessionnaires Nissan en Amérique du Nord
En octobre 2019, le plus grand concessionnaire Nissan au Canada et l’un des plus gros en Amérique du Nord prévoit ouvrir ses portes sur l’avenue Watt. C’est en effet depuis juin et avec un investissement de près de 16 M$ que Sainte-Foy Nissan, auparavant sur la rue John-Molson, se prépare à emménager sur le site de l’ancien centre de cueillette IKEA. Le bâtiment construit sur un terrain de 350 000 pieds carrés occupera dorénavant une superficie de 63 000 pieds carrés, soit trois fois plus que ses anciens locaux.
Le Nordet : 40 M$ à d’Estimauville
Le paysage du secteur d’Estimauville changera sous peu alors que trois nouveaux édifices sortiront de terre à l’intersection des rues Gabriel-Lajeunesse et des Cajuns dans un avenir très rapproché. Chacun comportera 66 unités réparties sur 6 étages et inclura un stationnement souterrain. Selon société immobilière Nordet, Ultima immobilier et le groupe Drolet Construction, le premier immeuble pourra accueillir des locataires dès juin 2020. Dans le cas des phases deux et trois, aucune date de livraison n’est encore précisée et la superficie des unités sera ajustée en fonction de la demande.
Nouvelle vocation pour le site de la Maison de Lauberivière en 2021
Suite au départ de la Maison Lauberivière, qui en 2021 quittera définitivement le 401, rue Saint-Paul pour emménager dans des locaux plus spacieux, un groupe d’investisseurs, qui a déboursé 2,6 M$ pour acquérir le bâtiment, souhaite donner un second souffle à l’un des coins de rue les plus reconnaissables de la ville de Québec. Des discussions sont présentement en cour avec la Ville afin d’obtenir un permis de « démolition partielle » de l’immeuble actuellement en place ainsi qu’un changement de zonage qui permettrait d’y ériger un hôtel.
Umano : projet de 900 M$ à Lévis
Situé à Lévis, près du campus de l’UQAR, à l’intersection des boulevards Étienne-Dallaire, Guillaume-Couture et Alphonse-Desjardins, le développement comprendra 7 phases et inclura des bâtiments commerciaux et près de 2500 unités résidentielles, des stationnements souterrains, ainsi qu’une résidence privée pour aînés. Une tour de 22 étages est notamment prévue sur le site, de même qu’une esplanade publique. À terme, le projet représente un investissement de 900 M$ pour Groupe CSB.
Projet de 200 M$ à l’intersection des boulevards Lebourgneuf et Pierre-Bertrand
C’est sur le terrain de 251 500 pieds carrés autrefois occupé par le Carrefour Chrétien que seront érigées les 800 unités d’habitations projetées par Habitations Trigone et ImDevCo qui souhaitent démarrer les travaux d’ici 6 mois. Six édifices sont prévus qui offriront des services tels que salle d’entrainement, cuisine communautaire et piscine. La hauteur des bâtiments n’est pas encore déterminée puisque le zonage actuel permet une hauteur de six étages, mais le promoteur souhaite obtenir une modification à ce chapitre.
Le Faubourg Saint-Bernard dans l’arrondissement Les Rivières
Le développement résidentiel projeté par David Duperron immobilier inc. sera situé à l’intersection du boulevard Henri-Bourassa et de l’avenue Chauveau, sur un terrain de 340 222 pieds carrés. Les deux édifices totaliseront, à terme, un investissement de près de 175 M$. Le premier, dont le chantier est prévu débuter dans les premiers mois de 2020, comportera une résidence pour retraités de près de 375 unités, une piscine, des locaux commerciaux, le tout réparti sur 8 étages, ainsi que 3 niveaux de stationnement souterrain. Le deuxième immeuble prévoit 170 condos locatifs répartis sur 6 étages et inclura également une piscine et un stationnement souterrain.
Bâtimo et Chartwell ont commencé cet été les travaux de construction de la nouvelle résidence pour personnes âgées de 90 M$ sur le boulevard Louis-XIV, où se trouvait anciennement le Jardin Hamel. Les 359 unités seront réparties sur les 6 étages d’un immeuble qui offrira également une salle à manger, un salon de coiffure, une salle de yoga, une piscine ainsi qu’une unité de service de soins évolutifs qui offrira plus d’encadrement. Les premières unités seront disponibles dès l’automne 2020.
Le site de l’ancien garage Bérubé se refait une beauté
Amiot Bergeron Architecture et le promoteur Gestion Casot proposent, en lieu et place de l’ancien garage Bérubé laissé à l’abandon, un concept harmonieux, en retrait de la rue, comportant une cour intérieure, une terrasse sur le toit, une coursive, 78 stationnements intérieurs, une toiture végétale. Le projet inclura 76 unités d’habitation, dont 9 maisons de ville sur deux étages et un local commercial au rez-de-chaussée.
L’ancienne quincaillerie Cantin fait place à 100 unités d’habitations locatives
C’est depuis 2013 que Synchro immobilier prévoit ériger un immeuble à logement de 6 étages sur le site situé rue Saint-Vallier Est à l’angle de la rue Horatio-Nelson. Le complexe d’environ 18 M$ baptisé Le Gecko et dont la livraison est prévue pour juin 2020, comprendra 85 appartements locatifs, allant du studio au 5½, ainsi qu’un stationnement souterrain de 42 places.
Un développement résidentiel de 100 M$ respectueux de l’environnement
Si les pourparlers vont bon train avec la Ville de Québec, le site de 164 974 mètres carrés, situé entre la rue du Grand-Bourg et la route de l’Aéroport, pourrait accueillir une centaine d’habitations résidentielles dans un avenir rapproché. En effet, l’entreprise Les Contemporains Val-Bélair qui en est l’acquéreur, souhaite réaliser un développement écologique en conservant 40 % des espaces verts, en utilisant des matériaux durables, en installant des luminaires à énergie solaire dans les rues et un système de rétention des eaux pluviales sur chaque terrain ainsi qu’en offrant un environnement faisant la part belle aux piétons et cyclistes.
50 logements locatifs près de la rivière Saint-Charles
Les résidents du secteur du pont Drouin auront bientôt une tout autre vue que celle laissée par le trou béant sur le site du 445, 1re Avenue. En effet, Synchro Immobilier, qui est propriétaire du terrain depuis 2018, a déposé son projet auprès de la Commission d’urbanisme et souhaiterait débuter les travaux de construction de l’immeuble de 5 étages dès octobre 2019.
Le Saint-Sô
Société en commandite 508, Saint-Vallier a choisi le site de l’ancien concessionnaire DYL Auto pour ériger son immeuble de 4 étages. Les 90 unités auront accès à un ascenseur et à un commerce de proximité au rez-de-chaussée. La livraison est prévue pour avril 2020.
Groupe Mach
Groupe Mach souhaite ériger un développement immobilier mixte entre les rues Senezergues et de la Chevrotière. Le projet représentant 23 M$ prévoit la démolition des deux édifices abritant l’ancien Pub Ozone et le Second Cup sur la Grande Allée.
Transactions majeures depuis avril 2019 dans la région
3111, avenue Watt – commercial (30 avril 2019 / 9 M$)
2900, ch. des Quatre-Bourgeois – commercial (21 mai 2019 / 5,7 M$)
2202, rue MacKay – multirésidentiel (22 mai 2019 / 11 M$
3231, chemin Sainte-Foy – multirésidentiel (13 juin 2019 / 5,5 M$
Hôtel PUR Québec – hôtel (14 juin 2019 / 10,3 M$)
3640-3650, rue Lanthier – multirésidentiel (17 juin 2019 / 6,8 M$)
1348-1352, boul. des Chutes – commercial (2 juillet 2019 / 9,9 M$)
2430, rue Évangéline – multirésidentiel (11 juillet 2019 / 8,7 M$)
870, chemin Olivier – commercial (19 juillet 2019 / 6,7 M$)
1 033 215, boul. Lebourgneuf – terrain (23 juillet 2019 / 8,5 M$)
68-68½, rue Saint-Louis – hôtel (31 juillet 2019 / 8,1 M$)
835, boul. Pierre-Bertrand – industriel (1er août 2019 / 8 M$)
6 037 088, boul Étienne-Dallaire – terrain (4 août 2019 / 5,9 M$)
550, boul. Laflèche – commercial (22 août 2019 / 5,2 M$)
RPA de 90 M$ à Charlesbourg
Voir aussi : Commercial, Institutionnel, Logement locatif ou social, Publications & ressources Internet, Québec La cité.
Benoît Bossé
Marc Côté
Ginette Veilleux
Yves Boissinot
Louis-Philippe Noël
Au nom des citoyens et citoyennes concernés
Point de vue
Le Soleil
Depuis l’automne dernier, les résidants qui se sentaient affectés par le projet de construction résidentiel, communément désigné par le 8, rue McWilliam, ont participé activement aux consultations le concernant.
Tout au long du processus, les voisins du projet n’ont jamais remis en question l’implantation d’un complexe résidentiel sur le lot visé, jamais ils n’ont demandé de modifications à l’architecture du projet, au nombre de logements qui y seront créés, aux cases de stationnement qui y seront intégrés, ces choix, bien que certains restent discutables, appartiennent au promoteur et leur appréciation relève de la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec.
Le projet initialement présenté avait une hauteur de 6 étages ou 23 mètres, soit 10 mètres de plus que ce que le règlement de zonage permettait. Une soixantaine de citoyens ont démontré leur désaccord face à cette hauteur, alors qu’une minorité de trois ou quatre personnes considérait ce projet comme acceptable.
Quelques mois plus tard, le promoteur nous est revenu avec un projet diminué d’un étage, mais dépassant toujours la hauteur réglementaire de 6 mètres soit 46% plus haut, sans parler du 10% supplémentaire auquel le promoteur a droit pour installer les équipements nécessaires (cage d’ascenseur, appareil de climatisation et/ou de chauffage, etc.). Le projet demeure plus haut que 15 des 16 bâtiments qui l’entourent. Encore une fois, la majorité des citoyens présents à cette consultation se sont montrés inquiets de la modification au règlement que ce projet entrainerait et des conséquences que celle-ci pourrait avoir ailleurs dans le Vieux-Québec.
Finalement, lors de la consultation publique exigée en vertu de la loi et tenue par le Conseil de quartier, les citoyens ont réitéré leur inquiétude et leur opposition à cette modification à la hauteur permise. Malgré cela, le conseil de quartier dont la mission première est de représenter les citoyens plutôt que de se substituer à eux a rendu une décision partagée, seul un tiers de ses membres étant en faveur, trois s’étant abstenus et trois autres étant absents, la convocation précipitée n’ayant pas tenue compte de leur absence.
Le 19 août, en dépit des représentations des citoyens, les élus de l’Équipe Labeaume ont voté en faveur de cette modification.
D’un autre côté, des architectes, faut-il s’en surprendre, ont pris la plume pour défendre ce projet, mais sans jamais soulever le moindre doute sur la hauteur du projet ni sur ses répercussions sur la protection et la mise en valeur du patrimoine du Vieux-Québec, qu’il soit passé, présent ou à venir. Certaines interventions avaient d’ailleurs plus l’air de commande que d’une réelle implication. Et les illustrations utilisées pour dépeindre le projet dans ces publications semblent avoir toutes été choisies pour optimiser l’implantation du bâtiment plutôt que de démontrer sa hauteur véritable par rapport aux bâtiments existants en périphérie. De plus, l’opinion du directeur de l’école d’architecture nous a laissés bouche bée, d’autant plus qu’il reprochait aux citoyens, à mots couverts, leur peu d’implication sur les projets situés «un peu plus à l’ouest, un peu plus au nord», alors que lui-même a laissé passer ces projets sans intervenir publiquement! D’autant plus surprenant que des citoyens se sont réellement élevés contre le projet de Saint-Louis-de-Gonzague et que les projets du Diamant et de l’hôtel du Capitole n’ont jamais été soumis à la consultation populaire. Bizarre!
Malgré notre bonne foi tout au long de l’exercice, notre vision concernant l’avenir du Vieux-Québec n’a malheureusement pas soulevé l’intérêt et l’appui de la population en générale quant à la protection et à la sauvegarde du patrimoine, ni d’ailleurs des organismes publics ou privés dont c’est pourtant la mission principale, en particulier Patrimoine Canada, le ministère de la Culture et des Communications et le Conseil du Patrimoine culturel du Québec. Pire, on nous a traités de revanchards, d’adeptes du «pas dans ma cour» alors que nous n’étions guidés que par notre amour pour notre quartier. On a même tenu des propos mesquins à notre égard, lors d’une réunion du Conseil municipal, nous qui ne pensons pas nécessairement comme l’administration municipale en termes de développement du Vieux-Québec, celle-ci semblant être plus soucieuse de s’en servir comme d’un outil promotionnel pour favoriser le tourisme, quitte à ce que la vie de quartier en soit perturbée, et comme une manière d’aller chercher davantage de taxes foncières.
Nous constatons aussi que, contrairement aux idées reçues, tenir un référendum est un exercice fastidieux et complexe. La lourdeur du processus référendaire impose aux défenseurs d’une réglementation plus appropriée de trouver du soutien dans un secteur du Vieux-Québec où les propriétaires sont trop souvent des non-résidants, peu impliqués dans la vie de quartier. Enfin, un référendum aurait ultimement permis une amélioration du projet et non sa disparition.
Face à tout cela, nous avons décidé, non sans peine, de nous retirer de la procédure pouvant mener à un référendum sur le projet de modification au règlement de zonage, non par faute d’appuis, mais plutôt en raison de la complexité du processus et du temps requis qui devrait y être consacré. À titre personnel, nous n’avons rien à gagner que la hauteur du projet soit abaissée ou pas. Quel que puisse être le résultat d’un éventuel référendum, le projet nous causera des inconvénients, à quatre comme à cinq étages.
Nous souhaitons que le promoteur interdise dans son règlement de copropriété l’hôtellerie illégale et la présence de Airbnb, d’autant plus que la ville sursoit à la possibilité de réglementer cette dernière forme d’hébergement touristique. Nous souhaitons aussi qu’il tienne sa parole et construise un projet qui attirera des familles plutôt que des résidants de passage.
Nous espérons que nos futurs voisins auront aussi à cœur que nous la préservation de ce patrimoine dont ils deviendront tout comme nous les dépositaires, tant pour leur bénéfice personnel que pour celui de toute la communauté.
Enfin, nous remercions tous ceux et celles qui nous ont soutenus dans nos démarches, en premier lieu notre conseiller municipal. M. Jean Rousseau, et le Comité des citoyens du Vieux-Québec, par la voix de son président, M. Michel Masse.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.
C’est depuis 2013 que le Groupe Casot, propriétaire du terrain où était anciennement le Garage Bérubé, négocie avec la Ville de Québec pour la construction d’un immeuble à cet endroit. En mai dernier, le promoteur a présenté son projet au conseil de quartier et ce soir, nous en étions à une consultation publique sur une demande de modification au règlement de zonage pour la réalisation de l’ouvrage.
En peu de mots, la modification demandée fait passer la hauteur de 13 mètres à 15,6 mètres de sorte qu’à la hauteur du Chemin Ste-Foy, il y a un étage commercial au rez-de-chaussée (obligatoire selon la règlementation de la Ville) surmonté de 4 étages de logements. Ajoutons une surhauteur (un étage) en retrait par-rapport au Chemin Ste-Foy. A l’arrière (Dumont), 4 étages. N’oublions pas que ce terrain est en pente.
Le tout donnerait 79 logements (38/1 chambre, 32/2 chambres, 9/3 chambres). Ce qui est une modification importante par-rapport à l’idée initiale où les appartements étaient beaucoup plus petits. Cases de stationnement ? 78 dont 40 pour l’habitation et 38 pour les commerces du RC ainsi que pour les visiteurs.
L’immeuble aura une marge de recul calculée à 1,3 mètres par-rapport au Chemin Ste-Foy, ce que n’a pas le voisin IGA. Toutefois, cette marge de recul n’est pas une demande de la Ville.
Il y aura du vert au sol et une partie du toit sera végéralisée.
Une dizaine d’interventions du public ont amené des objections formulées principalement sur le changement du règlement (de 13 mètres de hauteur à 15,6 mètres). Deux personnes se déclarant résidentes du secteur depuis plusieurs années auraient aimé qu’il n’y ait aucune construction car la densité a ses effets, particulièrement pour le stationnement qui est problématique dans le quartier.
Quoiqu’il en soit, le Conseil de quartier s’est montré favorable au projet et ce, de façon unanime. Furent invoqués les arguments suivants: un projet où le promoteur a fait ses devoirs, est retourné à la table à dessin pour travailler avec la Ville ainsi qu’avec la Commission d’urbanisme, le tout s’intègre bien au site ainsi qu’aux sites voisins, les stationnements sont souterrains, etc.
Notons en passant que les locataires de l’endroit ne pourront avoir de vignettes pour leurs automobiles afin de pouvoir les stationner dans les rues avoisinantes.
Au niveau architecture, les illustrations parlent par elles-mêmes.
Il est tout de même remarquable que ce terrain est disponible depuis … 2009! Il était temps qu’il soit construit.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Synchro immobilier poursuit son expansion dans le quartier Saint-Roch. Le promoteur lance la location de ses 85 appartements en construction sur les ruines de l’ancienne quincaillerie Cantin de la rue Saint-Vallier Est. Et prépare la construction de 70 copropriétés sur le boulevard Charest.
«Ce quartier-là est en pleine effervescence», juge l’architecte George Blouin, président de l’entreprise familiale. «Le parc immobilier est en plein changement.»
Plusieurs entreprises sont installées dans Saint-Roch et offrent des «emplois de qualité», évalue-t-il. Mais il manquerait de logis récents pour que les travailleurs restent dans le coin à la sortie du bureau. «C’est un secteur de choix, je pense qu’il y a un grand manque pour du locatif.»
Synchro immobilier investi donc le marché avec le Gecko, immeuble d’appartements évalué à 18 millions $ dont il promet la livraison en juin. Les ouvriers sont au boulot; environ 40 % du squelette de béton est érigé.
Le bâtiment comptera 6 étages avec trois logements plus spacieux au sommet qui sont offerts contre un paiement mensuel qui peut franchir la barre des 2800 $… La moyenne sera plus abordable, fait cependant remarquer George Blouin : entre 800 $ et 1400 $.
(…)
Après les copropriétés du Kaméléon du boulevard Charest, Le Gecko sera le deuxième «d’une trilogie de lézards», d’une trilogie d’immeubles neufs du promoteur en Basse-Ville. Synchro entend compléter avec l’érection d’un autre bâtiment sur le boulevard Charest Est, près de l’accès à l’autoroute Dufferin-Montmorency. Là, plus ou moins 70 copropriétés seront éventuellement mises en vente.
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Jean-Philippe Pagé
Propriétaire et promoteur
Point de vue
Le Soleil
Le projet immobilier du 8, rue McWilliam, dans l’arrondissement historique du Vieux-Québec, en est un de compromis. Non seulement il respecte la trame urbaine du secteur, mais il vise à accueillir cent nouveaux résidents dans un quartier qui peine depuis trop longtemps à en attirer.
Depuis plusieurs mois, un groupe de citoyens, qui habitent majoritairement en face de l’îlot McWilliam et qui affirment d’emblée que le projet leur causera des inconvénients quelle qu’en soit la hauteur, multiplie les pressions pour bloquer un projet qui est pourtant né d’un processus de consultation et de réflexion.
En effet, au terme de trois ans de travail à la conception avec la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec et le ministère de la Culture, les multiples exigences et recommandations formulées ont été mises en place et le projet a été salué par l’ensemble de tous ces intervenants. Avant même de déposer la première mouture, une étude a été réalisée afin de déterminer les impacts qu’aurait un immeuble haut de six étages sur la luminosité et les percées visuelles des bâtiments avoisinants.
Autrement dit, la première version du projet résultait, dès le départ, d’une réflexion menée dans l’intérêt des résidents du quartier.
Mentionnons au surplus que ces études prouvent que l’ajout d’un cinquième étage n’aura presque aucun impact sur l’ensoleillement et les percées visuelles des bâtiments limitrophes, car ce cinquième étage est aménagé dans les combles du bâtiment.
Devant les inquiétudes soulevées par certains citoyens, les plans ont été refaits afin de trouver une solution pour tenir compte de leurs préoccupations, et ne pas compromettre la viabilité du projet. Le résultat a mené à réduire le nombre d’étages à cinq, pour obtenir une hauteur du bâtiment de 18 mètres calculée au faîte du toit (le point le plus élevé). Cet ajustement a été fait en poursuivant l’objectif que le projet soit accepté par les résidents du Vieux-Québec. Au total, le projet a été revisité plus de six fois pour satisfaire les attentes de toutes les parties.
L’intégration de ce projet dans la communauté du Vieux-Québec et son architecture unique était au cœur des préoccupations lors de sa conception. Pour y arriver, l’immeuble sera construit avec des matériaux de la plus haute qualité, respectueux du patrimoine architectural du Vieux-Québec, et aura pour effet, nous le pensons, de mettre en valeur les bâtiments avoisinants.
Contrairement à ce que certains résidents du quartier ont écrit, le projet, dans sa forme actuelle, s’insère dans son environnement immédiat. L’architecture a été spécifiquement pensée pour faire en sorte qu’au niveau du sol, le bâtiment donne l’impression d’avoir une hauteur de quatre étages (treize mètres). En effet, grâce au toit en pente, le cinquième étage est invisible aux yeux du marcheur et ne porte pas atteinte à l’intégrité du paysage ni à la luminosité pour les voisins.
Toutes les informations sur l’avis de participation référendaire – Règlement R.C.A.1V.Q. 368 (8, rue McWilliam)
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo, Logement locatif ou social.
Source : Jean-Michel Genois Gagnon, Le Journal de Québec, le 10 septembre 2019
Un nouveau développement immobilier évalué entre «150 et 175 M$» sortira de terre dans l’arrondissement Les Rivières. Le projet prévoit la construction d’une résidence pour personnes âgées ainsi qu’un édifice à logements.
«Notre objectif est de démarrer le chantier au printemps 2020. Au cours des derniers mois, nous avons présenté le projet à la ville ainsi qu’aux citoyens du quartier. Les réponses ont été très positives», indique au Journal le promoteur derrière l’aventure David Duperron, de la société immobilière québécoise du même nom. «Si tout se déroule bien, on espère livrer les deux immeubles à l’automne 2021», poursuit-il.
Le nouveau développement sera situé à l’intersection du boulevard Robert-Bourassa et de l’avenue Chauveau. M. Duperron s’est porté officiellement acquéreur du terrain de 340 222 pieds carrés au début du mois de septembre pour environ 10 M$. Le site appartenait auparavant à Construction Gély.Selon les plans de l’entreprise, le premier immeuble donnant sur l’avenue Chauveau atteindra jusqu’à huit étages et possédera trois niveaux de stationnement souterrain. Il hébergera des locaux commerciaux ainsi qu’une résidence pour retraités d’environ 375 unités avec plusieurs aires communes, un restaurant ainsi qu’une piscine.
Le nom de la bannière devrait être dévoilé au cours des prochains mois. Aucun contrat n’est encore signé. Selon nos informations, le promoteur aurait des échanges avec deux groupes québécois. Le Groupe Sélection ne serait toutefois pas du lot.
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Logement locatif ou social.