Je revenais de mon entrainement et j’ai aperçu l’installation du panneau annonçant le nouveau projet, la KLE, qui se construira sur la Cité Verte.

Nouveau projet à la Cité Verte: La Klé

Jean-Michel Genois-Gagnon
Le Soleil

(Québec) Le vieillissement de la population vaudra son pesant d’or pour les promoteurs immobiliers, dont plusieurs ont déjà entamé la construction de résidences pour personnes âgées. Un secteur qui devrait connaître un important boum économique au cours des prochaines années dans la région. (…) Depuis 2014, de nombreux complexes de résidences pour aînées ont été entamés ou terminés pour accueillir les baby-boomers, entre autres, le Château Bellevue (260 unités), le Quartier Sud (254 unités), Les Marronniers (136 unités) et la Coopérative Mieux-Vivre (89 unités) à Lévis et pour Québec les résidences Ékla (390 unités) et Vice Versa (262 unités).

Le développement du Groupe Maurice, Ékla, situé sur le boulevard Laurier est évalué à 85 millions $. En 2015, le propriétaire de résidences Réseau Sélection, derrière le projet Vice Versa, soulignait qu’il souhaitait construire 30 résidences pour aîné d’ici 2019 à travers la province, un investissement de 2 milliards $.

Actuellement, selon des données de la SCHL, 22 % des personnes âgées dans la RMR de Québec vivent dans une résidence, comparativement à 18 % à travers la province. Le taux d’inoccupation est de 4,4 % dans la région. Le loyer moyen pour une place standard – moins d’une heure et demie de soins par jour – est de 1686 $. Il a atteint son maximum dans le secteur de Saint-Foy-Sillery (1933 $) et était à son minimum dans les secteurs Basse-Ville (1514 $) et Rive-Sud Centre (1517 $).

En 2016, le marché des résidences pour aînée est composé de 13 728 places dans la RMR de Québec, dont 9200 en appartement

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Jean-Michel Genois-Gagnon
Le Soleil

(Québec) Les nouvelles mesures hypothécaires en vigueur depuis lundi devraient faire chuter de 14 % les mises en chantier sur le territoire de l’APCHQ-région de Québec en 2017, prévient l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ), qui se dit préoccupée par cette situation.(…) Selon l’APCHQ, pour l’an prochain, les mises en chantier dans la région APCHQ-Québec pour les copropriétés, les maisons jumelées ou en rangée, les logements locatifs et les maisons individuelles devraient chuter de respectivement 40 %, 24 %, 4 % et 2 %.

Règles plus strictes

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Pierre Couture
Journal de Québec

Le nombre élevé de logements disponibles dans la région de Québec est en train de tourner à la faveur des locataires. Depuis le début de l’année, on note une forte pression sur les prix des loyers à la baisse. Du jamais-vu depuis 17 ans, a constaté Le Journal. La construction «excessive» de nombreux immeubles locatifs depuis deux ans à Québec provoque une vive concurrence entre les propriétaires, indique la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).
Résultat: les locataires ont l’embarras du choix. Le taux d’inoccupation qui était à 2 % en 2012 dans la région métropolitaine de Québec avoisine aujourd’hui les 6 %.

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Source : Stéphanie Martin, Le Journal de Québec, le 3 octobre 2016

La Ville de Québec confirme la démolition ce mois-ci du Centre Durocher pour faire place à un bâtiment qui regroupera 68 logements sociaux et un point de service de la bibliothèque de Québec.
Le maire de Québec, Régis Labeaume, accompagné de Armand St-Laurent, directeur général d’Action Habitation Québec qui gérera la corporation Les Habitations Durocher, ont présenté hier le projet.
M. Labeaume, a assuré que le quartier Saint-Sauveur sera très bien pourvu en équipements communautaires et culturels. Les logements abordables, a-t-il insisté, étaient en demande. «Les gens du quartier sont d’accord avec les logements sociaux.»

Le futur bâtiment comptera 68 logements sociaux ou à prix modiques pour les familles. Il abritera aussi une salle communautaire et un point de service de la bibliothèque de Québec. La succursale comportera une dizaine de postes informatiques, un petit café et un comptoir de service. La collection de la Ville de Québec sera entièrement accessible. Il y aura environ 4000 documents sur place.
Ce petit point de service, dans lequel la Ville investira 200 000 $, est un cas bien particulier, a souligné la vice-présidente du comité exécutif. «C’est un projet pratiquement unique au Canada. Il y a seulement une bibliothèque qui comporte des logements sociaux.»

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Le Centre Durocher: la résistance à la démolition continue

Source : Pierre Couture, Le Journal de Québec, le 3 octobre 2016

https://youtu.be/2WR0F14w6Rg

Le Fonds de solidarité FTQ continue d’investir dans le secteur immobilier à Québec. Au cours des neuf derniers mois, les investissements se sont élevés à 77 millions $.
Le Fonds FTQ vient d’ailleurs de prendre une participation dans l’ensemble résidentiel Le Hameau Saint-Jacques situé sur le boulevard Saint-Jacques dans l’arrondissement des Rivières.
Ce projet immobilier de 15 millions $ mené en partenariat avec le Groupe SMB prévoit la construction de 55 logements le long de la rivière Saint-Charles près du parc Chauveau.
La première phase de ce complexe résidentiel (réalisée au coût de 5 M$) doit débuter au cours des prochains jours. Le premier immeuble comptera 15 copropriétés.
À la fin, le Hameau Saint-Jacques regroupera sept immeubles d’habitations, dont 40 maisons de ville.
«Nous entamons une nouvelle relation d’affaires avec un partenaire qui possède une vaste expérience. Nous venons ainsi bonifier notre portefeuille immobilier qui est déjà en forte croissance dans la région de Québec», a indiqué le PDG du Fonds immobilier de solidarité FTQ, Normand Bélanger.

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Jean-Michel Génois-Gagnon
Le Soleil

(Québec) Le promoteur GCS Développement Immobilier construit un nouvel immeuble de logements de quatre étages dans le secteur de Sainte-Foy. Le projet est évalué à 13 millions $.

Baptisé l’Arrondissement de La Colline, le bâtiment hébergera 63 logements de dimension trois pièces et demie et quatre pièces et demie variant entre 741 pieds carrés et 1263 pieds carrés. L’immeuble sera érigé sur un terrain de 38 000 pieds carrés situé au 3070, chemin Sainte-Foy, à l’angle de la route de la Suète.

La suie

Un projet imposant, le Promontoire, prend forme sur la 60e rue est dans l’arrondissement Charlesbourg.

Le Promontoire.

Le Promontoire: progression des travaux.

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* Merci à un fidèle lecteur (L.Aubin)

Société canadienne d’bypothèques et de logement

Québec, le 8 septembre 2016 – Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la tendance des mises en chantier d’habitations dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Québec se chiffrait à 4 741 en août, comparativement à 4 998 en juillet. Cette tendance correspond à la moyenne mobile de six mois du nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé (DDA) de mises en chantier d’habitations.

« En août, la tendance des mises en chantier dans la région de Québec est demeurée relativement élevée en raison des récents démarrages de plusieurs ensembles locatifs traditionnels. Il semble que ce segment de marché soit demeuré attrayant pour plusieurs promoteurs et investisseurs, compte tenu du stock important de copropriétés neuves et existantes à vendre. On estime toutefois que le marché locatif traditionnel fait face à un risque de construction excessive; la situation est donc à suivre de près au cours des prochains mois », a déclaré Élisabeth Koulouris, chef analyste à la SCHL pour la RMR de Québec.

Étant donné la grande variabilité des chiffres estimatifs mensuels, la SCHL tient compte de la tendance, en plus du nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé, pour obtenir un portrait plus complet de l’état du marché de l’habitation. Dans certaines situations et sur certains marchés, il pourrait être trompeur de n’analyser que les DDA, car les mises en chantier d’habitations sont alimentées surtout par le segment des logements collectifs, où l’activité peut varier beaucoup d’un mois à l’autre.

Quant au nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé, il se situait à 1 948 en août, en baisse par rapport à celui de 5 829 enregistré en juillet. La variation significative du rythme annualisé est attribuable au segment des logements collectifs, où l’on observe souvent des mouvements notables d’un mois à l’autre.