Annie Drolet
Le Soleil
(Québec) Le pourcentage d’appartements à louer a grimpé en 2014 dans la plupart des régions métropolitaines de recensement (RMR). La région de Québec suit aussi la tendance, bien que ses logements restent encore les plus rares et les plus chers de la province.
Le taux d’inoccupation dans la RMR de Québec est passé de 2,3 % à 3,1 % entre octobre 2013 et octobre 2014, selon les données publiées cette semaine par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). En 2009, on parlait plutôt de pénurie, avec un taux alarmant de 0,6 %. Ce sont les secteurs de la basse-ville (4 %), de la haute-ville (3,3 %) et de Charlesbourg (3,3 %) qui ont le plus gros pourcentage de logements inoccupés.
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