Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Résidentiel »

2 projets immobiliers dans St-Sauveur

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 février 2016 Commentaires fermés sur 2 projets immobiliers dans St-Sauveur

Carrefour de Québec

Saint-Sauveur – Construction SR investira 3 M$ pour deux projets immobiliers dans Saint-Sauveur. Douze maisons de ville seront érigées sur les rues Châteauguay, Bagot et Bayard d’ici juillet 2016.

Le premier, nommé C4, sera situé au 552, rue Châteauguay. L’édifice comprendra quatre unités sur deux étages d’une superficie variant entre 1000 et 1400 pieds carrés. Deux profiteront d’une terrasse sur le toit alors les autres auront une cour arrière. Elles seront conçues dans un style industriel avec une grande fenestration. Au moins deux stationnements ont été prévus.

Le promoteur érigera également huit autres maisons de ville à l’intersection des rues Bagot et Bayard qu’il a nommé B2. L’aire de vie de chaque résidence, qui oscillera entre 1175 et 1600 pieds carrés selon l’unité, sera répartie sur trois étages et chacune bénéficiera d’une terrasse sur le toit. La majeure partie, soit sept, aura accès à un stationnement. Il ne reste présentement qu’une unité avec terrasse à vendre.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Résidentiel.

Le Boisé Royal entame sa phase VI

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 février 2016 Commentaires fermés sur Le Boisé Royal entame sa phase VI

Boisé Royal

* Photo: Brouillard

François Cattapan
Journal de l’habitation

L’entreprise Maizon Construction Libre entreprend la 6e des huit phases du projet résidentiel Boisé Royal à Val-Bélair. Ce développement misera sur la moyenne densité avec 48 jumelés et un duplex, pour un investissement global de 13,5M$.

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Voir aussi : Arrondissement Haute-St-Charles, Résidentiel.

Un spécialiste mondial de la vente et de l’achat de propriétés de luxe s’intéresse à la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 février 2016 25 commentaires

Jean-Michel Genois-Gagnon
Le Soleil

(Québec) Les investisseurs étrangers ont bel et bien un intérêt pour le marché immobilier de la région de Québec. Et la compagnie Engel & Völkers entend bien en tirer profit. Le spécialiste mondial de la vente et de l’achat de propriétés de luxe ouvrira prochainement son premier bureau dans la capitale, a appris Le Soleil. (…) Quant à la question de l’intérêt des acheteurs étrangers pour le marché immobilier de la ville de Québec, M. Groleau assure qu’il y a un engouement grandissant. «De plus en plus, nos partenaires internationaux nous réfèrent des acheteurs qui ont un intérêt pour Québec. On sent l’effervescence. Qu’il y a de l’intérêt pour le patrimoine du Vieux-Québec et pour la ville», dit-il.

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Voir aussi : Commercial, Condo, Québec La cité, Résidentiel.

Le prix des propriétés en baisse en janvier dans la région de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 février 2016 Commentaires fermés sur Le prix des propriétés en baisse en janvier dans la région de Québec

Diane Tremblay
Journal de Québec

Le marché immobilier continue de favoriser les acheteurs, le prix de vente moyen des copropriétés et des résidences unifamiliales est en baisse en janvier dans la région métropolitaine de Québec.
Pour les copropriétés, le prix de vente moyen a connu une diminution de 15%. En ce qui concerne la résidence unifamiliale, la baisse est de l’ordre de 2%.
Le prix de vente moyen s’élevait à 204 347 $ pour la copropriété avec 107 transactions, alors qu’il était à 241 774 $ en janvier 2015.
La patience est de mise chez les vendeurs puisque le délai de vente moyen s’est allongé de 45 jours dans le cas de la copropriété pour s’élever à 200 jours.
Dans le marché de la résidence unifamiliale, le prix de vente moyen est passé de 260 906$ à 256 148 $, soit une baisse de 2%.

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Québec: ventes sous l’évaluation municipale

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 janvier 2016 22 commentaires

Extrait du site internet de la Ville de Québec dans la section « Le rôle d’évaluation foncière ».

Les valeurs qui sont inscrites au rôle triennal d’évaluation 2016-2017-2018 tiennent compte du marché immobilier au 1er juillet de l’année précédant son dépôt donc, du 1er juillet 2014. Elles servent de base au calcul des taxes foncières pour les années d’exercice 2016-2017 et 2018. C’est l’adoption du budget municipal au mois de décembre, qui rend publics les mesures fiscales et les taux de taxations appliqués aux nouvelles évaluations.

Les méthodes d’évaluation

Pour déterminer la valeur réelle d’un immeuble, le Service de l’évaluation se sert des caractéristiques des propriétés faites par les techniciens-inspecteurs lors de visites effectuées au cours des années antérieures et des ventes de propriétés comparables réalisées dans le secteur en 2014. Les évaluateurs ont également recours à trois méthodes reconnues selon leur pertinence.

* Tel que ce texte le précise, les valeurs ont été établies en tenant compte des conditions du marché en 2014. Or, récemment, il a été porté à ma connaissance deux cas où des condos étaient mis en vente à des valeurs inférieures à l’évaluation municipale. Pour le premier cas, le condo a été mis en vente à 309,900 $ alors qu’il est évalué pour fins de taxes à 409,000 $. Dans le deuxième cas, le condo a une mise à prix de 304,500 $ alors que l’évaluation municipale est à 326,000 $. A noter que dans ce dernier, il y a en plus une commission à payer pour le courtier.

Est-ce une tendance ? Connaissez-vous des cas similaires ?

Mise à jour (9 février 2016): Un reportage TVA qui commence à 00:50 et Un citoyen conteste

Que vaut l’évaluation municipale ? Charles-Édouard Carrier (La Presse) 31 mars 2015

Voir aussi : Condo, Québec La cité, Résidentiel.

The salary you need to buy a home in cities across Canada

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 janvier 2016 17 commentaires

Prices Houses Canada

Huffington Post

It’s become a national pastime to fret about the expense of buying a home in certain Canadian cities.

But there are a few cities where buying one won’t quite break the bank, as it will in other places.

That much is obvious from an infographic that was published by Toronto-based rental website Rentseeker earlier this month.

It’s the second time this year that the website, which offers rental listings in various cities, has published a graphic about how much income you need to make in order to buy a home in the Great White North

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* Québec. Needed income: $41,809 Average home price: $270,506

Voir aussi : Publications & ressources Internet, Résidentiel.

Le marché immobilier stagne à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 janvier 2016 11 commentaires

Radio-Canada
Québec

Le marché immobilier sera encore au ralenti en 2016 dans la région métropolitaine de Québec. Le nombre de résidences en vente poursuivra son augmentation alors que les valeurs des propriétés resteront stables. (…) Les inscriptions, le nombre de résidences à vendre, sont fortement en hausse dans la Région métropolitaine de recensement de Québec (RMR) de Québec. En 2015, 7206 résidences ont été mises en vente, c’est 12 % de plus qu’en 2014. (…)

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* Alors qu’il n’y a pas si longtemps, on disait que les familles délaissaient de plus en plus les centres-villes de Québec pour s’installer en banlieue, il semblerait que la tendance soit quelque peu inversée pour 2015.

Les secteurs de La Cité-basse ville et Limoilou et Sainte-Foy-Sillery sont ceux qui ont connu la plus forte progression avec des ventes de 13 % et 12 % l’an dernier, alors que les secteurs de la MRC de La Jacques-Cartier, Cap-Rouge et Saint-Augustin-de-Desmaures et l’aéroport, L’Ancienne-Lorette et Val-Bélair ont tous connu un recul de 4 %, 8 % et 9 % (Le Soleil, Jean-Michel Genois-Gagnon)

Voir aussi : Condo, Publications & ressources Internet, Résidentiel.

Transactions millionnaires records dans la région de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 janvier 2016 Commentaires fermés sur Transactions millionnaires records dans la région de Québec

Pierre Couture
Journal de Québec

Les maisons pour millionnaires n’ont jamais été aussi demandées dans la région de Québec. L’an dernier, une résidence a même trouvé preneur pour 4 millions de dollars. Une transaction record. Les données compilées par la firme GDL Crédit ressource montrent que 33 résidences de plus d’un million de dollars ont changé de mains l’an dernier à Québec. Du jamais-vu.

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Voir aussi : Publications & ressources Internet, Résidentiel.

Construire à Sillery: le point de vue d’un entrepreneur

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 décembre 2015 Commentaires fermés sur Construire à Sillery: le point de vue d’un entrepreneur

Revue Prestige

Si Pierre Ranger est entrepreneur général depuis 40 ans, son expérience du monde de la construction remonte en fait à un demi-siècle si on tient compte des années où il travaillait dans ce domaine l’été pour payer ses études. (…) J’ai notamment réalisé des projets domiciliaires pour premiers acheteurs en périphérie, particulièrement à Donnacona. Cet épisode a constitué un tournant dans ma carrière, car j’ai compris ce que signifiait concrètement l’étalement urbain : chaque maison que je construisais ajoutait un ou deux véhicules sur l’autoroute vers Québec, contribuant ainsi à la congestion routière, à la pollution et au tribut versé à l’éloignement. (…)

Le constructeur est donc actif depuis plusieurs années dans Sillery avec des projets d’insertion représentant 90 % de ses activités. La plupart requièrent la démolition de maisons d’un âge certain et presque toutes rendues problématiques en matière de salubrité en raison d’une contamination par les moisissures.

Or, ces dernières années, plusieurs contraintes ont accru la difficulté de mener ces projets à terme et en ont augmenté le coût d’acquisition. « Le prix des terrains a quadruplé en 10 ans, la durée maximale des hypothèques a été réduite par le précédent gouvernement fédéral, la réglementation municipale s’est complexifiée et les frais reliés aux permis se sont multipliés, sans oublier la contestation citoyenne avec laquelle nous devons composer, énumère M. Ranger. Ces facteurs rendent plus difficile l’accès à une propriété en ville.

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Condo, Résidentiel.

Posséder son chez-soi: le rêve!

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 novembre 2015 Commentaires fermés sur Posséder son chez-soi: le rêve!

Pascale Guéricolas
Revue Contact

Longtemps, la maison de banlieue avec sa pelouse impeccable, son barbecue et sa piscine hors terre a symbolisé l’American way of life. Un univers de tranquillité permettant à la famille de se construire à l’abri du danger et de la pollution. Les critiques de ce style de vie, souvent qualifié d’ennuyeux et de conformiste, l’attribuent généralement au rêve américain, à la base du développement de la ville aux États-Unis dans les années 50 et 60. Erreur. L’aspiration à posséder une maison individuelle transcende la plupart des sociétés occidentales depuis plusieurs millénaires. Par contre, cela fait seulement quelques décennies que les propriétaires s’éloignent des centres urbains, grâce à la possession d’une voiture individuelle.

La sociologue Andrée Fortin1, codirectrice du Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues (GIRBa), décortique ce mode d’habitat depuis plus de 30 ans. La chercheuse constate que le désir de s’établir en périphérie des quartiers centraux ne se dément pas dans la région de Québec. D’abord à Sillery, à Sainte-Foy ou à Beauport, puis dans des territoires autrefois considérés agricoles, comme Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier ou Sainte-Brigitte-de-Laval. «Il faut se rappeler qu’en 1961, une enquête effectuée par la Commission d’enquête sur le logement de la cité de Québec, à l’invitation du conseil municipal, s’était penchée sur les conditions de logement à Québec. Selon le rapport obtenu, 40% de l’habitat dans la ville de Québec, qui comprenait seulement les quartiers centraux à cette époque, laissait à désirer. Certains logements n’avaient pas d’eau chaude, d’autres pas de salle de bain ou présentaient des installations électriques défectueuses.» La situation était comparable à Montréal. Rien d’étonnant que la publicité d’alors vante la belle céramique de la salle de bain des bungalows tout juste construits, ou leur excellente isolation. Le mot d’ordre dans les années 60 était clair: s’installer dans des maisons neuves et en bon état pour élever ses enfants dans un environnement sain.

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Voir aussi : Résidentiel.