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Le gouvernement fédéral a annoncé lundi un investissement de 31 millions $ pour la construction de logements abordables dédiés aux étudiants de l’Université Laval, dans la Capitale-Nationale.
Cette enveloppe qui provient du Fonds national de co-investissement pour le logement (FNCIL) permettra de développer 204 unités abordables « à perpétuité » qui seront situées à proximité de l’Université Laval. Le projet mené par l’organisme Unité de travail pour l’implantation de logement étudiant (UTILE) sera conçu « pour atteindre des cibles ambitieuses sur le plan environnemental ».
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Vincent Pichard
Radio-Canada
Québec et ses environs sont très recherchés par les acheteurs en quête d’un logement d’exception. Ils sont particulièrement attirés par les grandes maisons luxueuses et les appartements au charme incontestable dans le Vieux-Québec.
Mais ce qui prime avant tout, c’est l’emplacement. Certains sont prêts à tout quand ils ont trouvé le site de leurs rêves. Hélène Lauzier, à la tête de sa propre agence, se souvient avoir vendu une propriété 1,5 million de dollars dans Sillery.
Démolir et reconstruire
Étonnamment, le but des nouveaux propriétaires n’était pas de l’habiter. Ils ont démoli la maison pour en reconstruire une autre par-dessus. Le coût total de l’opération devait être autour des 4 millions.
Les Canadiens de l’Ouest sont ceux qui manifestent le plus d’intérêt en ce moment. On reçoit beaucoup d’appels d’une clientèle ontarienne, surtout de Toronto. On en a aussi de la Colombie-Britannique, renseigne Bryan Péladeau-Lefebvre, courtier immobilier chez Péladeau Agence Immobilière.
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Diane Tremblay
Journal de Québec
Dans l’immobilier, les résultats y dépassent la moyenne historique.
Le ralentissement des activités sur le marché immobilier est moins marqué dans la région de Québec.
Au deuxième trimestre, les ventes ont baissé de 4 % dans la RMR de Québec, alors que le recul s’établissait à 14 % à l’échelle du Québec, par rapport à la même période en 2021.
Malgré tout, la région a maintenu un niveau d’activité transactionnelle fort avec 2590 transactions, ce qui demeure beaucoup plus élevé que la moyenne historique depuis 2014, qui s’établit à un peu moins de 2200 transactions.
« Le marché de Québec est un peu en retard sur le cycle si on compare aux autres marchés. On voit ailleurs que les inscriptions en vigueur remontent, alors qu’à Québec elles continuent de se compresser. Cela veut dire qu’il y a toujours une forte activité et qu’il y a aussi un manque de propriétés sur le marché », indique Charles Brant, directeur du service de l’analyse du marché à l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).
L’une des particularités de la région de Québec, c’est le prix des propriétés qui reste moins élevé. Dans le marché de la résidence unifamiliale, par exemple, le prix médian s’élève à 349 000 $ (+11 %) tandis qu’il se situe à 448 694 % (+20 %) ailleurs en province.
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Laurianne Croteau
Cédric Gagnon
Antoine Noreau
Le Devoir
Entre les propriétés de Westmount, vendues en moyenne 87 000 $ sous le prix demandé, et celles vendues 150 000 $ au-dessus, dans le sud-est de Beaconsfield, difficile pour un acheteur potentiel de savoir quels sont réellement les prix de vente des propriétés de son quartier.
Le Devoir a eu accès aux données de plus de 35 000 transactions immobilières effectuées entre le 1er janvier et le 31 mars 2022 et colligées par la plateforme Centris. Nous vous avons préparé un outil dans lequel comparer les prix de vente, mais aussi la surenchère moyenne, pour chaque municipalité du Québec et quelques centaines de quartiers.
En manque d’inspiration? L’équipe vous suggère les fiches de Westmount, Lévis (arrondissement Desjardins), Gatineau (quartiers Town Side, Le Moulin) et Sainte-Julie (quartier Du Grand-Coteau). Sinon, cherchez autant de localités que vous le désirez en les entrant dans la barre de recherche ci-dessous.
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Québec, le 4 mai 2022 – L’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) dévoile ses données pour le mois d’avril. Les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Québec sont établies d’après la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers.
« L’activité transactionnelle se maintient à des niveaux historiquement élevés à Québec en avril, contribuant à faire chuter davantage le nombre d’inscriptions en vigueur. La surchauffe bat son plein, notamment dans la catégorie des copropriétés dans l’agglomération de Québec, accélérant le processus de rattrapage des prix dans ce secteur et cette catégorie. Effectivement, une hausse de 17 % du prix médian y a été enregistrée, du jamais vu depuis que le système Centris des courtiers immobiliers compile les données de marché », constate Charles Brant, directeur du service de l’Analyse du marché de l’APCIQ. « On voit bien que la dynamique du marché de Québec se distingue de celle de Montréal dont l’activité commence à s’essouffler. En effet, les enjeux de pouvoir d’achat des ménages y sont significativement moins élevés à Québec, le prix moyen d’une résidence dans la RMR de Québec représentant moins des deux tiers du prix moyen d’une résidence dans la RMR de Montréal pour des niveaux de revenus moyens des ménages, respectivement comparables. Les nouveaux acheteurs seront ainsi moins sensibles à la hausse des taux d’intérêt à Québec qu’à Montréal », ajoute-t-il.
Faits saillants du mois d’avril
Les ventes résidentielles ont connu un recul de 11 % au mois d’avril comparé à avril 2021. Comme pour les mois précédents, toutefois, le niveau d’activité est demeuré historiquement élevé, avec 963 ventes.
L’agglomération de Québec et la Périphérie Nord ont connu les replis les plus significatifs, avec des diminutions de ventes atteignant 13 % dans les deux cas. La Rive-Sud de Québec a connu un ralentissement moins important, avec une diminution des ventes résidentielles de 4 % comparée à la même période l’an passé.
Dans les catégories résidentielles, l’unifamiliale s’est démarquée par l’intensité du recul des ventes, avec un recul de 14 %. Les copropriétés et les petites propriétés à revenus ont, de leur côté, connu des diminutions de seulement 7 % par rapport à l’année 2021 qui fut record durant cette période de l’année.
Malgré le ralentissement des ventes dans la RMR, l’offre est demeurée sous pression. Les inscriptions en vigueur se sont établies à 2 280 à la fin du mois d’avril, un repli de 32 % comparé à avril 2021 et une légère diminution comparée à mars 2022 (2 406 inscriptions).
Dans un contexte de hausses de prix généralisées, les unifamiliales dans la RMR ont connu un gain relativement modéré, à 10 % de hausse par rapport au prix médian. Il s’est effectivement établi à 345 000 $ pour le mois d’avril. Les copropriétés, quant à elles, ont vu leur prix augmenter substantiellement, atteignant 235 000 $, un gain de 16 % comparé à avril dernier. Les petites propriétés à revenus ont de leur côté vu leur prix s’établir à 385 000$, un gain de 7 %.
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Paul-Robert Raymond
Le Soleil
Le prix des maisons unifamiliale dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Québec a connu une hausse de 15 % et celui des copropriétés de 9 %, en 2021, selon les données les plus récentes fournies par l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).
Dans ce marché qui est à la faveur des vendeurs, seul le prix moyen des plex a reculé en décembre, avec un repli de 4 % pour se situer à 350 000 $. Ceux des deux catégories en hausse atteignent de nouveaux records avec 318 875 $ pour les unifamiliales et 225 000 $ pour les copropriétés.
Cependant, les ventes immobilières ont connu une légère baisse pour l’ensemble de l’année qui vient de se terminer, soit de 4 % avec 10 197 transactions. Malgré ce léger repli, 2021 est la deuxième année la plus active enregistrée dans le système Centris, mis en place par l’APCIQ. Le mois de décembre 2021 a enregistré une baisse de 17 % du nombre de transactions par rapport à décembre 2020, avec un total de 736 ventes dans la RMR de Québec.
Si on ventile ces données dans la RMR de Québec, c’est l’agglomération de Québec qui a connu la plus forte baisse du nombre de transactions (- 21 %). La périphérie nord de la capitale et la Rive-Sud ont enregistré respectivement une baisse de 5 % et de 4 %.
Quant à elles, les ventes de copropriétés ont baissé de 7 % et celles des unifamiliales de 20 %. Dans ce dernier cas, cette décroissance s’explique par un faible niveau d’inventaire disponible sur le marché. Les ventes de petits immeubles à revenus ont connu le plus fort repli , soit – 25 % en décembre 2021.
La baisse de l’inventaire est attribuable notamment au nombre d’inscriptions qui chute. Pour un 21e mois consécutif, il y a eu une baisse des inscriptions pour les résidences unifamiliales (-36 %) et les copropriétés (-45 %). Les petits immeubles à revenus ont subi une plus faible baisse, soit -7 %.
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Sébastien Tanguay
Radio-Canada
La région de Québec a connu, au mois d’août, la plus importante diminution du pays quant aux mises en chantier d’habitations, accusant un recul de 78 % par rapport à 2020.
La région métropolitaine de recensement de la capitale n’a compté que 170 mises en chantier au cours du mois d’août 2021. Pendant la même période l’an dernier, la RMR de Québec en recensait 781, selon les données les plus récentes de la SCHL.
Il s’agit de la plus importante baisse enregistrée au mois d’août non seulement au Québec, mais dans l’ensemble des centres urbains de plus de 10 000 habitants du Canada.
En comparaison, Sherbrooke, au cours de cette même période, limitait la baisse à 4 % tandis que Montréal accusait une diminution de seulement 1 % par rapport à 2020.
Trois-Rivières, pendant ce temps, connaissait une hausse de 17 % des mises en chantier d’habitations.
La RMR de Québec a connu une année de construction résidentielle exceptionnelle en 2021. Avec 6476 logements individuels et collectifs construits depuis le début de l’année, la RMR enregistre une hausse de 50 % par rapport aux 4305 chantiers résidentiels démarrés au cours des huit premiers mois de 2020.
Dans l’ensemble de la province, les mises en chantier, au moins d’août, ont reculé de 15 %. Paul Cardinal, le directeur du Service économique de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec, y voit des signes indiquant que la cadence des mises en chantier commence à s’essouffler.
Néanmoins, l’activité demeure robuste, de sorte qu’on se dirige toujours vers la meilleure année depuis 1987 pour la construction résidentielle au Québec, conclut-il.
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