Ça m’a fait penser au métro de Montréal comme comparaison.

Nomade – décembre 2014

Sur le site du RTC.

RTC: Nomade en temps réel.

Source : Annie Morin, Le Soleil (24 octobre 2013)

Le président-directeur général du Port de Québec confirme ses grandes ambitions pour les pourtours du bassin Louise. Les plans du réaménagement annoncé incluent un nouvel hôtel, des condos, des commerces et le maintien du marché public et des espaces verts. «Ça va être écoeurant», dit Mario Girard.

Source : Annie Mathieu, Le Soleil, le 18 octobre 2011

(Québec) Trois propositions ont été retenues par la Ville de Québec pour la cure de jouvence que devrait subir le Marché du Vieux-Port.

Le vice-président du comité exécutif, Richard Côté, a expliqué lundi soir en marge du conseil municipal qu’il fallait cependant attendre les résultats de l’analyse des sols, qui devrait être déposée cette semaine, avant de pouvoir chiffrer les coûts des options sur la table à dessin.

M. Côté n’a pas voulu préciser si la facture pour la revitalisation du Marché pourrait dépasser les 10 millions $ qui avaient d’abord été prévus, ouvrant néanmoins la porte à ce que celle-ci soit plus salée.

Il a toutefois assuré que les propositions avaient été élaborées comme prévu sur l’emplacement actuel du Marché, soit en bordure du bassin Louise.

Richard Côté a refusé de dévoiler les détails des plans retenus, soutenant que même le conseil municipal n’avait pas encore eu le privilège de les consulter. Les différentes propositions offrent des versions différentes du Marché rénové, tant au chapitre de sa hauteur que de sa grosseur. Des annexes au bâtiment ne sont pas exclues, a spécifié M. Côté, qui a ajouté que de nombreux groupes avaient sollicité la Ville pour s’installer aux abords du Marché.

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L’échéancier se précise pour le marché du Vieux-Port.

Source : Radio-Canada, le 26 novembre 2010

L’administration Labeaume va annoncer dans quelques jours que le nouveau visage du marché du Vieux-Port devrait être dévoilé d’ici un an.

Le vice-président du comité exécutif, Richard Côté, a fait cette révélation jeudi au marché. Il a indiqué qu’une somme de 1,5 million de dollars était réservée dans le programme triennal d’immobilisations qui va être déposé dans quelques jours.

La somme permettra de payer les plans et devis des architectes et des ingénieurs qui seront chargés, entre autres, de donner un nouveau visage au marché.

Le projet d’agrandissement du marché du Vieux-Port devait se faire cette année, mais l’administration Labeaume a décidé de prendre son temps pour bonifier le projet.

Le nouveau marché pourrait se réaliser en plusieurs phases au coût de 12 millions de dollars.

La première pelletée de terre se fera en 2012.

l’article

L’incertitude plane toujours au-dessus du Marché du Vieux-Port.

Source : Ian Bussières, Le Soleil, le 20 décembre 2009

(Québec) Malgré le rejet par le conseil municipal de sa proposition d’engager de 8 à 10 millions $ dans un projet de rénovations majeures du Marché du Vieux-Port, la conseillère indépendante de Vieux-Québec?Montcalm, Anne Guérette, continue de croire que le projet devrait être mis de l’avant rapidement.

«Le maire Labeaume en avait fait un engagement électoral, mais maintenant son conseil municipal refuse d’aller de l’avant! Les gens du Marché du Vieux-Port attendent cet investissement avec impatience. Dans les circonstances, il est difficile pour eux de faire des projets d’avenir», déclarait hier Mme Guérette.

La conseillère souhaitait voir la somme être puisée dans le plan triennal d’immobilisations 2010-2012. «Quand j’ai vu que ce n’était pas dedans, j’étais surprise et déçue», poursuit-elle.

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Toutefois çà n’empêche pas le bon déroulement du « Marché de Noël ».

En octobre, le maire de Québec tenait au marché dans le Vieux-Port.

Ajout du mardi 22 décembre : L’incertitude ne régnerait plus ?

Article du Journal de Québec du mardi 22 décembre qui annonce que le marché restera en place et sera bonifié.

Crédit : Annie St-Pierre, Journal de Québec

C’est jeudi le 26 que s’ouvrira le « Marché de Noël » au Marché du Vieux-Port. Quelques commerçants semblaient déjà sur place depuis un certain temps pour vendre leurs produits (confitures, ketchup, canneberges, pommes, produits de l’érable, décorations de Noël, etc) et pour d’autres on s’affairait à installer le tout.

Marché de Noël: 26 novembre au 31 décembre
Tous les jours de 9h à 18h.
Jusqu’à 19h le jeudi et vendredi.
(Le marché est fermé les 25 et 26 décembre ainsi que les 1er et 2 janvier)

Source ainsi que la page du Marché de Noël.

Et n’oublions pas cet article qui nous indiquait l’intention de Régis Labeaume de garder le marché du Vieux-Port à cet endroit.

Habituellement, j’essaie d’éviter les articles à saveur électoralistes, mais celui-ci touche l’urbanisme et m’interpelle un peu. Tout comme le maire, je prône le maintien de cet établissement fréquenté dans le Vieux-Port. Ça fait longtemps qu’il est là, il est populaire et il fait désormais partie du paysage! À vous de juger si l’investissement proposé en vaut le coup.

Lire l’article dans Le Soleil

Petit bémol, ici, sur le titre quelque peu sensationnaliste de l’article. Pour le reste, il y a de quoi réfléchir, en effet, sur notre société de surconsommation. Gaspillage et fuite en avant!

Pendant ce temps à Québec et Montréal, paradoxalement, les banques alimentaires manqueraient de plus en plus de vivres…

Source: Annie Morin, Le Soleil, 23 octobre 2008.

(…) Cueilleurs urbains, glaneurs, gratuivores, déchettariens, dump­ster divers, freegans… Les noms ne manquent pas pour décrire ces grands critiques de la société de consommation, qui fouillent les poubelles à la recherche d’aliments comestibles n’ayant pas trouvé preneurs.

Le mouvement a commencé aux États-Unis, avant de s’étendre en Europe et maintenant au Québec. (…)

La motivation est politique bien plus qu’économique. Se nourrir avec les restes des commerçants devient une façon de protester contre la société de surconsommation. On plonge dans les ordures comme d’autres se promènent à vélo ou s’habillent dans les friperies. Caroline, elle, fait les trois.

Le Marché du Vieux-Port, c’est le centre d’approvisionnement numéro un des glaneurs de Québec pour les produits frais. Mais tous les conteneurs des boulangeries, des fruiteries et des supermarchés sont susceptibles d’être visités. (…)

Geneviève, 26 ans, s’y rend régulièrement : «C’est tellement plus facile!» Elle a fait ses armes à Montréal et en France, où le grand nombre de marchés publics, de fruiteries, de boulangeries et de marchés ethniques est synonyme d’abondance pour les glaneurs.

Des cartes sont d’ailleurs disponibles dans Internet pour indiquer les meilleurs endroits de collecte et les heures auxquelles il vaut mieux se présenter. Des membres de coopératives d’habitation s’y adonnent régulièrement. (…)

La suite et l’article suivant: Un aliment sur deux n’est pas consommé. À consulter enfin, entre autres billets: 2 500 bénévoles en action pour la grande collecte.

Source: Annie Morin, Le Soleil, 19 septembre 2008.

L’administration Labeaume s’apprête à investir 5 à 10 millions $ dans le Marché du Vieux-Port pour le rendre plus attrayant et plus confortable.

La somme exacte sera inscrite au Programme triennal d’immobilisation (PTI) qui est actuellement en élaboration et qui sera adopté d’ici Noël. Les travaux de rénovation commenceront dès le printemps.

À noter qu’en faisant le choix du Vieux-Port, l’administration Labeaume enterre l’idée d’investir dans des marchés satellites en banlieue, comme le voulait une étude commandée par le CLD de Québec. Faute de personnel, les maraîchers ne voudraient pas y aller de toute façon. Le marché public de Sainte-Foy, lui, continue sur son erre d’aller.

S’il rêve d’un «vrai marché» pour la capitale, le maire Labeaume refuse d’évoquer un modèle précis, comme le à Ottawa ou le marché Jean-Talon à Montréal. «Il faut que ce soit pour le moins confortable, bien installé pour les marchands qui sont là, à l’année longue. Mais il ne faut pas que ce soit trop «informatisé». Le plaisir d’aller là, c’est d’avoir des étals. Moi, j’espère qu’il va rester des blés d’inde en poche. Il faut que ça garde un aspect terroir. Quand tu vas là, c’est parce que tu veux vivre une autre expérience», explique-t-il, soucieux d’éviter à tout prix l’ambiance «supermarché». (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: 400e de Québec: Pas payant pour les producteurs.

J’ai bien aimé cette création à l’espace 400^e, qui consiste à des des milliers de carrés bleus qui flottent au-dessus de l’eau, et qui scintillent au vent. L’effet est vraiment spectaculaire, et aussi difficile à rendre en photo! Personnellement c’est la section qui m’a intéressé, l’article plus bas présente le projet complet.

Bien connu dans le monde de l’architecture, le groupe BGL est derrière cette création surprenante. Je vous invite à visiter leur nouveau site, en ligne depuis quelques jours. Une bonne amélioration par rapport à l’ancien.

Voici un article plus détaillé sur ce projet.