Architectes : CCM2
Jonathan Lavoie
Radio-Canada
Pour contester certains projets routiers, dont celui du troisième lien, l’argument que Québec est la région qui compte le plus de kilomètres d’autoroute par habitant au pays est souvent mis de l’avant. Cette affirmation était peut-être vraie à une certaine époque, mais elle ne l’est plus aujourd’hui.
Le ratio de kilomètre d’autoroute par habitant est calculé environ tous les cinq ans dans l’Enquête sur les indicateurs de transports urbains de l’Association des transports du Canada (ACT).
Selon la dernière étude publiée en 2016, parmi les grandes régions métropolitaines, Calgary est désormais la championne canadienne. Québec n’est toutefois pas loin derrière et arrive en deuxième place.
Les kilomètres d’autoroute par habitant ont été calculés en fonction du nombre de voies de chaque tronçon.
Voir aussi : Message d'intérêt public.
Québec, le 10 décembre 2018 – La Ville de Québec a présenté aujourd’hui son budget d’investissement 2019, le plus élevé depuis 10 ans, en progression de 12,5 %. Le programme triennal d’immobilisations (PTI) 2019-2020-2021 atteint 1 900,1 M$ en incluant le Réseau de transport de la Capitale. Près du deux tiers, soit 63 % des projets d’investissement, seront payés comptant ou financés par les gouvernements et des programmes de subvention. Seulement 37% des investissements seront financés par le biais d’emprunts. Il prévoit le développement des infrastructures pour 1 159,7 M$, et le maintien de la pérennité des infrastructures publiques existantes pour 740,5 M$.
La Ville a choisi d’investir dans de grands projets, comme le réseau structurant de transport en commun, le centre de biométhanisation, le centre de glaces et la bibliothèque Gabrielle-Roy, et de profiter pleinement des programmes gouvernementaux d’aide financière destinés aux infrastructures. Le budget d’investissement assure également la continuité des travaux de réfection d’infrastructures amorcés depuis plusieurs années, notamment la mise à niveau et la réparation des chaussées et des réseaux d’aqueduc et d’égout.
« Le paiement comptant d’immobilisations que nous priorisons depuis plusieurs années se montre aujourd’hui payant, nous permettant d’avoir une marge de manœuvre pour investir massivement dans des projets d’avenir, tout en contrôlant la dette qui est en baisse, a déclaré le maire de Québec, M. Régis Labeaume. Les programmes de subvention gouvernementaux offrent à la Ville une occasion qu’elle ne peut laisser passer, en priorisant la mise en œuvre de projets d’infrastructures importants, tout en diminuant les coûts à long terme pour la population de Québec. Ce budget d’investissement poursuit notre engagement de maintenir des services durables et de qualité, tout en laissant aux générations futures des équipements performants. »
Les investissements projetés au PTI 2019-2020-2021, totalisant 1 900,1 M$ (incluant le RTC), se répartissent comme suit :
– 609,7 M$ en 2019;
– 722,2 M$ en 2020;
– 568,3 M$ en 2021.
Les priorités
Les choix d’investissement de la Ville visent à fournir des services municipaux de qualité et à maintenir les équipements et les infrastructures publics en bon état.
Plusieurs projets majeurs incontournables seront achevés ou lancés dans les trois prochaines années, notamment :
§ 281,8 M$ | Maintien et développement du Réseau de transport de la Capitale
§ 215 M$ | Construction du réseau structurant de transport en commun
§ 105 M$ | Construction du Centre de biométhanisation de l’agglomération de Québec
§ 83,2 M$ | Réhabilitation et réfection des chaussées et réaménagement de la route de l’Église
§ 82,4 M$ | Construction d’un centre de glaces (anneau de glace couvert et deux patinoires), travaux au Centre sportif de Sainte-Foy, et réaménagement de la base de plein air de Sainte-Foy
§ 77,1 M$ | Travaux liés au traitement des eaux
§ 57,5 M$ | Projets liés à l’entente de développement culturel liant le ministère de la Culture et des Communications et la Ville
§ 56,7 M$ | Construction et réfection de bâtiments municipaux
§ 44,8 M$ | Développement des écoquartiers D’Estimauville et de la Pointe-aux-Lièvres, incluant une passerelle cyclopiétonne en bois (rivière Saint-Charles)
§ 32,7 M$ | Bibliothèque Gabrielle-Roy
§ 27 M$ | Travaux en lien avec le Plan des rivières (17 M$) et travaux correctifs de la rivière Lorette (10 M$)
§ 24,9 M$ | Développement du logement social et programme Rénovation Québec
§ 21,8 M$ | Nouveau système de radiocommunication
§ 19 M$ | Réfection et entretien des ouvrages d’art
§ 17,8 M$ | Marché public de Québec, Espace public de la Place de la famille, Promenade Samuel-de-Champlain
§ 17,1 M$ | Construction et réfection de centres communautaires (Saint-Roch, des Chutes et Bardy)
§ 15 M$ | Travaux à l’incinérateur afin d’améliorer sa performance
§ 14,5 M$ | Mise en œuvre de la vision des déplacements à vélo, incluant la passerelle Dalhousie
§ 12,3 M$ | Réalisation du plan d’aménagement lié au programme particulier d’urbanisme (PPU) du plateau centre de Sainte-Foy
§ 9,3 M$ | Acquisition de véhicules au Service de protection contre l’incendie, selon le nouveau schéma de couverture de risques en incendies
§ 685,4 M$ | Autres investissements
Les détails concernant le budget d’investissement (programme triennal d’immobilisations (PTI) 2019-2020-2021 sont accessibles sur le site internet de la Ville de Québec
Les informations sur le budget 2019 188 pages (Allez voir Québec en quelques chiffres à la page 32)
Le budget en bref 20 pages
Voir aussi : Message d'intérêt public, Québec La cité.
Patricia Cloutier
Le Soleil
Le temps d’attente avant d’obtenir un taxi devrait être moins long à Québec à la sortie d’un spectacle ou en descendant de l’avion.
Le ministre des Transports François Bonnardel a rendu public jeudi soir un nouveau projet pilote, valide jusqu’à la fin de l’année 2019, qui permettra aux taxis de la grande région de Québec de mieux concurrencer Uber. Les taxis auront dorénavant l’autorisation de se rendre en groupe à certains points chauds de la ville, et ainsi répondre plus rapidement à la demande.
Ce projet pilote permet à tous les taxis de la ville de Québec d’aller chercher des clients à l’aéroport de Québec, au terminal de croisière du Vieux-Port, à la gare fluviale Québec-Lévis, aux gares du Palais et de Sainte-Foy, de même qu’au Centre Vidéotron.
«C’est là une grande avancée. Enfin, lorsqu’il y aura une demande forte et spontanée, tous les taxis de Québec pourront venir et collaborer pour répondre aux besoins des clients. Ça fait des années qu’on demande ça», réagit Abdallah Homsy, porte-parole du Regroupement des intermédiaires de taxi de Québec (RITQ).
À Lévis, le gouvernement permet à tous les taxis de se rendre à la gare fluviale ou à la gare de Charny lorsque l’achalandage le réclame.
Ce projet pilote indique également que les territoires des taxis ne s’appliquent plus à Québec lorsqu’un client demande un taxi par l’intermédiaire d’une application mobile. Le ministère des Transports crée un nouveau registre des applications mobiles qui seront autorisées.
Cette ouverture aux applications est «un soulagement» pour le RITQ, qui a développé ces derniers temps l’«app Taxi Coop» au coût de 500 000$.
Cette application disponible sur téléphone cellulaire est utilisée par plus de 15 000 personnes chaque mois.
M. Bonnardel croit important d’aider les taxis à être plus efficaces. «J’avais avisé l’industrie du taxi quand je les ai rencontrés voilà un mois déjà qu’on allait aller de l’avant, les supporter et trouver de quelle manière on pouvait moderniser l’industrie et travailler avec eux.»
Fusionner les territoires
M. Homsy salue le projet pilote du gouvernement caquiste, qu’il qualifie d’«audacieux» et décoche du même coup une flèche à l’ancien gouvernement libéral. «Pendant les quatre années précédentes, on avait l’impression que le gouvernement faisait exprès de créer une concurrence déloyale, en donnant des avantages aux autres et en maintenant des règles archaïques pour les taxis.»
Le RITQ espère maintenant que la prochaine étape sera la fusion totale et complète de tous les territoires de taxi à Québec. «Ça a pas de bon sens, qu’en pleine tempête ou lorsqu’il y a de la congestion, on n’ait pas le droit d’aller chercher des clients dans tel ou tel secteur. On a des taxis qui roulent à vide pour retourner dans leur territoire et ça, c’est pas bon pour l’environnement», commente M. Homsy.
À Québec, l’industrie du taxi est toujours divisée en territoires qui correspondent aux limites des anciennes ville avant les fusions municipales. La coop de taxi de Sainte-Foy et Taxi Laurier sont toutefois opposées à une fusion de tous les territoires de la ville, craignant de perdre de la clientèle.
Pas de Uber à Lévis
Il y a quelques semaines, le ministre Bonnardel a également reconduit les projets pilote qui concernent la compagnie Uber au Québec et Téo Taxi à Montréal.
Bien que la CAQ se soit engagée lors de la dernière campagne électorale à permettre à Uber de faire des affaires à Lévis, ce n’est pas demain la veille que ça se produira. «On va pas plus loin pour Uber», a soutenu le ministre Bonnardel en mêlée de presse, avant d’ajouter «pas pour le moment».
La ministre responsable de la Capitale-Nationale, Geneviève Guilbault, a par la suite précisé que son gouvernement tiendrait son engagement, mais que les choses doivent se faire «dans l’ordre».
C’est que le ministre Bonnardel doit se pencher prochainement sur une solution à plus long terme pour régulariser l’industrie du transport de personnes au Québec et faire en sorte que la concurrence soit saine entre les taxis, qui doivent respecter de nombreuses règles, et les nouvelles entreprises qui s’installent.
Voir aussi : Message d'intérêt public.
Québec, le 3 décembre 2018 – La Ville de Québec a présenté aujourd’hui la composition du comité directeur du projet de réseau structurant de transport en commun. Composé de 13 membres issus de divers milieux, ce comité aura pour principal rôle de superviser et orienter les travaux du Bureau de projet.
« Nous franchissons une autre étape de ce vaste projet collectif, a souligné le maire de Québec, M. Régis Labeaume. Après les experts en finance, en droit et en tramway, il est temps de mettre en place le comité directeur. Les membres externes de ce comité proviennent de plusieurs milieux regroupant des expertises pertinentes à la réalisation du projet. Ces personnes ont toute ma confiance! »
« Le projet de réseau structurant de transport en commun se concrétise chaque jour, a déclaré le vice-président du comité exécutif et président du Réseau de transport de la Capitale, M. Rémy Normand. Au cours des prochaines années, l’offre en transport en commun se bonifiera de façon considérable. Toute la population de Québec et de sa région profitera des améliorations. Ils auront accès à de multiples options pour mieux se déplacer. »
Composition et mandat du comité
Les membres du comité directeur sont :
· M. Régis Labeaume, maire de Québec
· M. Rémy Normand, vice-président du comité exécutif de la Ville de Québec et président du Réseau de transport de la Capitale
· Mme Marie-Josée Savard, vice-présidente du comité exécutif de la Ville de Québec
· Mme Caroline Bourgeois, vice-présidente à la gestion de projets – Est du Québec à la Société québécoise des infrastructures
· M. Frédérick Bouthillette, sous-ministre adjoint aux projets stratégiques de transport collectif et ferroviaire au ministère des Transports
· M. Alain Mercier, directeur général, Réseau de transport de la Capitale
· M. Luc Monty, directeur général, Ville de Québec
· M. Yvon Charest, membre externe indépendant
· M. André Legault, membre externe indépendant et président du comité
· M. Luc Meunier, membre externe indépendant
· Mme Madeleine Paulin, membre externe indépendante
· M. Alain Roy, membre externe indépendant
· M. Serge Viau, membre externe indépendant
Un résumé des parcours professionnels des membres externes indépendants est disponible en annexe.
Pour bien exécuter son mandat de supervision et d’orientation auprès du Bureau de projet, le comité devra :
· S’assurer de la réalisation du projet selon la portée, le plan de gestion, le budget et l’échéancier établis au dossier d’affaires approuvé par le gouvernement.
· Veiller à ce que l’équipe de gestion du Bureau de projet propose et mette en œuvre un plan de réalisation répondant à son ampleur et à sa complexité, et ce, en collaboration avec les autres intervenants concernés.
· Recommander toute modification nécessaire au plan de réalisation du projet pour assurer l’atteinte des objectifs. Les améliorations pourraient également nécessiter l’approbation du gouvernement.
· Veiller à ce que les mesures appropriées soient mises en place pour assurer une gouvernance de qualité du projet.
· Recevoir la reddition de compte périodique du directeur du Bureau de projet.
· Valider les orientations de déploiement du réseau et veiller à la cohérence des points de vue des divers intervenants.
· Approuver les orientations de communication et d’interventions auprès de la communauté et des médias.
Voir aussi : Message d'intérêt public, Transport en commun.
Alexandre Duval
Radio-Canada
Des étudiants et des employés de l’Université Laval délaissent tranquillement l’automobile au profit d’autres moyens de transport. De 2012-2013 à 2017-2018, le taux de permis de stationnement vendus sur le campus a baissé d’un peu plus de 10 %.
L’administration universitaire a donc dépassé son objectif qui était de réduire les ventes permis de stationnement de 8 %.
En chiffres absolus, l’Université Laval a vendu l’équivalent de 457 vignettes de stationnement annuelles en moins l’an dernier, par rapport à 2012-2013.
« Nous expliquons cette diminution par les efforts des membres de notre communauté qui ont opté pour des alternatives à l’auto solo », affirme la porte-parole de l’Université Laval, Andrée-Anne Stewart.
Ces dernières années, l’administration a néanmoins posé plusieurs gestes pour faciliter la vie des piétons, cyclistes, covoitureurs et utilisateurs du transport en commun sur le campus.
Place au transport actif
L’Université a notamment augmenté le nombre de supports à vélo disponibles sur le campus. Il y en a aujourd’hui 220 totalisant plus de 2300 espaces de stationnement.
À cela s’ajoutent trois bornes de réparation en libre-service qui permettent aux cyclistes de faire quelques ajustements sur leur monture en cas de pépin.
Des casiers sécurisés ont aussi mis à la disponibilité des cyclistes et des douches neuves ont été construites dans quelques pavillons.
(…)
Parallèlement à ces initiatives, l’Université Laval a aussi rendu l’utilisation de l’auto légèrement moins attrayante.
En 15 ans, le nombre de cases de stationnement disponibles sur le campus est passé d’environ 10 000 à 8500 et il est appelé à diminuer encore.
(…)
De plus, des cases de stationnement ont été réservées pour l’auto-partage. L’Université a aussi rehaussé le coût de ses vignettes de stationnement, « un moyen pour encourager le transport actif », selon Mme Stewart.
Par exemple, un permis annuel de catégorie 1 coûtait environ 990 $, taxes incluses, en 2012-2013. Cinq ans plus tard, le coût total frôlait les 1150 $.
Les informations sur le stationnement à l’Université Laval
Voir aussi : Message d'intérêt public.
Québec, le 20 novembre 2018 – La Ville de Québec invite la population à participer à l’atelier sur l’aménagement du futur sentier de la falaise de Sillery qui se tiendra le dimanche 25 novembre prochain, entre 13 h et 16 h, au Domaine Cataraqui situé au 2141, chemin Saint-Louis.
Dans une atmosphère conviviale, les citoyens pourront s’exprimer sur l’aménagement et la mise en valeur du sentier. Cet atelier vise à recueillir leurs idées concernant l’accès au sentier, le potentiel paysager, la mise en valeur culturelle et patrimoniale du secteur, la préservation du milieu naturel ainsi que la sécurité des lieux afin de créer un sentier à leur image.
Plusieurs activités libres sont offertes en continu :
· Visite du centre d’interprétation des grands domaines de Sillery;
· Marche d’observation sur le site pour s’imprégner du lieu;
· Café-discussion : diaporama d’information et échanges;
· Atelier participatif sur la planche à dessin.
Le projet de sentier de la falaise de Sillery, financé par le gouvernement du Québec, s’inscrit dans la mise en œuvre du Programme particulier d’urbanisme pour le site patrimonial de Sillery et ses environs adopté en 2015. Ce programme vise à soutenir la protection et la mise en valeur des caractéristiques fondamentales du site patrimonial tout en conciliant les attentes et les besoins des différents acteurs du milieu.
Pour plus de détails sur cet atelier participatif, les citoyens sont invités à consulter le site internet de la Ville de Québec
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Message d'intérêt public.
Eric Jaffe
Citylab
Whenever a road project gets announced, the first thing officials talk about is how it’s going to reduce traffic. Just last month, for instance, the Connecticut DOT reported that it would be widening Interstates 95 and 84, a project that would result in major economic benefits from “easing congestion”:
The analysis found that adding a lane in each direction border-to-border will save I-95 travelers well over 14 million hours of delays by the year 2040. Likewise, the widening of I-84 will save travelers over 4.7 million hours of delays during the same period.
Never mind that it’s unclear whether major highway projects actually provide an economic boost (many of the supposed new benefits are simply a relocation of existing business activity). Congestion relief itself is a dubious claim when it comes to road expansions. Transportation experts have repeatedly found that building new roads inevitably encourages more people to drive, which in turn negates any congestion savings—a phenomenon known as “induced demand.”
Voir aussi : Message d'intérêt public.
Première heure
Radio-Canada (Québec)
C’est l’entreprise Cominar qui est propriétaire du terrain abritant le nouveau magasin IKEA. Quelle est leur vision pour le développement de ce secteur? Avec nous, Jean Laramée, vice-président exécutif, projets de développement chez Cominar.
L’entrevue avec Monsieur Laramée
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Message d'intérêt public.
Jonathan Lavoie
Radio-Canada
L’élargissement de l’autoroute Henri-IV aurait grandement profité d’un réaménagement complet de l’échangeur Félix-Leclerc. Une étude des débits de circulation commandée par le gouvernement démontre qu’une reconfiguration de l’ensemble des bretelles aurait permis de réduire considérablement la congestion et de « mieux répondre aux besoins futurs anticipés », mais ce scénario a été écarté.
L’étude du ministère des Transports (MTQ) complétée en 2016, et obtenue par Radio-Canada, évalue les impacts de l’élargissement sur les débits de circulation et décortique deux scénarios permettant d’élargir l’autoroute Henri-IV, entre les autoroutes Félix-Leclerc et Charest.
Le premier scénario est très semblable à la mouture finale du projet dont le chantier a été lancé cet été. L’autoroute Henri-IV sera élargie à trois voies dans les deux directions entre les autoroutes Charest et Félix-Leclerc et jusqu’à la rue Chauveau en direction nord seulement.
Le deuxième scénario, plus ambitieux, incluait également une réorganisation complète de l’échangeur Félix-Leclerc et l’ajout d’une troisième voie jusqu’à la rue Chauveau en direction sud.
En simulant les débits de circulation anticipés en 2031, l’ingénieur qui signe l’étude conclut que le scénario 2 permet « de beaucoup mieux répondre à la forte demande empruntant l’échangeur nord Henri-IV/Félix-Leclerc, et ainsi à en diminuer les refoulements en amont. Cet échangeur demeurerait saturé beaucoup plus longtemps avec [le scénario 1], en direction nord comme en direction sud ».
Voir aussi : Message d'intérêt public.