Le site et ce communiqué.
Le site et ce communiqué.
Voir aussi : Message d'intérêt public.
Québec, le 13 mars 2020 – Concernant la COVID-19, un groupe de travail représentant tous les secteurs du Réseau de transport de la Capitale (RTC) déploie présentement un plan d’action visant à assurer la sécurité des employés et des clients, ainsi que la continuité des services en collaboration avec les autorités municipales et provinciales.
Chaque jour, le RTC est en contact avec le ministère des Transports du Québec, la sécurité civile, la santé publique et les autres sociétés de transport dans un souci de cohésion.
Voici pour le 13 mars, les informations importantes en regard du RTC
Lavage des autobus
Afin de collaborer aux efforts collectifs visant à prévenir la propagation du virus, le RTC annonce qu’il prendra des mesures additionnelles dès aujourd’hui afin de renforcer les mesures de nettoyage et de désinfection déjà en place.
Dès maintenant, et jusqu’à nouvel ordre, les véhicules seront désinfectés sur la base de leur usage en termes d’heures de service. La priorité est d’assurer la désinfection des points de contact avec les mains, soit les sangles et barres de maintien, les sonnettes, les portes, ainsi que l’habitacle chauffeur.
A titre d’exemple, les véhicules affectés aux parcours Métrobus seront désinfectés chaque jour et ceux dont l’usage est plus limité pourraient être désinfecté aux deux jours au maximum, suivant la même procédure.
En ce qui concerne les stations tempérées, elles sont également assujetties à un protocole de désinfection en regard des points de contact avec les mains.
Les correspondances papier
Dès maintenant, le client devra montrer sa correspondance au chauffeur sans lui remettre. Nous demandons la participation de la clientèle à ce sujet.
Service de transport adapté de la Capitale
Tous les déplacements sont automatiquement annulés pour les clients qui se destinent vers les établissements et organismes étant fermés.
La procédure de désinfection renforcée sera aussi appliquée quotidiennement aux minibus du STAC et de ses partenaires, ainsi qu’aux taxis qui effectuent du transport adapté pour le STAC.
Mesures internes
À l’interne, conformément aux recommandations gouvernementales, le RTC demande à ses employés de se placer en isolement s’ils reviennent d’un voyage à l’étranger, d’annuler toute rencontre prévue à l’extérieur du pays ou avec des représentants provenant d’autres pays. Le RTC demande également à ses employés de ne pas participer à des événements de plus de 250 personnes et d’annuler toute rencontre non essentielle.
En ce qui concerne les infrastructures du RTC et du STAC, tous les points de contact majeurs avec les mains sont désinfectés en continu, autant dans les garages que les bureaux administratifs.
Une attention particulière est portée à la désinfection des aires communes des chauffeurs.
Le RTC invite la clientèle à suivre les outils d’information pour connaître tous les développements.
Les médias seront informés de manière continue, selon l’évolution de la situation.
720, rue des Rocailles, Québec, Québec G2J 1A5 | Téléphone : 418 627-2351 | rtcquebec.ca
Voir aussi : Message d'intérêt public, Transport en commun.
17000 véhicules par jour circulent sur le Chemin Ste-Foy. 13000 sur le boulevard René-Lévesque (circulation moindre à cause des voies réservées). Une artère commerçante très achalandée. Et des travaux importants à faire, dans la continuation de ceux exécutés en 2017. Tout cet ensemble verra un été 2020 qui sera source de complications connues.
C’est lors d’une conférence de presse très courue que la Ville nous a présenté le projet. L’essentiel des inconvénients pour les automobilistes est présenté dans l’image suivante:
En ce qui a trait au transport en commun, nécessairement détourné, il sera de cet ordre:
Pour les personnes habitant le secteur et ayant des vignettes de stationnement pour cette section nord de l’avenue Cartier, la Ville leur donnera l’usage du terrain où est l’ancien Garage Bérubé qui ne fait toujours pas l’objet d’une construction (voir ce billet).
Pour d’autres informations, le communiqué.
* Une rencontre avec les citoyens est également prévue pour le 3 mars 2020, de 19h à 21h, aux Loisirs Montcalm (265 Boul. René-Lévesque), salle Fraser.
Les défis du chantier Cartier-Sainte-Foy Jean-François Néron (Le Soleil)
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Message d'intérêt public.
Taïeb Moalla
Journal de Québec
Le tunnel d’un kilomètre, dans lequel le futur tramway devait s’engouffrer à Sainte-Foy, a été abandonné, selon un document officiel publié vendredi par la Ville de Québec.
C’est ce qu’on peut constater dans un appel de qualification de la municipalité visant à sélectionner un consortium pour la conception et la construction du tramway.
Sur une carte figurant à la page 15, le tracé autour du pôle d’échanges de Sainte-Foy et la station Roland-Beaudin est en surface. La couleur orange, qui correspond au tramway souterrain, n’existe que pour le tunnel de l’est et reliant la haute-ville à la basse-ville.
Le 17 février dernier, le maire de Québec avait déjà laissé entendre que ce tunnel de près d’un kilomètre pourrait disparaître dans la foulée de l’abandon de l’emplacement du Phare pour le pôle d’échanges de Sainte-Foy.
(…)
Selon le document de la Ville, on apprend que les trois pôles d’échanges et les deux terminus du tramway seront chauffés et climatisés et que le garage principal sur Le Gendre pourra accueillir 30 rames (contre 20 rames pour le garage secondaire sur la 41ème Rue Ouest).
On calcule qu’une rame de tramway de 43 mètres pourra transporter 260 voyageurs à la fois (soit 3,3 personnes au mètre carré). On indique également que la durée de vie minimale d’un tramway est de 30 ans et que ce dernier parcourt 75 000 km par année.
On rappelle que la Wi-Fi sera disponible partout (stations de surface et souterraines ainsi que dans le tunnel), que la vidéosurveillance sera installée partout sur le réseau et que le système Opus actuel du Réseau de transport de la Capitale (RTC) sera mis à niveau et étendu au tramway et au trambus.
Voir aussi : Message d'intérêt public, Projet - Tramway.
Québec, le 13 février 2020 – La Ville de Québec répondra à des préoccupations locales soulevées par des citoyens et des commerçants sur l’implantation du tramway dans leur secteur et ainsi, ajoutera des activités de relations communautaires de très grande proximité avant la tenue des rencontres des comités de bon voisinage. Ce faisant, la Ville reporte de quelques semaines les dates des premières séances publiques de ces comités de bon voisinage. Ceci vient répondre aux préoccupations formulées par la population quant à la difficulté d’aborder des enjeux très spécifiques dans une instance couvrant un territoire plus large, soit les secteurs des comités de bon voisinage : Sainte-Foy Ouest, Laurier–René-Lévesque Ouest, Colline Parlementaire–centre-ville et Limoilou–Charlesbourg.
(…)
Voici les nouvelles dates des rencontres des comités de bon voisinage :
Secteurs
Colline Parlementaire–centre-ville, Jeudi 16 avril, 19 h, Club social Victoria, 170, rue Cardinal-Maurice-Roy
Laurier–René-Lévesque Ouest, Jeudi 23 avril, 19 h, Édifice Andrée-P.-Boucher, 1130, route de l’Église
Sainte-Foy Ouest, Lundi 27 avril, 19 h, Édifice Andrée-P.-Boucher, 1130, route de l’Église
Limoilou–Charlesbourg, Mercredi 29 avril, 19 h, Lieu à confirmer
Voir aussi : Message d'intérêt public, Projet - Tramway, Transport en commun.
(…)
Le MAMH dévoilait, en juillet 2018, un règlement permettant aux municipalités, en s’y conformant, de se soustraire au processus d’approbation référendaire en urbanisme, dans le cadre de leur politique de participation publique. Après l’analyse détaillée des modalités du règlement, la Ville constate que la mise en place d’une politique qui lui serait conforme entrainerait une augmentation des délais de traitement des demandes de modifications à la réglementation d’urbanisme et une lourdeur administrative importante pour effectuer des modifications d’urbanisme, même pour celles de nature mineure. D’ailleurs, plusieurs villes du Québec sont à élaborer une politique de participation publique. Elles ont également fait le choix de ne pas se conformer aux exigences gouvernementales pour les mêmes motifs.
(…)
Démarche consultative
Une consultation publique sur le projet de règlement, composée de séances d’information et d’audition des opinions avec possibilité de déposer un mémoire, aura lieu dans les prochaines semaines.
La date limite pour s’inscrire et déposer un mémoire est le jeudi 26 mars à 16 h.
Il sera possible d’assister aux séances sans s’être inscrit au préalable et de faire un commentaire spontané durant la période d’intervention des personnes non inscrites.
Séances d’information
Le mercredi 26 février, 19 h, Édifice Andrée-P.-Boucher, 1130, route de l’Église
Le vendredi 28 février, 13 h 30, Édifice Joseph-Ernest-Grégoire 399, rue Saint-Joseph Est
Le mardi 31 mars, 19 h, Club social Victoria, 170, rue du Cardinal-Maurice-Roy
Le jeudi 2 avril, 19 h, Édifice Andrée-P.-Boucher, 1130, route de l’Église
Le vendredi 3 avril, 13 h 30, Édifice Andrée-P.-Boucher, 1130, route de l’Église.
Le dépôt de la version finale de la politique de participation publique est prévu à l’été 2020.
Vous pouvez déposer un mémoire dès maintenant. La date limite pour vous inscrire et déposer votre mémoire est le jeudi 26 mars à 16 h.
Vous pourrez aussi assister aux séances sans être inscrit au préalable et faire un commentaire spontané durant la période d’intervention des personnes non inscrites.
Le projet de règlement. Un extrait: «38. Sans restreindre les pouvoirs du conseil de la ville prévus à l’article 69.1 de la Charte de la Ville de Québec, capitale nationale du Québec, la ville entend recourir au référendum consultatif dans les dossiers pour lesquels les autres mesures de participation publique ne permettent pas de fournir un éclairage adéquat. Le recours à cette mesure est employé pour un objet exceptionnel, sur une question intéressant plus d’un arrondissement et qui, de l’avis du conseil, est susceptible de présenter un impact économique, social, urbanistique ou architectural majeur.«
Le maire Labeaume renonce à abolir les référendums municipaux Jean-Luc Lavallée (Journal de Québec)
Voir aussi : Message d'intérêt public.
3e lien entre les centres-villes : Bonnardel appuie sur l’accélérateur. Alain Rochefort (Radio-Canada). Un extrait: « Le défi, c’est de réduire la congestion routière. On sera ailleurs avec ce projet dans les 75 prochaines années et puis [on va] amener les gens à utiliser le transport en commun ». « On veut avoir des bus qui vont passer aux 3-4 minutes. Il faut un réseau qui va fonctionner. Je n’ai pas le droit d’échouer », insiste le ministre. François Bonnardel croit que ce tunnel Québec-Lévis permettra de connecter plus facilement les réseaux de transport en commun des deux villes
Le contrat du tunnel signé en 1954!. Un extrait: La nouvelle paraît en Une de l’édition matinale du Soleil de ce 28 mai 1954. «Signature officielle du contrat pour le futur tunnel Québec-Lévis». Une lectrice m’a fait parvenir un extrait de la page. Je l’en remercie. On y raconte que la cérémonie a lieu dans les salons de la mairie de l’hôtel de ville de Québec. Elle doit marquer «le début des travaux de génie» du «tunnel Champlain» devant relier le Rond-Point de Lévis au carré Parent à Québec. Il y a dans la salle des élus dont le maire de Saint-David-de-l’Auberivière, des dignitaires et financiers ainsi que les représentants des compagnies américaines à qui on vient de confier le mandat de creuser le tunnel de 4 kilomètres.Lucien Borne est alors maire de Québec, mais c’est le pro-maire Gaston Flibotte qui signe pour la Ville. Le même Flibotte qui aura maille à partir quelques années plus tard avec les journalistes qu’il accuse en plein conseil municipal d’être des «ratés, des vendus et des homosexuels».
Plusieurs questions restent sans réponses Jean-Luc Lavallée, Stéphanie Martin, Taïeb Moalla (Journal de Québec). Un extrait: «C’est un projet qui est beaucoup plus viable que l’autre. C’est le jour et la nuit. L’autre projet avait beaucoup de risques de dépasser les coûts. Dans celui-là, les conditions du sol sont beaucoup plus faciles. Il y a moins de chances d’avoir de mauvaises surprises (…) Il y a probablement beaucoup moins d’incertitudes avec ce tracé-là», a-t-il affirmé en entrevue avec le Journal. Selon lui, la portion sous-fluviale du nouveau tracé est exclusivement «dans le roc», ce qui faciliterait les choses. «Dans l’autre tracé, la moitié du parcours était dans le roc et l’autre moitié dans le sable. Avoir un tunnelier qui fait les deux, c’est très cher et très risqué, a-t-il avancé. Dans le nouveau tracé, on sera dans le roc tout au long. C’est la même machine et la même technologie (pour creuser). C’est une technologie plus connue. Donc moins à risque.»
Un tunnel autoroutier demeure une mauvaise idée Vivre en ville. Un extrait: Vivre en Ville se réjouit de voir le gouvernement sortir du dogme d’un troisième lien à l’est, mais tient à réitérer son opposition à un projet qui demeure une mauvaise idée, pour la région et pour le Québec. Pour Christian Savard, directeur général de Vivre en Ville, « rien n’a encore permis de justifier la pertinence du projet. Cela reste une autoroute hors de prix qui contribuera à augmenter l’étalement urbain et la dépendance à l’automobile, avec tous les dommages associés. »
La députée Catherine Dorion est contre. Un extrait: Une énorme sortie de tunnel en plein milieu de ma ville avec des milliers de chars supplémentaires qui y débouchent à l’heure du trafic. Non, je ne suis pas enthousiasmée pantoute. Et c’est pas juste le monde du centre-ville qui vont en souffrir, en bruit, en gaz et en béton.
3e lien: La traverse Québec-Lévis est «là pour rester», dit Bonnardel Marc-André Gagnon (Journal de Québec). Un extrait: «Je veux rassurer les employés [de la Société des traversiers du Québec], ils n’ont pas à s’inquiéter», a répété le ministre des Transports, en marge du caucus présessionnel de la Coalition avenir Québec. «Pour moi, les traversiers sont importants pour cette portion du fleuve, a souligné M. Bonnardel. Il y a un aspect quand même aussi touristique le fun pour ceux qui l’utilisent, plus en période estivale… Alors il n’est pas question de toucher aux deux bateaux présentement [en service].» Bien que la première pelletée de terre devant donner le coup d’envoi aux travaux de construction du tunnel Québec-Lévis soit toujours prévue d’ici les élections générales de 2022, ce n’est pas de sitôt qu’il sera possible d’y circuler. «Vous comprendrez qu’on ne coupera pas le ruban du tunnel Québec-Lévis tout de suite, a dit le ministre, alors on a besoin de ces deux traverses encore un très très très très long bout de temps.»
Et finalement,une entrevue intéressante avec le ministre Bonnardel à Radio-Canada à l’émission Première heure à 07:44
Voir aussi : Message d'intérêt public, Projet - Troisième lien.
Québec, le 29 janvier 2020 – La Ville de Québec annonce la mise en place des comités de bon voisinage qui accompagneront la réalisation du projet de réseau structurant de transport en commun (RSTC). Quatre premiers comités débuteront leurs activités de relations communautaires dans les prochaines semaines et se pencheront sur les abords du tracé du futur tramway, dans les secteurs suivants :
Laurier–René-Lévesque Ouest: Mardi 18 février 2020, 19 h Centre communautaire Noël-Brûlart, 1229, avenue du Chanoine-Morel
Limoilou–Charlesbourg: Jeudi février 2020, 19 h Centre communautaire Jean-Guy Drolet, 16 rue Royal Roussillon
Colline Parlementaire–centre-ville: Lundi 24 février 2020, 19 h Club social Victoria, 170, rue Cardinal-Maurice-Roy
Sainte-Foy Ouest: Jeudi 27 février 2020, 19 h Édifice Andrée-P.-Boucher, 1130, route de l’Église
(…)
Chaque comité sera composé de 10 à 20 membres, soit :
Un représentant du Bureau de projet du RSTC;
Une dizaine de membres issus de la communauté;
Trois à six membres partenaires collaborant à la bonne exécution du projet: Un vice-président du comité exécutif; Les conseillers municipaux des districts électoraux du secteur; Un représentant du consortium (lorsqu’il aura été choisi).
Voir aussi : Message d'intérêt public, Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.
La Ville de Québec invite la population à une rencontre d’information sur le projet de réaménagement de l’avenue Maguire, entre la rue Sheppard et le chemin Saint-Louis.
Cette rencontre vise à présenter le projet de rue conviviale et à entendre les questions et commentaires des citoyens. Les mesures envisagées pour la gestion de la circulation et du stationnement pendant et après les travaux seront également abordées. La réalisation du projet est prévue au printemps-été 2021.
Lundi 10 février 2020, 19 h
Centre communautaire Noël-Brulard
1229, avenue du Chanoine-Morel
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Message d'intérêt public.
En tant qu’experts pour aider les familles à déménager, chez Movinga, nous savons que les parents et leurs enfants ont des besoins et des attentes différents de ceux des autres personnes, quand vient le moment de déménager dans une nouvelle ville. Après avoir analysé les meilleures villes pour différentes opportunités, telles que l’éducation, l’emploi, la création d’entreprise, ou pour trouver l’amour ; nous avons décidé de nous pencher sur les caractéristiques fondamentales d’une ville qui concernent les parents ou les futurs parents, lorsqu’ils cherchent à déménager. Le résultat est une nouvelle étude complète comprenant seize facteurs, qui dévoile les meilleures villes pour les familles dans le monde.
Pour cette étude, nous avons sélectionné 150 villes dans le monde, dont dix en France, qui ont pour réputation d’être des lieux propices à la vie familiale. Nous avons ensuite divisé l’étude en de nombreux facteurs répartis en trois catégories qui indiquent à quel point un endroit est favorable à la vie familiale. Ces facteurs comprennent les éléments essentiels qui influent sur la qualité de vie en ville, comme le logement, l’éducation, le taux de chômage et le coût de la vie, ainsi que la législation sur la famille, comme le nombre de jours de congés parentaux et l’inclusion des couples de même sexe.
Il était également important d’inclure l’opinion des familles qui vivent elles-mêmes dans ces villes. Nous avons donc commandé deux sondages auprès des parents de chaque endroit afin de mesurer le sentiment du public à l’égard de leur ville. Le premier sondage demandait aux parents d’indiquer ce qu’ils pensaient de la sécurité de leurs enfants dans leur quartier. Le second sondage leur demandait s’ils croyaient que leur ville était un bon endroit pour les familles en général. Enfin et surtout, nous avons examiné l’attrait et l’étendue des activités de loisirs axées sur la famille dans une ville.
L’indice final combine tous ces facteurs pour déterminer quelles sont les villes qui offrent les meilleures conditions pour élever une famille au monde.
Voir aussi : Message d'intérêt public, Québec La cité.