Source: Marc Allard Le Soleil, 2 août 2006
En cette période de grandes chaleurs, la capitale ne cuit pas de la même manière partout. Trop d’asphalte, pas assez de verdure, dans les îlots de chaleur, le mercure grimpe plus qu’ailleurs. Étrange comme certains secteurs d’une ville enregistrent des températures plus élevées, alors que d’autres ont plus de fraîcheur. Ce phénomène, étudié depuis plusieurs années par les chercheurs, n’a rien d’ésotérique.
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