Je n’ai pas cherché à savoir pourquoi on a attribué l’épithète « linéaire » à ce parc car tout ici n’est que courbes et méandres!
Je n’ai pas cherché à savoir pourquoi on a attribué l’épithète « linéaire » à ce parc car tout ici n’est que courbes et méandres!
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Sans doute le secret le mieux gardé à Saint-Augustin, ce romantique boisé longe un ruisseau paisible et nous amène à une halte inattendue face au fleuve!
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Comme le souligne le site QuébecPlus, « Le parc de la Base de plein air de Sainte-Foy est une source d’étonnement. Bien qu’il soit situé à proximité des grands axes routiers de la région de Québec, rien n’y paraît. On s’y sent en pleine nature ! Avec ses grands espaces tour à tour verts, flamboyants, puis enneigés, ce parc est l’endroit idéal pour tous ceux et celles qui aiment évoluer au rythme de la nature. Havre de tranquillité situé à 5 minutes du centre-ville, ce coin de campagne, aménagé autour de deux lacs, est un endroit privilégié pour goûter, en plein air, aux joies de chaque saison. »
Le plus grand parc naturel de la Ville (135 hectares) fait actuellement l’objet d’importants travaux d’aménagement (voir billet). À titre d’exemple, dès l’an prochain, la seule tourbière en milieu urbanisé de Québec qu’on y retrouve devrait être mise en valeur par des sentiers en bois sur pilotis (photo 2), semblables à ceux que l’on aménagera d’ici quelques années autour de la future réserve écologique de la Grande Plée Bleue (site Lévis Urbain, 6 septembre 2005), sur la rive sud.
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Ce parc est aménagé sur le promontoire du Cap Rouge, qui a vu Jacques Cartier et Jean-François de LaRocque de Roberval construire un fort. Bien qu’il fut délaissé après deux ans (1541-1543), il constituait la première tentative d’établissement français en Amérique. En fait, deux forts y auraient été aménagés: l’un sur le Cap, l’autre sur le site actuel de la charmante église de Cap-Rouge. La première « abitation » avant celle de Champlain!
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En suivant l’exemple de Serge Alain, voici donc l’un de mes parcs préférés, que j’ai découvert par hasard l’an dernier dans l’arrondissement Charlesbourg : le parc des Verveines, dont le charme repose en particulier sur ses escarpements granitiques couverts de mousse.
Ce coin de nature méconnu fait l’objet cette année de travaux de réaménagement conprenant entre autres l’ajout de sentiers en bois.
Pour les mycologues et photographes amateurs, ce site s’avère être des plus attrayants avec sa diversité de champignons qui y croissent à la fin de l’été.
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Le Parc Riverain qui longe la partie sud-ouest du Lac Saint-Augustin est un labyrinthe de sentiers agréables, aménagés avec trottoirs de bois et passages bien tapés. Tantôt fournissant des points de vues magnifiques sur le lac, tantôt laissant le promeneur dans une solitude forestière apaisante.
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Sentier de la Rivière du Cap-Rouge.
Dans cette rivière si paisible qui n’est en fait qu’un large ruisseau bordé de saules et autres essences, il est difficile de ne pas y rencontrer une Maman canard (une cane!) avec ses canetons qui la suivent à la file indienne!
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La Saint-Charles se refait une beauté pour 2008. Ou plutôt, elle retournera à l’état « sauvage ». Dans le genre, disons-le tout de suite, on aura déjà vu plus « naturel » puisque ses berges seront entièrement refaites par l’homme. Mais comparativement au carcan de béton qui enserre le cours d’eau depuis des décennies, rien ne devrait sembler trop artificiel. Petit coup d’oeil sur le futur.
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Environnement, Parc.
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