On apprend que le Domaine Cataraqui ouvre au public le 30 septembre :

Demain, 29 septembre, nous procéderons à l’inauguration officielle du domaine Cataraqui! À compter de jeudi, il sera donc ouvert au public. De belles photos à venir sur cette page!

via la page Facebook de la Commission de la capitale nationale du Québec.

Source : ian Bussières, Le Soleil, le 25 septembre 2010

Québec) Après avoir expédié à plusieurs utilisateurs des terrains de place George-V une lettre les avisant que l’endroit ne serait plus disponible pour la location jusqu’à la fin de travaux effectués sur les lieux et sur les terrains du Manège militaire, le ministère de la Défense nationale a tenu à corriger le tir hier.

«Nous débuterons bientôt les travaux de décontamination des terrains du Manège, et il est possible que place George-V soit utilisée par le sous-traitant lors des travaux», a expliqué Stéphane Boivin, porte-parole de la Défense nationale.

Cependant, contrairement à ce qui avait été indiqué dans la lettre expédiée entre autres à l’organisme Action promotion Grande Allée, place George-V ne sera pas fermée à toute activité d’ici la fin des travaux.

«Nous irons au cas par cas.

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Mauvaise nouvelle : certains événements devront être déplacés. Bonne nouvelle : ENFIN quelque chose de concret qui se passe dans ce dossier.

Le manège militaire: 2016.

* Merci à M. Léonce Naud

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Un magnifique édifice patrimonial à vendre. Comment pourrait-on le revaloriser?

Crédit photo Québec Commercial

Source : Michel Bédard, Beauport Express, le 14 septembre 2010

Après avoir assumé des coûts d’entretien, d’assurances et d’hypothèque de plus d’un million $ comme propriétaire au cours des cinq dernières années, le Centre local de développement (CLD) de Québec se voit maintenant contraint de procéder à la vente de l’ancien Couvent des Sœurs de la Congrégation Notre-Dame de Beauport. Comme cet édifice patrimonial du Vieux Bourg ne devait lui appartenir que pendant une courte période avant que la Ville de Québec en fasse l’acquisition, le CLD a décidé de se libérer de ce fardeau et de consacrer les sommes ainsi récupérées à sa mission première, soit le soutien des projets d’entrepreneurs et de développement local de son territoire.

(…)

Cette décision de mettre en vente le Couvent de Beauport et d’accorder un mandat en ce sens à un agent d’immeuble commercial de la région a été entérinée lors du conseil d’administration du 26 août. Un contrat a d’ailleurs été accordé, dès le lendemain, à André Gagnon de Québec Commercial, courtier immobilier agréé (…). Selon les informations obtenues par le BEAUPORT EXPRESS, le prix de vente a été fixé à un million $ et l’acquéreur de cet édifice érigé en 1886 devra procéder ensuite à la mise aux normes du bâtiment, laquelle a déjà été estimée à plus de 5 M $ selon l’utilisation qui en sera faite. Les bureaux administratifs, les rassemblements et les usages publics sont actuellement permis dans ce secteur précis de l’arrondissement historique.

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Le 8 septembre marque la Journée de solidarité des villes du patrimoine mondial. À cette occasion, les villes du patrimoine mondial organisent des activités pour promouvoir leur patrimoine auprès de leurs citoyens. La ville de Québec n’est pas en reste. Célébrant cette année le 25e anniversaire de l’inscription de l’arrondissement historique du Vieux-Québec sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, la Ville de Québec et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine s’associent au Musée de l’Amérique française et au Centre d’interprétation de la vie urbaine de la Ville de Québec pour offrir une programmation spéciale d’activités.

Francis Vachon et Gérald Gobeil, du forum Québec Urbain, discutent avec Matthieu des projets de développements de la ville de Québec

Finalement en ligne, voici l’émission Les [é]clectiks où Gérald Gobeil et moi avont discuté de certains projets qui pourraient changer le visage de Québec.

Cachée derrière la boulangerie Multi-Marques à Beauport sur l’avenue Royale se trouve une maison canadienne ancestrale bicentenaire à l’abandon. La maison des demoiselles de Salaberry aussi connue comme le manoir Juchereau-Duchesnay est située à même le terrain à vocation industrielle de cette usine. Elle est d’une architecture plus élaborée que la maison canadienne moyenne. Elle a un balcon couvert à l’étage supérieur et elle a une large porte d’entrée. Une très belle maison bourgeoise.

Cette maison avait été léguée aux filles du colonel Charles-Michel d’Irumberry de Salaberry. Elle est située tout près de l’ancienne maison d’enfance de Salaberry, le Manoir Salaberry détruit aux alentours de 1960.

(suite…)

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Les Fouilles archéologiques

Des fouilles archéologiques ont lieu du 5 juillet au 27 août au Parc des Braves et visent notamment à poursuivre les recherches sur le site de la maison Henry Pinguet ainsi qu’à localiser la tannerie et le moulin Dumont. Le tout se déroule sous la supervision de l’archéologue Philippe Picard.

En 1646, Henry Pinguet occupe les terres où se trouve le Parc des Braves. Jean-Baptiste Dumont (mon ancêtre…) devient propriétaire des lieux en 1741 et on y retrouve plusieurs bâtiments dont une maison, une tannerie et un moulin. Jusqu’à maintenant divers objets ont été retrouvés comme par exemple, une médaille, des fragments de poterie. Aussi, plusieurs pans de mur ont été déterrés.

La bataille de Ste-Foy 28 avril 1760

Suite a la bataille des Plaines d’Abraham le 13 septembre 1759 où l’armée anglaise (4426 combattants, 61 morts et 603 blessés au terme de l’engagement) affronta l’armée française (4400 combattants, 150 morts et 193 blessés), cette dernière menée par Vaudreuil, Bougainville et Lévis, laissa la ville dévastée aux anglais et parti en direction de Montréal pour y passer un hiver dans des conditions plus avantageuses que dans les ruines de Québec.

Vingt ans après son acquisition, la propriété de Jean-Baptiste Dumont devient l’hôte obligée d’une terrible bataille surpassant celle des plaines d’Abraham en nombre de participants. En effet, Le chevalier de Lévis, parti de Montréal à la tête de l’armée française avec ses 7161 combattants faisait face au général Murray et à une armée anglaise composée de 3369 hommes. Alors que Lévis ordonne à ses hommes de se retirer pour former un ordre de bataille, Murray charge les français en direction du Moulin Dumont. Après une rude bataille, Lévis effectue une double manoeuvre d’encerclement et rabat les ailes gauches et droites de l’armée anglaise sur leur centre. Alors que l’armée anglaise est presque totalement encerclée et fait face à sa destruction complète, elle s’échappe de justesse à l’intérieur des fortifications de Québec. Résultat: 193 morts et 640 blessés du côté français et 292 morts et 837 blessés du côté anglais. Davantage de dommages, des deux côtés, que lors de la bataille des Plaines d’Abraham.

Il va sans dire que la propriété de Jean-Baptiste Dumont fut grandement endommagée par la bataille et les ruines disparaîtront progressivement au cours des années subséquentes.

Épilogue

Le 8 septembre 1760, Vaudreuil, Lévis, Bougainville et leurs 2400 soldats restants, de nouveau retranchés à Montréal, font face à trois armées anglaises totalisant un impressionnant 11 000 hommes. Imaginez la scène… l’armée française n’a d’autre choix que de capituler devant la force du nombre. Le gouverneur de la Nouvelle-France, Vaudreuil, fut jeté à la prison de la Bastille dès son arrivée au port de Brest en 1760. Lévis poursuivi sa carière militaire, il est mort en 1787 et Bougainville est devenu célèbre grâce à ses découvertes dans le Pacifique.

Le chantier de rénovation de la maison Loyola est débuté et les travaux à réaliser seront important vu l’état des lieux. Toutefois au bout de la ligne les jeunes de la rue trouveront fort probablement un nouvel univers où ils pourront « s’accrocher ».

Au début du mois d’août, on annonçait le début des travaux.

La maison Loyola et la maison Dauphine sur Google Maps.

La maison Dauphine sur le web.

Source : Thaïs Martel, Québec Hebdo, le 15 août 2010

Dans le boisé Saint-Félix à Saint-Augustin-de-Desmaures, là où les passants ne voient bien souvent que des fragments de roches, l’archéologue préhistorien Michel Plourde et les quatre étudiants qui l’accompagnent dans le cadre du chantier-école en archéologie préhistorique de l’Université Laval découvrent de véritables trésors. Le site archéologique préhistorique, l’un des plus anciens découvert dans la région est très spécial puisqu’il ne s’agit pas d’un village, mais bien d’un atelier consacré exclusivement à la taille de la pierre.

La suite et un autre article connexe : Loin des pyramides