Joël Tremblay
L’Infobourg

Dans une ville, il y a souvent des endroits que l’on ne remarque plus et dont on oublie l’importance, jusqu’au jour où il n’est plus possible de s’y rendre. Prenez par exemple le cimetière St.Matthew qui, en raison des travaux de réfection qui y sont effectués depuis juillet dernier par la Ville de Québec, n’est plus en mesure d’accueillir les résidants et résidantes du quartier Saint-Jean-Baptiste, lesquels avaient l’habitude de venir s’y reposer.

Ce n’est d’ailleurs pas d’hier que les gens viennent s’y détendre. L’histoire du faubourg Saint-Jean-Baptiste tourne autour de ce cimetière depuis plus de 200 ans. C’est en 1771 que le gouvernement anglais a acheté des héritiers de Denys Saint-Simon un terrain, sur la rue St-Jean, pour en faire un cimetière protestant.

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Denis Lessard
La Presse

(Québec) La chicane entre Ottawa et Québec autour de la propriété des terrains avoisinant le parlement de Québec a pris un tour imprévu. Des 1997, au plus fort de l’affrontement autour de la loi sur la clarté référendaire, le gouvernement Chrétien avait offert de retourner les terrains qu’Ottawa possède devant le parlement, à Québec. Il demandait en retour que Québec cède un terrain où se trouve érigée, en partie, la terrasse Dufferin.(…) Pour le ministre Béchard, Québec était une ville fortifiée bien avant la Conquête, l’enceinte existait déjà «deux cents ans avant la création du Canada». Les cartes de l’époque indiquent qu’il se trouvait un avant-poste autour de l’endroit des fortifications actuelles alors que la véritable enceinte était, plus loin, plus proche du couvent des Ursulines, dans le Vieux-Québec. Pour le ministre Béchard, les fortifications de Parcs Canada «appartiennent d’abord aux 400 ans d’histoire de la ville de Québec».

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Toponymie et Histoire

Jean-François Racine
Journal de Québec

Le gouvernement fédéral a finalement confirmé sa participation au montant de 15 millions de dollars dans le projet de musée au monastère de l’Hôtel-Dieu.

Le mois dernier, le conseil municipal avait autorisé la Ville de Québec à injecter 6 millions de dollars sur quatre ans dans le projet Le Monastère des Augustines, Lieu de mémoire habité, héritage fabuleux de 2 000 femmes et de 370 ans d’engagement de leur part.

L’an dernier, le gouvernement du Québec avait donné son accord de principe à l’attribution de 15 M$ au projet, conditionnel à ce que le gouvernement fédéral donne aussi son accord pour un investissement à parts égales. Cette annonce remonte au 31 janvier 2008.

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Québec Urbain en en parlé

Pierre O. Nadeau
Journal de Québec

Le désolant spectacle de l’édifice laissé à l’abandon tire à sa fin, puisque l’immeuble Loyola, mieux connu comme « Le D’Auteuil », reprendra vie sous peu pour servir de prolongement à la Maison Dauphine!

La Fondation Jules-Dallaire (issue du fonds de placement immobilier Cominar) s’est portée acquéreur de l’édifice en décrépitude du Vieux-Québec. « L’immeuble n’aurait pu supporter le poids d’un autre hiver; le toit se serait effondré, ce qui aurait ajouté à la restauration déjà complexe de l’édifice patrimonial », a expliqué au Journal, hier, Michel Dallaire, président de la société Cominar, qui poursuit l’œuvre philanthropique de son père « qui avait particulièrement à cœur d’aider les jeunes ».

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La restauration du domaine

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Remis à Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) le 29 septembre 2009.

Rapport intégral final tel que soumis par l’expert-conseil du Cabinet de relations publiques NATIONAL. À noter que certaines informations qui révèlent l’identité des personnes ont été retirées afin de respecter la Loi sur la protection des renseignements personnels.

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Simon Boivin
Le Soleil

(Québec) Le Soleil a mis la main sur le très attendu rapport Baillargeon. Il découle des consultations menées par Ottawa sur la vocation à donner à l’édifice patrimonial incendié en avril 2008.

En conclusion de son rapport sur l’avenir du Manège militaire, l’expert-conseil Jean Baillargeon ignore l’option d’un retour du régiment des Voltigeurs dans son ancien quartier général.

L’expert indépendant a pondu un rapport de quelque 120 pages, en majeure partie constitué d’une dissection des résultats d’une consultation Web.

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Une consultation incomplète
Le régiment des Voltigeurs estomaqué

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Source : Jean-François Néron, Le Soleil, le 28 septembre 2009

(Québec) L’administration Labeaume se dit prête à acquérir et rénover le couvent de Beauport pour y loger des organismes communautaires. Toutefois, le gouvernement Harper devrait faire sa part.

«Sylvie Boucher (la députée de Beauport-Limoilou) s’est engagée. Qu’elle livre la marchandise.» Le maire Régis Labeaume remet donc la balle dans le camp d’Ottawa dans le dossier de la réfection du couvent des soeurs de la congrégation Notre-Dame-de-Beauport. Une affaire qui traîne en longueur.

En 2005, le Centre local de développement (CLD) achetait le couvent pour 750 000$. L’administration L’Allier devait racheter l’édifice et y loger des fonctionnaires. Une fois élue, Andrée Boucher a mis le projet sur la glace. L’an dernier, Régis Labeaume l’enterrait parce qu’il estimait la facture trop élevée pour mettre le bâtiment aux normes d’un édifice municipal.

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En lien avec ce dossier, un billet du début du mois sur notre héritage religieux

Et n’oublions pas la commission qui a pour mandat de faire un portrait de notre patrimoine religieux.

Si je ne m’abuse, ce secteur du patrimoine semble être un point sensible du maire. Tant mieux si c’est bien le cas parce que Québec a quand même des racines profondes dans ce secteur.

Source : Jean-François Racine, Journal de Québec, le 23 septembre 2009

Après avoir envisagé un déménagement pour assurer la survie de l’école, le conseil d’administration du Petit Séminaire de Québec a annoncé, mercredi, que l’institution allait demeurer dans le Vieux-Québec avec un plan d’investissement de huit millions de dollars pour les cinq prochaines années.

Le projet de revoir la mission même de l’école avait été retenu au printemps 2008. Un groupe de travail avait alors amorcé une sérieuse réflexion sur l’avenir de l’un des plus anciens établissements d’enseignement en Amérique du Nord.

Deux ans plus tôt, à l’hiver 2006, un important plan de redressement touchant toutes les dimensions de l’école était déjà en chantier. La baisse de clientèle régionale et la concurrence des autres écoles privées forçaient la nouvelle direction à agir rapidement. Deux sondages téléphoniques ont été menés par une firme spécialisée.

Les six décisions récentes, qui devraient assurer la pérennité de l’école, ont été présentées hier. « Il y a un attachement au Vieux-Québec, à notre nom et à nos édifices, explique le directeur général Réjean Lemay.

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Consultez cet article de juin 2008, et celui-ci qui parlait du changement de nom en lien avec la création d’une nouvelle entité.

Très heureux que mon « alma mater » conserve sa place d’origine. Heureux aussi d’apprendre que la « vétuste » piscine soit revampée. Heureux aussi pour le terrain de soccer/football mais je me questionne à savoir où on pourra « l’installer » ?

Un sommaire des résultats des consultations sera mis en ligne sur le présent site à la fin de l’été 2009.

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