Pierre Pelchat
Le Soleil

(Québec) La Fondation des Voltigeurs est d’accord pour retirer la scène extérieure de son projet de reconstruction du Manège militaire.

«La scène était une option pour répondre à des demandes. Si c’est rejeté par [le Bureau des] grands événements et que ce n’est pas nécessaire, on va l’enlever. On va sauver 4,5 millions $», a affirmé, vendredi, au cours d’un entretien téléphonique, le porte-parole de la Fondation, Yvan Lachance.

Par la même occasion, il appuie la suggestion du Festival d’été de construire un tunnel entre le Manège et la scène actuelle du Festival. «Au lieu d’une scène permanente, faisons donc un tunnel. C’est une excellente proposition. Nous pourrions prendre la somme prévue pour la scène et l’affecter pour le tunnel. J’espère que le comité d’étude formé par la ministre Verner en tiendra compte dans ses recommandations», a-t-il commenté.

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un peu d’histoire, ici, sur le site du département de génie géologique de l’Université Laval

autre interrogation, quelques documents parle du plan « mise en lumière » pour ce bâtiment et il ne semble rien avoir à ce sujet sur le site de la CCNQ

Source : Pierre-Olivier Fortin, Le Soleil, le 10 juin 2009

(Québec) La société Skylink, qui souhaite implanter un système de télécabines urbaines à Montréal entre le Vieux-Port et Saint-Lambert, un projet qui ne fait pas l’unanimité, a entrepris des discussions pour l’implantation d’un système similaire entre le Vieux-Québec et le Vieux-Lévis.

Des discussions qui devraient s’intensifier, d’autant plus que la société s’impatiente et demande une réponse claire de Montréal d’ici la semaine prochaine. «S’il y a un clin d’oeil des deux côtés [Québec et Lévis], et si Montréal ne prend pas de décision, ce sera facile de bouger du côté de Québec», déclare Luc Harvey, porte-parole de Skylink et ancien député conservateur de Louis-Hébert.

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belle idée à la base, mais celle-çi change beaucoup le « paysage » et je ne suis pas certain que bien des gens soient prêts à sacrifier notre « carte postale » actuelle pour un « joujou coûteux »…

on en parlait ici sur Québec Urbain avec des photos de l’intérieur

À compter de l’été 2009, le domaine Cataraqui sera l’objet d’un important chantier de restauration.

Ce projet permettra de moderniser les infrastructures afin que la villa, les dépendances et les jardins puissent accueillir des événements publics et corporatifs, ainsi qu’une antenne de l’École hôtelière de la Capitale.

Le projet comprend la restauration de la villa et la construction d’un agrandissement dans le prolongement de sa façade nord. Cet agrandissement abritera les locaux d’une cuisine moderne et fonctionnelle en relation avec les salles à manger du rez-de-chaussée, les salons de réunion de l’étage et les locaux de service pour les étudiants. Une classe sera aussi aménagée dans la maison du chauffeur. Enfin, le bâtiment atelier/grange sera transformé en bâtiment de service permettant la tenue d’activités extérieures tout en fournissant les services sanitaires pour l’ensemble du site.

La restauration extérieure des autres bâtiments situés sur le domaine (maison du chauffeur, grange, écuries, caveau, poulailler, maison du gardien et les serres) est aussi prévue. L’aménagement paysager s’échelonnera sur 2 saisons et permettra la reconstitution de plusieurs éléments du domaine dont les jardins historiques.

Les détails

Un des plus beaux monuments de Québec.

Simon Boivin
Le Soleil

(Québec) La séance publique sur l’avenir du Manège militaire n’a pas fait courir les foules, hier. Une vingtaine de curieux ont assisté à la présentation des cinq seuls projets en lice pour l’instant.

Manque de publicité? Manque d’intérêt pour un exercice sans période de questions du public? Délais trop courts? Organisation en pleine semaine sur les heures de bureau?

Quoi qu’il en soit, une fois décomptés les journalistes, les promoteurs et le personnel du comité consultatif, la salle Jean-Paul-Lemieux de l’hôtel Loews Le Concorde ne comptait que peu de citoyens «ordinaires».

Présidente du comité consultatif, Nancy Chahwan souligne qu’il n’y avait pas d’obligation ou d’avantage particulier à présenter son projet publiquement. «La journée d’aujourd’hui est une des étapes de la consultation qui se déroule sur un mois, dit-elle. Les gens vont avoir l’occasion de se manifester de plusieurs façons.»

Pour l’heure, la seule consultation de citoyens est celle sur Internet où un formulaire d’une quinzaine de questions à choix multiples peut être rempli. Ceux qui voulaient présenter leur projet devant le comité devaient le déposer pour analyse par le comité avant le 18 mai.

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Un billet précédent

Enfin ! Je soulignais dans un billet précédent ne rien trouver sur les modalités de la consultation annoncée. Je ne sais si c’est l’effet d’un courriel expédié à la firme National mais je viens d’avoir ce résultat:

Consultation publique sur l’avenir du Manège militaire de la Grande-Allée de Québec

Pour les détails (mémoire, qui rejoindre, etc), il faut aller voir dans la colonne de gauche du site.

Les Voltigeurs seront les premiers à se faire entendre, et la Ville de Québec n’interviendrait pas: Radio-Canada/Québec pour cette proposition de 90 millions

Si jamais vous savez où le tout se déroule, faites-moi signe. Un site internet ? A date, j’ai eu beau chercher, je n’ai rien trouvé.

Pierre-Olivier Fortin
Le Soleil

(Québec) Les Voltigeurs de Québec, qui paradaient hier dans le Vieux-Québec pour leur 147e fête régimentaire, emménageront bientôt dans des locaux temporaires, boulevard Pierre-Bertrand, à la suite de l’incendie du Manège militaire en avril 2008. Des consultations publiques sur son avenir débuteront demain, processus où certains membres craignent ne jouer qu’un rôle d’observateur.

Le cabinet de relations publiques National a obtenu le mandat, au coût de 100 000 $, d’organiser les consultations publiques qui se tiendront du 12 mai au 15 juin. Le public pourra déposer des projets par écrit, sinon, des journées de consultation auront lieu les 20 et 21 mai.

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Un billet précédent

François Cattapan
Le Journal de l’Habitation

La mise en lumière de l’église Notre-Dame-des-Victoires, la restauration de la maison privée Viger-Bussières, le projet VISA de la Société d’art et d’histoire de Beauport, le livre de l’historien Jean Provencher L’histoire du Vieux-Québec à travers son patrimoine, ainsi que l’oeuvre du violoniste traditionnel Jean-Marie Verret ont été retenus comme des témoins importants de l’histoire à l’occasion de la remise des Prix du patrimoine de la Ville de Québec.

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