Source : Marc-André Séguin, Le Journal de Québec, le 19 septembre 2009

François Picard, vice-président du comité exécutif de la Ville de Québec, estime que le réseau cyclable utilitaire demeure « embryonnaire ». L’homme politique a toutefois réfuté les propos de ceux qui soutiennent que la Ville néglige les vélos dans ses projets de travaux, rappelant notamment l’engagement de Québec à investir 40 millions de dollars dans le réseau pour les dix prochaines années.

« Présentement, c’est plus ou moins visible parce que nous voulons réaliser de gros travaux, comme René-Lévesque et Pierre-Bertrand et d’autres artères, affirme-t-il. On planche aussi sur des montées mécaniques sur la côte de Sillery et sous les bretelles [de l’autoroute Dufferin-Montmorency]. » Rappelons que le maire Labeaume a annoncé en mai dernier qu’il souhaitait construire une remontée mécanique à Sillery ainsi qu’une autre au centre-ville qui relierait la basse-ville à la haute-ville.

« Le remonte-pente va avancer en même temps que le projet de Robert Lepage sous les bretelles, a précisé M. Picard en référence au Diamant, ce projet de théâtre souterrain que le dramaturge envisage de bâtir sous les bretelles depuis déjà quelques années. Il faut savoir où ce projet sera situé et attaché sur la falaise avant d’aller de l’avant. »

M. Picard n’était toutefois pas en mesure de fournir un échéancier plus précis à ce projet outre celui du plan sur dix ans prévu par la Ville. Il assure cependant que le projet verra le jour. « On va le réaliser », affirme-t-il.

L’article

Reportons-nous en juin, sur Québec Urbain.

Un « épineux » dossier et je sens que la discussion sur ce sujet sera très vive…

Source : Jean-François Néron, Le Soleil, le 9 septembre 2009

Québec) La construction d’un nouveau colisée en mode partenariat public-privé (PPP) est actuellement irréalisable, soutient le maire de Québec, Régis Labeaume.

Il rejoint ainsi les propos tenus mercredi par le président de J’ai ma place, Mario Bédard, à la suite d’une rencontre que les deux hommes ont eue, mardi, avec un représentant de la multinationale Vinci, intéressée à construire un nouvel amphithéâtre dans la capitale.

«C’était une excellente rencontre. Vinci a un excellent plan d’affaires, a tenu à souligner le maire, d’entrée de jeu. Le problème est que c’est impossible de faire du PPP du moment où tu n’as pas de locataire. La seule solution serait que la Ville ou le gouvernement du Québec louent les lieux en attendant un locataire.» Une option qu’il rejette du revers de la main.

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un article assez récent sur l’éventuelle construction d’un nouveau Colisée; je comprends que ce sujet a été discuté et rediscuté sur Québec Urbain mais quand même je crois que c’est la première fois que l’on assiste à une rencontre entre les autorités de la ville et un possible « concepteur » du nouvel aréna…Tout çà pour conclure (pour le moment) que la première pelletée de terre n’est pas en vue.

Source : Jean-François Néron, Le Soleil

(Québec) L’attente achève pour les amateurs de planche à roulettes de la capitale, qui pourront exécuter dès l’an prochain leurs figures dans un skatepark digne de ce nom.

Le projet de skatepark a été présenté cet été aux représentants des skaters de la région. Ils ont été emballés, selon ce qu’a appris Le Soleil. Les propositions faites ont presque toutes été applaudies à l’unanimité. Les plans sont encore sur la planche à dessin, mais on connaît déjà l’essentiel de la forme que prendra le site, qui sera aménagé dans le parc Victoria.

Le skatepark de Québec tire son inspiration de trois autres : The Plaza at the Forks à Winnipeg, au Manitoba, Chiguacousy Skatepark à Brampton, en Ontario, et Ed Benedict Skakepark, à Portland, en Oregon. Les fans peuvent visiter le site Internet de ces parcs pour se mettre l’eau à la bouche.

Toujours selon ce qu’a appris Le Soleil, l’une des principales caractéristiques du skatepark sera l’aménagement d’une cuvette, un équipement qui s’apparente étrangement à une piscine. Elle pourrait ressembler à celle que possède The Plaza at the Forks.

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À lire aussi, ce billet.

Un très beau projet pour les jeunes.

Voilà ce qui reste et probablement qui restera du complexe des Franciscaines. Évidemment impossible pour le moment de savoir combien de temps cette structure se dressera de façon solitaire…en autant que çà ne soit aussi long qu’une autre façade tristement célèbre du même secteur. J’en profite pour vous donner ce lien qui parle de cette pratique du « façadisme » mais ici version « Montréal ». Restera aussi à voir quel sort sera réservé à la façade du couvent des Dominicains voué lui aussi à la démolition.

Lise Fournier
Le Soleil

(Québec) On s’exclame devant la beauté de la promenade Samuel-De Champlain, devant le jardin Saint-Roch ou le parc régional des Chutes-de-la-Chaudière! Mais pourquoi ces endroits nous charment-ils autant? Le plus souvent, on dit qu’ils sont beaux, verts, reposants, inspirants. Pour plusieurs, c’est comme si le paysage dévoilait sa vraie nature. (…) André Nadeau a terminé ses études au début des années 80. Quelques années plus tard, il fondait avec d’autres OPTION aménagement qui loge rue Saint-Vallier, à Québec. Pour lui, l’architecture du paysage consiste à mettre en valeur des environnements que les gens auront du plaisir à regarder et à fréquenter parce qu’ils y trouveront des repères visuels, historiques, arboricoles, fauniques et même aromatiques.

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Québec, le 13 août 2009 – La Ville de Québec est fière d’annoncer que la démarche entourant l’élaboration et l’adoption des règlements harmonisés sur l’urbanisme est maintenant terminée. En effet, le règlement sur l’harmonisation sur l’urbanisme (Règlement R.V.Q. 1400) de même que les huit règlements d’arrondissement sur l’urbanisme sont entrés en vigueur le 11 août 2009. (…)

Ces règlements remplacent les règlements sur l’urbanisme des anciennes villes et visent à introduire sur le territoire de la ville de Québec un cadre réglementaire unique. Ainsi, peu importe le secteur où vous habitez, les règles à respecter sont les mêmes lorsque vous désirez, par exemple, installer une clôture, une piscine ou un garage. (…)

Les règlements

Communiqué de la Ville de Québec

Un billet sur le début des travaux. au début mai.

La coop l’Escalier

Source : Ian Bussières, Le Soleil, le 18 jullet 2009

(Québec) C’est parce que les dirigeants de la corporation NeuroCité refusaient de reconnaître les droits de l’Université Laval en matière de formation et de recherche que l’institution d’enseignement a décidé de se retirer du projet de 250 millions $ de supercentre de recherche consacré au cerveau.

«Nous avons discuté avec les gens de NeuroCité, nous avons travaillé au dossier durant un an et demi, toujours en protégeant les intérêts de l’Université Laval. En bout de ligne cependant, le bottom line, c’est qu’on ne peut permettre au privé d’utiliser les installations de l’Université Laval», a déclaré hier le recteur Denis Brière.

«Ces gens ne connaissaient pas les rouages de l’université. Ils ne reconnaissaient pas les droits de l’Université Laval en termes de formation et de recherche. Ça prenait une autre tangente», a-t-il poursuivi, refusant cependant d’élaborer davantage sur cet aspect.

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Sur Québec Urbain on se demandait si le maire Labeaume arriverait à rassembler les intervenants de ce projet, il semble que la réponse est « non »; à lire ici.

Source : Daphnée Dion-Viens, Le Soleil, le 17 juin 2009

(Québec) Après avoir lancé un pavé dans la mare de la NeuroCité, le maire Labeaume a mis des bémols à ses propos mardi, affirmant qu’il fallait «ajouter des compétences» plutôt que de faire du ménage dans l’organisation.

Lundi soir, lors du conseil municipal, Régis Labeaume a affirmé que «ça (prenait) de très gros changements» au niveau de la «gouvernance» et de l’«organisation» de la NeuroCité, un complexe de recherche évalué à 250 millions $ qui devrait créer 2000 emplois.

Invité à préciser ses propos, le maire Labeaume a indiqué mardi qu’il ne visait pas l’équipe en place. «Toute l’équipe est compétente, mais ils sont rendus à une autre étape, a-t-il affirmé. Ce n’est pas que ceux qui sont là n’ont pas bien fait la job. Mais il va falloir qu’ils ajoutent des compétences en transfert technologique, en financement… Ça prend des gens qui ont pris une entreprise à zéro et qui l’ont amenée sur le marché.» Du moins, voilà les conditions mises sur la table pour que la Ville accepte de financer le projet, a ajouté le maire Labeaume.

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déjà ici on parlait des problèmes de ce projet

un projet pour de belles maquettes, des cocktails, et de l’impression de documents ou les pelles mécaniques et les grues pourront se faire entendre ?

Annie Morin
Le Soleil

(Québec) Ce qui est bon pour l’Ouest est bon pour l’Est. L’architecte Pierre Thibault propose d’ouvrir le secteur D’Estimauville sur le fleuve Saint-Laurent en le dotant d’une promenade Samuel-De Champlain, à laquelle se grefferaient un parc digne des plaines d’Abraham et un nouveau quartier aussi dense que vert.

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