Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 18 novembre 2008.
L’administration Labeaume demande de nouveau à ses arrondissements et à ses services de se serrer la ceinture pour équilibrer le budget de la Ville. Des «compressions récurrentes» de 2,5 % leur seront demandées pour les prochaines années afin de limiter les hausses de taxes.
Le maire de Québec a dressé hier soir un portrait de la situation financière de la Ville à quatre semaines de l’adoption du budget, comme l’y oblige la loi. Et son ton était nettement moins catastrophique que celui qu’il adoptait encore jusqu’à récemment.
Après avoir laissé planer le spectre d’une hausse majeure du compte de taxes, le maire Labeaume revient à son objectif initial de la plafonner à l’inflation. Mais pour y arriver, la Ville demande des «compressions récurrentes d’au moins 2,5 % par année dans les dépenses des arrondissements et des services». (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: Des effets «catastrophiques» sur le budget: La Ville de Québec n’est pas épargnée par la crise financière.