Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Projet – Tramway »

Québec, victime d’injustice

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 avril 2019 2 commentaires

Francis Vaille
La Presse +
11 avril 2019

Montréal accapare-t-il une trop grande part des fonds destinés aux transports en commun, comme le clame Régis Labeaume ? Ou est-ce une sortie sans fondement du maire de Québec, destinée à justifier davantage de fonds pour son projet de tramway ?

La question mérite d’être élucidée, sachant que les contribuables devront financer les 3,3 milliards de dollars du projet, s’il va de l’avant. Elle est aussi délicate, car elle s’inscrit dans le contexte où deux projets environnementalement opposés s’affrontent à Québec, soit le tramway et le troisième lien (Lévis-Québec).

Enfin, cette guerre entre Montréal et Québec implique des tractations politico-financières entre les gouvernements Legault et Trudeau, qui ne sont pas souvent sur la même longueur d’onde.

Le projet de transports collectifs de Québec englobe un tramway de 23 km et un trambus de 17 km, notamment. La Ville veut que la construction débute en 2021. Pour l’instant, il manque 800 millions de dollars pour boucler le financement de 3,3 milliards. C’est beaucoup d’argent, assez pour que le projet ne voie pas le jour.

La Ville de Québec y mettra 300 millions, tandis que le gouvernement du Québec a confirmé, dans le dernier budget, qu’il y investirait 1,8 milliard. Quant au fédéral, on lui demande d’investir
1,2 milliard, mais sa méthode de répartition des fonds destinés aux infrastructures de transports collectifs alloue seulement 412 millions à Québec. D’où le manque à gagner de près de 800 millions pour le projet.

Cette répartition fédérale est précisément ce qui fait tiquer 
le maire de Québec et même 
le gouvernement du Québec.

Ottawa s’est engagé à verser 5,2 milliards pour financer des projets de transports collectifs au Québec. Pour partager cette tarte, le fédéral a décidé d’allouer les fonds aux diverses régions en fonction de l’achalandage des sociétés de transport.

Québec aurait ainsi droit à seulement 8 % des
5,2 milliards, puisque son achalandage de
46 millions d’utilisateurs représente 8 % du total de l’achalandage québécois (578 millions d’utilisateurs).
Or, il est clair que Québec a un achalandage moins grand car il n’a pas de réseau structurant, justement. À l’inverse, grâce au métro, Montréal aurait ainsi droit à 82 % des 5,2 milliards, si l’on inclut Laval et Longueuil ! D’où l’injustice dénoncée par Régis Labeaume.

Le gouvernement Legault demande à Ottawa de lui laisser l’entière discrétion quant à la répartition des 5,2 milliards, ce que le fédéral refuse. En contrepartie, Ottawa suggère au Québec de puiser les 800 millions manquants au projet dans une autre enveloppe fédérale, celle des Infrastructures vertes, qui totalise 1,8 milliard. Ou encore d’utiliser les 500 millions additionnels versés
dans le tout récent budget fédéral au Fonds de la taxe sur l’essence pour le Québec.

Pas question, dit le gouvernement du Québec.
Cet argent est prévu pour des projets d’autres municipalités (eau potable, eaux usées, protection des berges, etc.). Plus précisément, la méthode d’allocation de ces fonds selon la nature des projets rend impossible une ponction de
800 millions pour le tramway, compte tenu
des autres projets à financer.

Bref, des négociations sont en cours entre le président du Conseil du trésor du Québec, Christian Dubé, et le ministre fédéral de l’Infrastructure, François-Philippe Champagne.
Et c’est l’impasse.

« Peut-on simplement commencer à investir plutôt que de dire qu’il n’y a pas assez d’argent ? À ce jour, nous n’avons pas encore reçu de dossiers d’affaires concernant des projets d’infrastructures vertes de la part du gouvernement du Québec […]. L’argent et les besoins sont là, on souhaite que les choses avancent », m’écrit le ministre Champagne dans un courriel.

Pendant ce temps,
Régis Labeaume trépigne d’impatience. En analysant
le dossier, vous conviendrez
qu’il y a quelque chose de frustrant dans cette mécanique politico-financière des gouvernements.

D’autant plus qu’ailleurs au Canada, comme en Ontario, le fédéral finance généralement de 33 à 50 % des projets, comparativement à une faible proportion de 12,5 % dans le cas de Québec
(412 millions sur 3,3 milliards), si l’on se fie à la répartition selon l’achalandage des 5,2 milliards
de fonds destinés aux transports en commun.

Bien sûr, la région de Montréal perdrait au
change si Québec puisait 1,2 des 5,2 milliards
de l’enveloppe. Tout de même, il resterait
4,0 milliards pour l’ensemble des autres projets, et le plus avancé à Montréal est le prolongement de la ligne bleue du métro, pour lequel le fédéral injecterait environ 1,2 milliard à même la cagnotte.

Et c’est oublier que la région de Montréal vient
de recevoir 1,3 milliard du fédéral pour la construction du Réseau express métropolitain (REM), par le truchement de la Banque de l’infrastructure du Canada.

Il n’est pas certain que Régis Labeaume obtienne la totalité des 800 millions qu’il demande. Peut-être devra-t-il diminuer un peu l’ampleur de son projet. Il n’est pas certain non plus que tout l’argent viendra de l’enveloppe de 5,2 milliards du fédéral. Peut-être une partie proviendra-t-elle de l’enveloppe verte et du Fonds pour la taxe sur l’essence.

Toujours est-il que cette chicane de répartition d’enveloppes entre les régions – probablement motivée par des motifs électoraux, notamment à la veille des élections fédérales – met inutilement en péril le projet. La capitale nationale, en forte croissance, mérite pourtant de prendre un virage moderne et écologique avec un réseau de transport mieux adapté à notre époque.

Le réseau structurant Ville de Québec

Voir aussi : Projet - Tramway.

Tramway à Québec: un financement «sans plus de délai» réclamé

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 avril 2019 3 commentaires

Jean-François Néron
Le Soleil

Le Conseil du patronat du Québec demande à Ottawa de financer «sans plus de délai» le réseau structurant de transport en commun de la Ville de Québec. L’organisme craint que l’élection fédérale de l’automne nuise à la réalisation du projet.

Dans une lettre ouverte, le CPQ joint ainsi sa voix à celles entendues récemment, de la Chambre de commerce et d’industrie de Québec et du milieu communautaire. «Notre appui à cet excellent projet, symbole de développement durable, était déjà acquis. Notre message est maintenant que le financement doit se faire sans plus de délai parce qu’on se dirige en campagne et que ça peut nuire au projet. Ça amène de l’incertitude, peu importe que ça soit le même gouvernement, au pouvoir ou pas», fait savoir le pdg du conseil, Yves-Thomas Dorval.

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Voir aussi : Projet - Tramway.

Transport structurant: l’offre d’Ottawa est «finale»

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 30 mars 2019 6 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

L’offre du fédéral pour le tramway est « finale » et c’est au gouvernement Legault de confirmer son appui pour le transport structurant exprimé en campagne électorale, tranche Ottawa.

Le ministre des Finances du Canada, Bill Morneau, était de passage à Québec, hier, pour participer à une causerie organisée par la Chambre de commerce et d’industrie de Québec (CCIQ).

Il n’a pas pu échapper aux questions sur le transport structurant, qui occupent l’actualité depuis des semaines. Une impasse persiste sur le financement de ce dernier.

Pour lui, il n’est pas question de modifier les critères de l’enveloppe sur le transport collectif, qui sont basés sur l’achalandage, et qui limitent à 400 millions $ la part de Québec.

«Les critères ont déjà été établis. On a déjà une approche qui a été considérée avec le gouvernement du Québec», a soutenu M. Morneau.

«L’offre est finale», a ajouté le député de Québec et ministre de la Famille, Jean-Yves Duclos.

Les deux politiciens ont répété que jamais autant d’argent n’a été mis sur la table pour financer le transport collectif et que le 1,2 milliard $ que demande la Ville au fédéral est disponible. « C’est vraiment une situation où le gouvernement du Québec doit décider s’il va de l’avant avec le tramway », a commenté M. Morneau, qui rappelle que la CAQ avait appuyé le projet en campagne électorale.

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Voir aussi : Projet - Tramway.

Tramway ou métro?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 mars 2019 5 commentaires

Un texte d’opinion de David Lemelin, dans le Carrefour de Québec.

Pourquoi poser la question maintenant que le projet est avancé à ce point? Est-ce qu’il y a là une ambition de faire dérailler le projet de tramway?

La question se pose. Celle que je viens de poser s’entend…

Reste qu’il est tout de même étonnant que le débat tramway/métro n’ait pas été fait préalablement, en long et en large. Pourquoi?

Sans doute, en partie, pour aller vite. Sachant les vertus du tramway et sa capacité à convenir parfaitement aux besoins de Québec, on a décidé d’avancer. Il y a, on le sait, une question de financement derrière cet empressement. Le maire l’a dit (et il a raison) : quand ça passe le train du financement, mieux vaut sauter dedans!

Texte complet

Voir aussi : Projet - Tramway, Tramway à Québec, Transport en commun.

Tramway : une trentaine de personnalités pressent les gouvernements d’agir

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 mars 2019 30 commentaires

Carl Marchand
Radio-Canada

Une trentaine de personnalités du monde des affaires de la région de Québec pressent les gouvernements fédéral et provincial de conclure une entente pour le financement du tramway.

« Selon nous, il est essentiel que la ville de Québec, comme Montréal, les deux grands pôles urbains québécois, se dote de réseaux de transports efficients, modernes et durables », écrivent-ils dans une lettre ouverte.

Parmi les signataires, on compte notamment la rectrice de l’Université Laval, Sophie D’Amours, Martine Péloquin, vice-présidente et directrice générale de la raffinerie Jean-Gaulin de Lévis d’Énergie Valéro et Jean-François Chalifour, président-directeur général de SSQ Assurance.

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La lettre et tous ses signataires

Voir aussi : Projet - Tramway.

Toujours sur le transport structurant

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 mars 2019 6 commentaires

Le chef de Québec 21, Jean-François Gosselin, s’obstine. Mercredi, comme il l’a fait périodiquement depuis plus d’un an, l’élu municipal a réclamé la tenue d’un référendum sur le projet de réseau structurant de transport en commun de la Ville de Québec. (Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil).

L’article

La Chambre de commerce et d’industrie de Québec (CCIQ) presse les gouvernements supérieurs de s’entendre sur le financement du futur réseau structurant de transport en commun. La compétitivité de la capitale serait en jeu. (Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil).

L’article

Voir aussi : Projet - Tramway, Projet - Troisième lien.

Phare et tramway: le scénario du pire

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 mars 2019 9 commentaires

François Bourque
Le Soleil

CHRONIQUE / La Ville de Québec émettra les permis de construction du Phare même si le projet de tramway devait être abandonné.

Le scénario est peu probable, vu l’état d’avancement du projet de tramway et la disponibilité de l’argent public tant à Québec qu’à Ottawa.

Malgré tout ce théâtre politique sur les modalités de financement, on voit mal comment le projet de Québec pourrait être mis de côté.

J’ai pourtant sursauté en entendant le numéro 2 de l’administration Labeaume, Rémy Normand, rappeler cette fatalité du monde municipal : une ville a l’obligation de délivrer un permis lorsque la demande respecte le zonage et que la Commission d’urbanisme est d’accord. Ce sera vrai pour le Phare comme pour tout autre projet. Tramway ou pas. La loi est ainsi faite, que celle-ci plaise ou pas.

Ce qui m’a dérouté, ce n’est pas tant ce rappel des obligations de la Ville que la désinvolture dans la façon de dire. «Le Phare est une décision privée… Il n’y a pas de lien entre le Phare et le tramway… Ce sont deux projets totalement indépendants.»

Il me semble au contraire que ce projet du Phare est éminemment public, tant par les coûts collectifs d’infrastructure qu’il commande que par son impact dans la vie et le paysage de la ville.

Les deux projets ne sont peut-être pas liés au plan légal. Mais au plan urbain, c’est une aberration d’envisager un Phare sans transport en commun structurant.

L’impact serait catastrophique sur la circulation déjà congestionnée à l’entrée de la ville. D’autant plus qu’on ignore encore comment le ministère des Transports entend réaménager les échangeurs de la tête des ponts. Et qu’on ignore aussi où et comment sera raccordé le réseau de transport de Lévis. Cela fait beaucoup d’inconnus pour émettre des permis de construction dans un secteur aussi sensible.

Aux citoyens qui se sont inquiétés ces dernières années de l’impact du Phare sur la circulation, on a toujours répondu que le tramway/SRB permettrait de limiter cet impact.

Ce n’était pas la seule mesure envisagée, mais je comprenais que celle-là constituait une sorte de contrat social pour rendre le projet plus acceptable ou moins inquiétant.

Le plus étonnant restait à venir. C’est venu cette fois du responsable des transports à la Ville. Il a rapporté que lors de réflexions internes, on s’est demandé ce qui se passerait dans l’hypothèse d’un Phare sans tramway. La réponse : «On aura probablement des réaménagements du boulevard Laurier qui vont être différents de ce qu’on connaît aujourd’hui pour essayer de se donner un peu plus de capacité automobile pour combler l’absence d’un réseau de transport structurant.»

J’espérais avoir mal entendu, mais je me trompais. C’est vraiment ce qui a été dit : on compenserait l’absence de tramway par davantage de voies d’autoroutes à l’entrée de la ville. «Pas la solution optimale», dira-t-il plus tard, mais ça passerait par plus de capacité pour l’auto. Comme si un tramway et des autoroutes étaient interchangeables. Ni M. Normand ni le DG de la Ville ne se sont opposés.

Les bras me sont tombés. Je pensais vraiment que Québec était rendue ailleurs.

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Projet - Le Phare de Québec, Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.

Réseau structurant : Lancement des appels d’offres pour le réaménagement du boulevard Hochelaga

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 mars 2019 11 commentaires

Québec, le 26 mars 2019 – La Ville de Québec lancera demain les appels d’offres pour des services professionnels (plans et devis) dans le but de réaliser le projet de réaménagement du boulevard Hochelaga. L’estimation des coûts du projet est de 65 M$.

« Les travaux de construction du Réseau structurant de transport en commun doivent débuter en 2021. Avant le début de ces travaux, la Ville de Québec entreprend dès maintenant la mise en place des mesures pour faciliter la mobilité et la fluidité, a mentionné M. Rémy Normand, vice-président du comité exécutif. La première étape d’importance est l’ajout de deux voies réservées au transport en commun sur le boulevard Hochelaga. »

Les travaux de réaménagement du boulevard Hochelaga consistent à :

Augmenter la capacité du boulevard Hochelaga de 4 à 6 voies;
Réaliser le réaménagement à l’intérieur d’une nouvelle emprise élargie, entre l’autoroute Robert-Bourassa et l’avenue De Rochebelle;
Refaire les infrastructures souterraines (aqueduc et égouts utilités publiques) et de surface ainsi que le réaménagement de la voirie;
Prévoir des trottoirs et des pistes cyclables de chaque côté.
La capacité globale sur la circulation sera augmentée de 20 %. Le corridor Laurier/Hochelaga comprend actuellement 10 voies. Il en comprendra 12 à la fin des travaux.

Les prochaines étapes du projet consistent à l’élaboration des plans et devis (2019), procéder aux acquisitions (2019), pour un début de la construction en 2020.

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Voir aussi : Projet - Tramway.

Financement du tramway: le fédéral offre 1,2 G$, Québec refuse le montage financier

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 mars 2019 23 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Le gouvernement fédéral confirme que sa contribution de 1,2 milliard $ est disponible pour boucler le projet de transport structurant de 3,3 milliards $ de la Ville de Québec, mais le gouvernement du Québec refuse toujours le montage financier d’Ottawa.

Le ministre de la Famille, Jean-Yves Duclos, a donné l’assurance de la disponibilité des sommes, lundi, en marge d’un point de presse qui s’est tenu à la résidence pour aînés Saint-Patrick, à Québec.

«Le ministre (fédéral des Infrastructures François-Philippe) Champagne a écrit au maire de Québec vendredi pour dire exactement la contribution attendue et nécessaire du gouvernement du Canada. Le montant de 1,2 milliard $ figure noir sur blanc. Les mécanismes sont là. La Ville est informée directement de l’appui du gouvernement canadien. L’étape suivante, c’est d’aller de l’avant. Parce qu’on a tous envie que ce projet continue à cheminer dans la région de Québec», a soutenu le ministre.

(…)

À Québec, Myrian Marotte, attachée de presse du président du Conseil du trésor, a indiqué «qu’il n’y a rien de nouveau» dans les propos de lundi matin de M. Duclos. «Ça représente le même montage financier proposé par le fédéral» avec lequel le gouvernement du Québec est en désaccord, a-t-elle ajouté. Selon cette dernière, «les 800 millions$ (du fond des infrastructures vertes) sont réservés pour d’autres projets».

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Voir aussi : Projet - Tramway.

Le fédéral confirme 1,2 milliard $ pour le tramway à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 mars 2019 10 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Le gouvernement fédéral confirme officiellement sa contribution de 1,2 milliard $ pour boucler le projet de transport structurant de 3,3 milliards $ de la Ville de Québec.

Le ministre de la Famille, Jean-Yves Duclos, en a donné l’assurance, lundi, en marge d’un point de presse qui s’est tenu à la résidence pour aînés Saint-Patrick, à Québec.

«Le ministre (François-Philippe) Champagne a écrit au maire de Québec vendredi pour dire exactement la contribution attendue et nécessaire du gouvernement du Canada. Le montant de 1,2 milliard $ figure noir sur blanc. Les mécanismes sont là. La Ville est informée directement de l’appui du gouvernement canadien. L’étape suivante, c’est d’aller de l’avant. Parce qu’on a tous envie que ce projet continue à cheminer dans la région de Québec», a soutenu le ministre.

Avec ces sommes, qui s’ajoutent au 1,8 milliard $ consenti par le Québec et aux 300 millions $ de la Ville de Québec, le budget du projet de transport structurant, qui compte un tramway, un trambus et des voies réservées, est entièrement bouclé.

Les fonds fédéraux proviendront donc du fonds pour les transport collectif (400 millions $) et du fonds des infrastructures vertes (800 millions $), a précisé M. Duclos, qui aurait néanmoins aimé que ces informations soient confirmées dans le dernier budget du gouvernement Legault, déposé jeudi dernier.
«Mais on ne contrôle pas le budget du gouvernement du Québec», a-t-il laissé tomber.

«On aurait aimé que ça apparaisse dans le budget du gouvernement du Québec» que les sommes sont confirmées par le gouvernement fédéral.

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Voir aussi : Projet - Tramway.