Royal LePage viens de publier une étude sur le prix des maisons au Canada. Les résultats relatifs à la Ville de Québec apparaissent aux pages 11 à 17.

Très intéressant de voir les fluctuations du marché. On y compare le dernier trimestre (Octobre-Décembre 2008) avec les prix un an auparavant. Dans certains cas, la hausse va jusqu’à 86%. Une baisse de 15% pour la copropriété de grand luxe. Mais les différences avec la région de Montréal sont notables dans plusieurs cas.

En mai 2009, la Commission de la capitale nationale du Québec et les Éditions Berger lanceront le livre Nos champions, Les arbres remarquables de la capitale, écrit par la botaniste Suzanne Hardy. Cet ouvrage porte sur les arbres remarquables du territoire de la capitale nationale.

Partout à Québec, des arbres se démarquent par leur stature, leur âge et leur esthétique qui font d’eux de dignes représentants de leur espèce.

D’où viennent-ils, que sont-ils, qui les a plantés, par quelles mystérieuses circonstances sont-ils non seulement encore debout, mais dans des proportions parfaites? Découvrez-les grâce à cet ouvrage richement illustré.

La passion des arbres

Ces arbres majestueux sont la passion de Suzanne Hardy depuis toujours. Elle n’a de cesse de mettre en valeur ce patrimoine exceptionnel par des conférences et des entrevues partout au Québec.

Commission de la Capitale Nationale

Ce site de l’Unesco trouvé dans cet hyperlien de la fondation Getty

Cette année encore, vous êtes invités à voter pour votre projet coup de cœur en architecture, réalisé au Québec. En plus, vous courrez la chance de gagner un forfait au Manoir Richelieu d’une valeur de 1300$.

Et merci encore pour votre fidélité à mon égard sur Québec Urbain!

Bienvenue dans votre nouveau blog MonLimoilou.com! (Source: Arnaud Bertrand, monlimoilou.com, 3 mars 2009)

(…) Géographe de formation, fort d’une expérience acquise dans différents médias communautaires (dont CKRL), Jean [Cazes] suivra l’actualité urbaine limouloise au quotidien, mais explorera aussi la richesse architecturale et le caractère commercial, culturel et social uniques à ce secteur de la basse-ville de Québec. Pour son plaisir comme pour le vôtre!

Nous vous invitons à parcourir la quarantaine de billets déjà en ligne. Au gré des semaines, des chroniqueurs se joindront à l’équipe pour communiquer leur passion de l’histoire, du patrimoine et de la vie de quartier de leur coin d’adoption. De belles surprises en perspective! (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Après plus de 2100 billets dans Québec Urbain….

Une mine d’informations sur l’habitation

Dans la suite de ce billet, un communiqué de la Ville de Québec nous indique que « les gens de Québec ont été nombreux à se déplacer pour se procurer le livre Québec, ma ville, mon 400e, puisque 36 000 exemplaires se sont envolés en moins de deux semaines.

Le livre souvenir du 400e anniversaire a été lancé le 10 février dernier. La demande s’est immédiatement fait sentir au comptoir des 25 bibliothèques municipales et du Service du greffe situé à l’hôtel de ville.

L’ouvrage de 160 pages est proposé au coût exceptionnel de 3 $, taxe incluse. »

Source: Communiqué de la Ville de Québec 23 février 2009

Le sujet a fait l’objet de la chronique de Réjean Lemoine, ce matin: il s’agit de la coopérative l’Escalier (80 logements) où sera notamment aménagé une rue piétonnière! Ces logements devraient voir le jour dans quelques mois.

Les images ci-contre sont tirées du site LAFOND CÔTÉ ARCHITECTES; une belle trouvaille sur le Web!

Un point final à un (autre) dossier qui soulève (aussi) des passions depuis au moins trois décennies?

À consulter, entre autres billets: COOPÉRATIVE DE L’ILOT-BERTHELOT: De guerre lasse, la mairesse accepte de céder des terrains.

Triste disparition de l’un de mes intellectuels préférés dont je me régalais des interventions constructives et réfléchies à une certaine époque. M. Arcand était le genre de personnages qui rehaussent la qualité de la radio, un média qui en a malheureusement pris pour son rhume, ces dernières années, mis à part peut-être Radio-Canada et certaines stations communautaires. En passant: un bolo bien personnel et solidairement militant à un certain Sylvain Bouchard!

À l’occasion du décès de l’anthropologue Bernard Arcand, de l’Université Laval, Le Soleil a choisi de lui rendre hommage en publiant un extrait de l’un de ses ouvrages les plus médiatisés Abolissons l’hiver! édité en 1999 chez Boréal.) «Il n’y a plus d’hiver.» La phrase surgit généralement de la bouche d’un vieux grognon qui aimerait nous convaincre que les temps étaient plus durs autrefois.

(…) Autrefois, l’hiver était une évidence. La plupart des gens vivaient à la campagne où les champs sont blancs et immenses. L’hiver domine la campagne. Mais, depuis 100 ans, celle-ci s’est rapidement vidée et, déjà en 1910, plus de la moitié de la population habitait en ville. Depuis, la tendance se maintient, et la ville n’a jamais cessé de grossir. Or, en ville, il y a partout des maisons, des rues et des trottoirs, quelques arbres, et plusieurs milliers d’automobiles. Il n’y a pas de place en ville pour la neige.

En fait, la ville déteste la neige et la traite comme une souillure. Il faut la balayer et la jeter aux ordures, la transporter vers le dépotoir, la lancer dans le fleuve ou la faire fondre rapidement.

Dès l’instant qu’elle tombe en ville, la neige est usée. Une nuisance. Les équipes de déneigement sont payées aux mêmes tarifs que les éboueurs. Et si les urbains veulent voir l’hiver, il leur faut faire un tour à la campagne en fin de semaine. (…)

La suite. Aussi, entre autres billets: Déneigement des trottoirs: les Québécois, des privilégiés!.

« Un bateau propulsé par l’énergie des vagues, un autre à coque indestructible, un chemin de fer reliant l’arrière-pays, le pont de Québec et celui de l’île d’Orléans imaginés respectivement 10 et 40 ans avant leur réalisation… chez les auteurs de Québec débordait d’imagination entre 1880 et 1920! Science-fiction ou non, la crise qui sévissait alors dans la Capitale a délié les plumes et les imaginaires. Pour s’en sortir, plusieurs auteurs ont imaginé des inventions au service de la communauté. » (…)
« En 1885, pendant la construction du Manège militaire, qui a été détruit le 4 avril dernier, Charles Baillairgé avait suggéré l’utilisation d’une charpente de fer et non pas de bois pour le toit, «pour faire une toiture indestructible», écrivait-il. » (…)

La suite