Source : Le Soleil, le 22 janvier 2011

(Québec) Les patineurs expérimentés s’en rappellent encore. Quelques coups de lames sur la rivière Saint-Charles, lieu enchanteur pour les patineurs urbains dans les années 70. Le Carnaval de Québec y a même tenu plusieurs activités officielles. La Ville de Québec n’a toutefois pas l’intention d’autoriser de nouveau la glisse sur sa rivière urbaine.

«Les gens s’en rappellent, mais ça a été abandonné pour de nombreuses raisons, dont la sécurité», rappelle Gérome Deschamps, président de la Société de la rivière Saint-Charles. L’association gère le sentier glacé aménagé près de la rivière, un attrait qui attire environ 100 000 personnes par hiver. «Les gens sont très contents de l’aménagement du sentier de la Pointe-aux-Lièvres. C’est sûr que ce n’est pas la rivière, mais avec les hivers plus courts que l’on connaît et la qualité de la glace inégale, je ne suis pas sûr que ce serait intéressant de faire un retour sur la Saint-Charles.»

Québec a déjà rêvé d’imiter avec la rivière Saint-Charles le succès du canal Rideau à Ottawa. Dans la capitale fédérale, le cours d’eau gelé de 7,8 km est devenu une attraction touristique incontournable par temps froid. «Ici, nous n’avons pas de contrôle sur le niveau d’eau, contrairement au canal Rideau», nuance M. Deschamps. «Ça n’empêche pas qu’il pourrait y avoir des activités ponctuelles sur la Saint-Charles.»

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Sortirez-vous vos patins aujourd’hui et demain ?

Ajout :
Merci à M. Léonce Naud pour cette photo

Marie-Claude Lortie
La Presse

À Manhattan, si vous avez un petit creux en sortant d’une boîte ou d’un concert, pas besoin de marcher longtemps pour trouver un vendeur ambulant de riz et de brochettes ou même de burritos mexicano-coréens ou de chocolat chaud à la cardamome.

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Samuel Auger
Le Soleil

(Québec) Le maire de Chicago, Richard Daley, quittera bientôt l’hôtel de ville après un règne de 21 ans à la tête de la troisième ville en importance aux États-Unis. Le chef de file en développement durable laisse derrière lui une ville transformée, où les plaies de l’étalement urbain ont été adoucies par des investissements massifs dans les parcs et les espaces verts. Retour sur une métamorphose urbaine à grande échelle. (…) Son conseil de prédilection pour protéger les ressources naturelles? Bâtissez des gratte-ciel! «Ce qui est intéressant, c’est que la construction en hauteur avec des gratte-ciel, ça protège les espaces verts plus que n’importe quoi. Un gratte-ciel bâti avec des contraintes environnementales, ça protège l’environnement. Parce que tu ne dois jamais permettre l’étalement urbain et laisser détruire tes terres agricoles. Nous, on a réussi à limiter notre étalement urbain.

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Source : Radio-Canada, le 9 décembre 2010

Le carrousel dont rêve le maire de Québec pour sa ville depuis qu’il a visité Bordeaux est presque entièrement construit.

Identique à celui de la ville française, il compte deux étages et une douzaine de chevaux de bois pour les enfants.

L’appareil fonctionnera toute l’année. Pour le protéger de la neige, une structure semblable à celle du carrousel de Disney, à Paris, sera conçue. « Il suffit d’y mettre une structure dessus avec un décor de carrousel, comme si c’était un hangar, mais un beau hangar », explique le concepteur du projet, Jean-Marie Malaval.

Deux sites potentiels ont été retenus pour l’installer, soit l’Espace 400e et la Place d’Youville. Le concepteur ne cache pas sa préférence pour la Place d’Youville.

Jean-Marie Malaval doit revenir à Québec durant le Carnaval en février. C’est à ce moment que l’emplacement du carrousel devrait se préciser.

Si tout se passe comme prévu, le carrousel devrait être installé à Québec au plus tard en 2012.

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L’instigateur du projet du carrousel visite Québec.

Petit sondage : place d’Youville ou Espace 400e ?

Source : Annie Morin, Le Soleil, 17 novembre 2010

Le regroupement Valorisons SMA ne lâche pas le morceau. Il demande à la Ville de Québec de prendre le tiers des terres acquises aux Soeurs de la charité, à Beauport, pour aménager un immense jardin communautaire et sortir le ruisseau du Moulin de sa prison de béton.

(…) Ce musée vivant occuperait le tiers sud des terres acquises aux Soeurs de la charité. L’entrée principale donnerait sur le boulevard D’Estimauville, mais les espaces verts seraient concentrés le long du ruisseau du Moulin et de la rue Loyola.

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Site du groupe Valorisons SMA : Pour voir les détails du projet. Les citoyens sont aussi invités à y signer une pétition.

Précédemment :
Ferme SMA: La Ville de Québec achète le terrain
OK final pour le parc technologique

Source : Philippe Doucet, Le Figaro, le 9 novembre 2010

Un véhicule d’un mètre cinquante qui se gare, voire se conduit tout seul : un constructeur américain esquisse en Chine le futur de la mobilité urbaine.

Le futur a parfois l’image que l’on imagine. Philip K. Dick n’aurait pas désavoué l’EN-V que nous avons essayé il y a quelques jours en Chine, tellement ce microvéhicule urbain semble tout droit échappé de l’un de ses romans, Blade Runner, Minority Report ou peut-être, plus encore, Total Recall. Première surprise, l’EN-V ne possède que deux roues: sa stabilité est assurée par des gyroscopes, à la façon d’un Segway. Sa longueur ne dépasse pas 1,50 m, soit moins que sa hauteur (1,77 m). Deux personnes peuvent seulement embarquer à son bord.

Deuxième surprise, cette nouvelle arme antibouchon vient de là où on ne l’attendait pas: de Chine, et non d’un laboratoire de recherche occidental. Mais, autre étonnement, c’est un constructeur américain, GM, plutôt réputé pour ses grosses voitures, qui en est le maître d’œuvre. À bien y regarder, cela n’a rien d’étonnant. Car les chiffres parlent de manière identique de part et d’autre du Pacifique.

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L\'EN-V, microvéhicule urbain (sur Youtube)

L\'intérieur de l\'EN-V (sur Youtube)

Une solution pour le Vieux-Québec ?

Source : Isabelle Chabot, Journal Québec Hebdo

On en retrouve souvent dans les anciens quartiers ouvriers des villes. Elles sont souvent décorées de cordes à linge supportant les vêtements de multiples couleurs, l’été. Milieu de vie des chats errants, elles demeurent d’une utilité importante pour les locataires et les propriétaires automobilistes habitant les immeubles adjacents. Quelques unes d’entre elles ont d’ailleurs subi une cure de jeunesse grâce à l’asphaltage ou à l’ajout d’une couche de verdure. La réponse : les ruelles.

Deux programmes de revitalisation ont été mis sur pied à la ville de Québec afin d’offrir l’opportunité aux propriétaires des quartiers Montcalm et Limoilou de revamper leur ruelle. Les projets, bien différents, proposent une aide financière et un soutien lors de la construction du dossier de candidature.

Des ruelles transformées : vous pouvez lire l’article complet à la page 3 de l’édition électronique du 31 octobre du journal Québec Hebdo.

Le programme de revitalisation des ruelles de l’arrondissement La Cité-Limoilou
Le programme de revitalisation des ruelles du Vieux-Limoilou.
Guide conçu par le conseil de quartier du Vieux-Limoilou pour tout savoir sur le démarrage d’un projet de revitalisation d’une ruelle.

Source : Isabelle Mathieu, Le Soleil, 2 novembre 2010

Le projet du YMCA d’ouvrir un centre communautaire et sportif, à l’angle des rues du Pont et Prince-Édouard, améliorera la qualité de vie des gens du quartier, estime la Ville.
L’organisme, qui a toujours des bureaux dans Saint-Roch après la fermeture de son bâtiment en Haute-Ville il y a quelques années, souhaite construire un édifice sur les lieux de l’actuel petit centre de loisirs du parc de la jeunesse. Ce bâtiment pourrait offrir une piscine, des gymnases et divers locaux d’activités aux résidants et aux travailleurs du centre-ville.

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Aussi : YMCA : St-Roch comme destination ?

Lise Fournier
Le Soleil

(Québec) Les toits verts sont-ils une tendance passagère ou vont-ils vraiment s’implanter?

D’abord, le phénomène de toitures jardins s’observe surtout dans les centres-villes, là où la qualité de l’air, la rareté des espaces verts, l’intensité du bruit et la surchauffe estivale sont problématiques. Or, les toitures végétalisées, dont on ne parlait presque pas il y a une dizaine d’années, font maintenant partie du paysage urbain.

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* La référence en ce domaine: Les Urbainculteurs de Québec

Le 2e Colloque sur l’innovation, ayant pour thème Architecture et densification urbaine, aura lieu le jeudi 2 décembre 2010, au Palais Montcalm.

Ce colloque vise à promouvoir l’innovation en matière d’architecture auprès des architectes, des promoteurs, des entrepreneurs et autres. (…) À compter du 1er novembre, venez découvrir des exemples de densification à travers le monde et votez pour votre préféré!

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Le formulaire d’inscription (Frais d’inscription incluant le dîner: $50. Payable par chèque uniquement)

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