Voir aussi : 0 - Contenu original, Arbres, Arrondissement La Cité-Limoilou, Institutionnel, Nouvel urbanisme, Parc, Qualité et milieu de vie.
Québec, le 2 novembre 2022 – La Ville de Québec et l’Université Laval présentent aujourd’hui les fruits de la première phase de plantation de près de 400 arbres effectuée en amont de l’insertion du tramway sur le campus. Une amorce concluante qui jette les bases des efforts de verdissement de la cité universitaire et du quartier.
« Il s’agit d’une première étape dans les objectifs de verdissement que la ville s’est fixée. C’est près de 400 arbres qui viendront enrichir la diversité forestière du campus et qui permettront à l’ensemble des citoyennes et des citoyens de profiter d’une meilleure qualité de vie, indique Mme Maude Mercier Larouche, membre du comité exécutif et élue responsable des relations avec les citoyens dans le dossier du tramway. Plus d’arbres sur le campus, c’est aussi plus d’arbres en ville. Nous pouvons être fiers de ces premiers résultats et de pouvoir compter sur l’expertise de l’Université Laval! »
Plus d’arbres sur le campus universitaire
La plantation de 394 nouveaux arbres sur le campus au cours des dernières semaines n’est que le début. À terme, une plantation de 1 200 arbres d’alignement sera effectuée par la Ville sur le campus de l’université afin de remplacer les 330 qui devront être abattus. Ces efforts de plantation contribueront à faire croître l’indice de canopée sur le campus de l’Université Laval de même qu’à l’atteinte du ratio municipal de 20 arbres plantés pour chaque arbre abattu dans le quartier qui englobe le campus.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Conférences / évènements, Environnement, Projet - Tramway, Qualité et milieu de vie.
Québec, le 25 octobre – La première phase du chantier de réaménagement de la place de l’Hôtel-de-Ville tire à sa fin. Dès le lundi 31 octobre, l’entrepreneur démobilisera ses équipes et rouvrira la côte de la Fabrique et la rue des Jardins du chantier à la circulation automobile, cycliste et piétonne. La rue Sainte-Famille, quant à elle, sera rouverte le 24 novembre.
Le cœur de la place de l’Hôtel-de-Ville demeurera toutefois clôturé afin de protéger les installations toujours en travaux. Rappelons que la première phase des travaux s’est déployée dans la place centrale ainsi que dans la côte de la Fabrique et les rues des Jardins et Sainte-Famille.
La seconde phase des travaux débutera au printemps 2023 pour une durée d’environ six mois. Cette phase se déroulera dans la place centrale et la rue De Buade.
Le chantier de réaménagement de la place de l’Hôtel-de-Ville comprend notamment la réfection des infrastructures souterraines, le réaménagement de la géométrie des rues et de la place centrale. Elle vise également la restauration du monument Taschereau, relocalisé dans la place centrale afin d’offrir plus d’espace aux événements, aux citoyens et aux visiteurs.
Un chantier innovant pour les arbres
Afin de permettre la longévité et de favoriser la croissance des nouveaux arbres qui seront plantés dans le site, la Ville a fait appel à la technologie innovante Sylva Cell, qui consiste en un système modulaire contenant des volumes de terreau peu compacté autour des fosses à plantation. Ce sont 12 nouveaux arbres qui seront plantés avec cette technologie dans les rues avoisinantes.
À ces arbres, s’ajoutent cinq arbres qui ont pu être protégés, portant à 17 le nombre total d’arbres dans la place de l’Hôtel-de-Ville une fois les travaux complétés. Il s’agit d’un gain de cinq arbres pour le secteur.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement La Cité-Limoilou, Art urbain, Environnement, Institutionnel, Patrimoine et lieux historiques, Qualité et milieu de vie, Tourisme, Urbanisme.
La disneyfication du Vieux-Québec est un thème récurant depuis 20 ans. Le Devoir saupoudre son grain de sel sur le sujet ce matin.
Embouteillages, amuseurs publics bruyants, afflux de navires de croisières… Le Vieux-Québec n’est pas de tout repos pour ses résidents. Nombre d’entre eux se plaignent et quittent le quartier d’année en année, car ils ont l’impression que l’on favorise le tourisme plutôt que leur qualité de vie.
Parmi les pistes de solution, on parle de piétonisation
Selon elle, la priorité de la nouvelle administration doit être la piétonnisation des rues et la mobilité. « Grâce à sa petite taille et à sa densité, notre quartier s’y prête parfaitement, d’autant plus que, dans certaines rues, les trottoirs sont tout simplement trop étroits », estime la conseillère.
Sur Le Devoir: Retrouver la qualité de vie» du Vieux-Québec.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement La Cité - Haute-ville, Qualité et milieu de vie.
De toute évidence, plus de gens pourront profiter du jardin communautaire de la Cité Verte et ce probablement dès le printemps prochain car les travaux sont avancés pour la nouvelle partie jouxtant le cottage Ross.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Écoquartier, Qualité et milieu de vie.
Depuis le milieu du XIXe siècle, les métropoles nord-américaines s’imposent comme l’incarnation d’une modernité urbaine triomphante. De Montréal à La Nouvelle-Orléans, le développement des transports en commun donne naissance à des quartiers bourgeois prestigieux, mais aussi à des quartiers chauds. De Toronto à New York, experts, architectes et politiciens tentent de faire sens du chaos urbain pour enrichir la ville et la sauver d’elle-même. De Vancouver à Chicago, parcs, boulevards et gratte-ciel sont construits et aménagés pour célébrer la grandeur des cités. Et dans l’ombre de chacune d’entre elles, il y a ceux et celles qui luttent contre les inégalités qui s’y accentuent et y persistent.
Table des matières
Histoire des villes nord-américaines 1
Introduction 7
Le tramway et la fin de la ville piétonne 13
Les quartiers de la grande bourgeoisie: le cas du Golden Square Mile à Montréal 31
Les red-light districts, quartiers du vice 51
Le mouvement City Beautiful ou le rêve d’une ville belle 69
Les grands parcs surbains: de Central Park au parc du Mont-Royal 89
L’invention du gratte-ciel, cathédrale du Nouveau Monde 107
Le redlining et la persistance des inégalités raciales aux États-Unis 133
Jane Jacobs, urbaniste de terrain 151
Dans la même collection 171
Table des matières 173Auteur: Harold Bérubé.
Harold Bérubé est professeur titulaire au Département d’histoire de l’Université de Sherbrooke ainsi que membre du réseau VRM et du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal. Il consacre ses recherches actuelles à la façon dont est pensée et gouvernée la ville au Québec au XXe siècle.
Aux éditions du Septentrion 14,95$ Papier 6,99$ PDF 6,99$ EPUB
Voir aussi : Architecture urbaine, Étalement urbain, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs, Urbanisme.
Source : Marc-André Gagnon, Journal de Québec, le 14 septembre 2021
Après s’être opposé au dézonage des terres des Sœurs de la Charité à Québec, il y a deux ans, le gouvernement Legault a déposé une offre d’achat formelle pour y développer un parc d’innovation agricole, a appris Le Journal.
Si la congrégation religieuse accepte cette proposition déposée jeudi — elle dispose de 21 jours pour le faire — le gouvernement du Québec deviendra l’unique propriétaire des 211 hectares de terres agricoles enclavées au cœur de l’arrondissement Beauport. Selon nos informations, le ministère de l’Agriculture souhaite s’inspirer de l’Espagne (Sabadell) et du Vermont (Intervale Center) pour y implanter un « agro-parc » axé sur l’autonomie alimentaire, l’enseignement, la recherche et la préservation de l’héritage historique des lieux.
Bien qu’il ait été impossible de connaître la valeur précise de l’offre, notre Bureau parlementaire a appris qu’elle correspondrait essentiellement à l’évaluation municipale.
La valeur foncière de ces terres anciennes frôlait les 30 millions $ lorsqu’elles ont été rétrocédées en décembre dernier aux Sœurs de la Charité, après l’abandon du projet de « mini-ville » de 6500 unités résidentielles, qui était porté par le promoteur Michel Dallaire, avec l’appui de l’administration Labeaume.
La réalisation de ce projet controversé, sur la table à dessin depuis 2014, passait d’abord par une modification à la vocation agricole des terres, ce que le gouvernement a toujours refusé, deux fois plutôt qu’une, au grand dam de Régis Labeaume.
Voir aussi : Arrondissement Beauport, Étalement urbain, Environnement, Nouvel urbanisme, Parc, Patrimoine et lieux historiques, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs.
Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 6 juin 2021
À la Pointe-aux-Lièvres de Québec, la tortue est sortie victorieuse d’un concours de noms.
Voilà qui exige des explications! La Ville de Québec entend inaugurer cet été le pavillon ainsi que la passerelle cyclopiétonne du parc de la Pointe-aux-Lièvres. Mais les deux structures nouvellement construites pour environ 11 millions $ n’ont pas de nom. Avant leur inauguration, il fallait les baptiser.Le Comité de toponymie de la Ville s’est donc creusé les méninges. Du côté du bâtiment d’accueil, la réflexion semble avoir été rapide, une seule dénomination ayant été proposée. Mais la délibération a été plus intense pour le petit pont permettant d’enjamber la Saint-Charles vers le Vieux-Limoilou…
Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Écoquartier, Qualité et milieu de vie.
Source : Alexandre Duval, Radio-Canada, le 2 juin 2021
La rivière Saint-Charles fera bientôt l’objet de travaux de végétalisation dans le secteur de la marina Saint-Roch. Ce ne sont toutefois pas les berges, mais plutôt le fond du cours d’eau qui deviendra plus vert, dans le but d’offrir un milieu de vie plus hospitalier pour les poissons, entre autres. Lorsque le niveau de l’eau est bas et que vous vous promenez le long de la Saint-Charles, en été, il est presque impossible de manquer les accumulations de sédiments qui se sont créées à différents endroits, dans le bas bassin de la rivière.
Ces îlots sableux» se sont formés au fil du temps, résultat de particules en suspension dans l’eau qui n’ont pas pu s’écouler jusqu’au fleuve Saint-Laurent.
Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.
Source : Stéphanie Martin, Le Journal de Québec, le 4 février 2021
Les gens de Québec devront réduire considérablement leur vitesse en voiture cette année : la grande majorité des rues passeront à 30 km/h, alors que la plupart sont en ce moment à 50 km/h. Un «changement majeur», selon le maire, qui assure que les citoyens sont prêts.
Actuellement, 81 % des rues de la capitale sont limitées à 50 km/h. Cette proportion sera grandement réduite d’ici la fin de l’année. Avec l’implantation de la Stratégie de sécurité routière, d’ici en décembre, seulement 25 % des rues permettront une vitesse maximale de 50 km/h.
Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Transport.