Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Qualité et milieu de vie Â»

L’école Saint-Louis-de-Gonzague achetée par l’Académie Saint-Louis

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 août 2008 91 commentaires

Fondée par les Soeurs de la Charité de Québec en 1899, l’école primaire pour garçons Saint-Louis-de-Gonzague était à la recherche d’un acquéreur depuis déjà quelques années afin d’assurer sa survie. Le Soleil, Jocelyn Bernier.

Une autre institution du « Vieux » qui va s’établir dans un « champ de patates »…

Bon, je radote encore! L’âge, mon manque de réalisme, sans doute… ;-)

Source: Daphnée Dion-Viens, Le Soleil, 13 août 2008.

(…) Une institution centenaire quitte les murs du Vieux-Québec. Achetée par l’Académie Saint-Louis, l’école Saint-Louis-de-Gonzague fermera ses portes en 2010 pour renaître à Lebourgneuf. (…)

Après plusieurs discussions, c’est finalement l’Académie Saint-Louis qui se porte acquéreur de l’établissement. Cette école privée secondaire, située dans le secteur Les Méandres du quartier Lebourgneuf, élargit ainsi sa clientèle en y ajoutant des élèves de niveau préscolaire et primaire. (…)

«On trouvait important de positionner l’école dans un quartier en développement où il y a de la demande pour une école primaire», a indiqué Jocelyn Lee, président du conseil de l’Académie Saint-Louis. (…)

Reste à savoir ce qu’il adviendra de l’édifice de la rue Richelieu, après 2010. Les Soeurs de la Charité sont à la recherche d’un acquéreur. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Le Vieux-Québec se vide-t-il de ses bars?.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Arrondissement Les Rivières, Étalement urbain, Qualité et milieu de vie.

Et pourquoi pas Choupette?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 août 2008 14 commentaires

Louise Bilodeau, collaboration spéciale.

Exceptionnellement, voici l’article au complet, non disponible sur la Toile.

Source: Antoine Robitaille, Le Devoir, 9 et 10 août 2008.

Québec – Parfois, on a l’impression qu’il a tout le monde contre lui, l’Écolobus, touchant petit véhicule tout électrique, en fonction depuis la mi-juin à Québec. À commencer par les chauffeurs de taxis, ces sympathiques maîtres râleurs, qui le trouvent trop… gratuit. Il y a aussi les amoureux des moteurs virils qui font vroum vroum. Narquois, ils s’amusent de ses ratés. Et ce journaliste ex-«lockouté» de Beauport, le collègue et ami Michel Hébert, star du défunt MédiaMatin Québec, de retour prochainement au Journal de Québec. Michel trouve que ça ne sert à rien, «un Écolobus dans le Disneyland-à-t-shirts du Vieux-Québec quand, à trois ou quatre kilomètres de là, la même ville, les mêmes gestionnaires du territoire, les mêmes forts en thème désorganisent la circulation et provoquent des embouteillages!», a-t-il écrit, pamphlétaire, sur son blogue (hbertenfeu.blogspot.com).

«Et pourtant», chanterait Aznavour. Il est tellement sympathique, l’Écolobus. Et d’ailleurs, il remporte un vif succès. «Tout le monde veut ‘la’ prendre!» (un autobus, c’est féminin dans la Vieille Capitale) lançait jeudi son incroyable chauffeur Jocelyn Gauvin. L’Écolobus est court, on pourrait dire trapu; 23 personnes au maximum peuvent y pénétrer. «Quel surnom on peut lui donner?, demande Jocelyn Gauvin. Je les collectionne. Parfois je l’appelle la papemobile», dit-il en rigolant affectueusement.

Lent, l’Écolobus ne dépasse pas les 33 kilomètres-heure. À cette vitesse, les mouches ne s’écrasent pas sur le pare-brise, mais nous doublent sans doute. Dans le Vieux-Québec, il faut le dire, il y a pire tortue: les calèches, que l’Écolobus contourne allègrement. Et pourquoi irait-on plus vite dans ces vieilles pierres, surtout à cette époque d’insécurité routière?

Les fluctuations du prix de l’essence? L’Écolobus s’en fout. Il consomme un gros 3,25 $ d’électricité par jour, accumulés pendant huit heures, nuitamment. Tout ce qu’il émet? Un bzzzzzzz futuriste. Aucun gaz à effet de serre, évidemment. À lui seul, il donne un avant-goût de ce que seraient les villes si, un jour, les maudits moteurs à explosion étaient mis en minorité. Que des bzzzzzzz discrets. Plus de tuyau d’échappement et de métaux lourds dans notre sang. Bon, à l’intérieur, c’est un peu bruyant quand se déclenche le ventilateur servant à refroidir le moteur (il démarre quand le celui-ci atteint les 62 degrés). «Il y aurait un petit travail d’isolation acoustique à faire», faisait d’ailleurs remarquer Yvan Dutil, candidat Vert dans Jean-Talon, sur le site de QuébecUrbain.qc.ca.

«Elle» est belle!

N’empêche, Jocelyn Gauvin, chauffeur au Réseau de transport de la Capitale (RTC) depuis «25 ans minimum», semble s’être carrément épris de ce véhicule de marque italienne, tant il s’anime lorsqu’il en parle. « »Elle » est belle! Regarde comme ‘elle’ a un beau klaxon!» Et le voilà qui multiplie les «pouet, pouet» en envoyant la main aux passants sous la pluie de cet été 2008. «On dirait le klaxon de Choupette», en référence à la célèbre Coccinelle Volkswagen des films de Disney.

Quand les gens lui demandent s’ils risquent de tomber en panne, M. Gauvin sort son carton de piles alcalines AA et répond à la blague «J’ai ma batterie de rechange!» Il est vrai que lorsque le moteur atteint une température donnée, 65 degrés, «tout arrête». C’est même survenu à quelques reprises depuis le début de l’été, dans les côtes abruptes du Vieux-Québec, alors que plus de 23 personnes s’étaient entassées dans le petit bus. La solution: faire descendre quelques volontaires et laisser refroidir le moteur. Et on redémarre! «C’est pas compliqué, quand ça risque d’arriver, je fais descendre les femmes et je les reprends en haut, ha ha ha», s’amuse Jocelyn Gauvin. «On est victimes de notre succès, dit-il plus sérieusement, je dois refuser du monde tout le temps.» Dans le petit bus pas comme les autres se sont entassés jeudi des touristes français en imperméable, un lecteur de L’Archipel du goulag plutôt revêche, des visiteurs du 400e cherchant le Musée des Beaux-Arts et une bénévole du Musée de la civilisation. On en vient souvent à fraterniser. «D’où venez-vous? – De Magog. Et vous? – D’Ontario.» Ça suscite la bonne humeur du chauffeur, qui avoue parfois faire des petits détours pour satisfaire ses clients. «C’est le bus du bonheur!», s’écrie Louise Bilodeau, photographe et amie qui m’accompagne.

Jocelyn Gauvin adore qu’on le questionne sur son «électrolux» ou «électrobus», autres surnoms. Il dit qu’il «commence à « la » connaître» et qu’il a même mis fin à «une panne l’autre jour». «Regarde, tout est contrôlé par ordinateur. Soixante-deux dégrés : la « fan » va partir, regarde ben!» En descendant la Côte du Palais, il met le pied sur le frein: «Ça, ça recharge la pile. C’est bien fait pareil, non?» À la fin de la journée, celle-ci – conçue en Suisse – a souvent 50 % de sa charge. Jocelyn Gauvin remarque que ses clients sont «très conscientisés». Et se prend à rêver: «Avec des bus de même, à l’électricité, on va finir par les avoir, les pétrolières!», clame-t-il en montant la Côte Dinan à 18, puis 20 kilomètres-heure.

En attendant ce grand soir, il reste quelques mises au point à effectuer. Le RTC a acquis huit de ces autobus dans le cadre d’un projet pilote lié au 400e (tout est lié au 400e à Québec cet été…). Budget: 12 millions, fournis et administrés par les gouvernements municipal, québécois et fédéral, avec les conseils du Centre d’expérimentation des véhicules électriques du Québec (CEVEQ), la mecque du genre au Québec, sise à Saint-Jérôme. Depuis un mois, des pièces brisées et manquantes liées au groupe électrique sont en commande. Pour l’instant, quelques-uns des Écolobus font donc le circuit, des ruines du Manège militaire jusqu’au Vieux-Port. Si bien que le service, au lieu d’être aux 10 minutes, est aux 20 minutes. Mais ça vaut la peine d’attendre. Surtout si c’est Jocelyn Gauvin qui tient le volant!

À consulter, entre autres billets: L’Écolobus ne nuira pas aux taxis, juge le maire. Merci à Antoine Robitaille pour sa précieuse collaboration.

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Transport en commun.

Plein emploi sur Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 août 2008 29 commentaires

Source: Raymond Poirier, Voir (Québec), 7 août 2008.

(…) C’est la diversification qui explique le succès de la région en emploi et en développement d’entreprises. Il faut dire que jusqu’à récemment, la fonction publique comptait pour 80 % des emplois dans la capitale… Ville de fonctionnaires? Plus maintenant. Le secteur manufacturier est en pleine croissance, comme ceux de la santé et des produits pharmaceutiques, des produits chimiques, des produits informatiques et électroniques, du jeu vidéo et des services. Sans oublier le secteur des services financiers et des assurances: il y a tout de même 11 sièges sociaux de compagnies dans la région, contre seulement 3 à Montréal. C’est ça, le nouveau visage de Québec.

« Dans les années 1990, des gens ont dit qu’il fallait diversifier l’économie de la région. On a favorisé l’arrivée de nouvelles industries, qui ont créé des emplois », indique Michel Gingras, directeur de la planification pour Emploi-Québec, région de la Capitale-Nationale. (…)

Ainsi, à certains égards, la croissance de Québec risque bien de dépasser celle de la métropole… « Je ne sais pas si je m’avancerais jusque-là, mais je suis tentée de le faire… Il y a vraiment quelque chose qui se crée à Québec », lance Caroline Têtu [chargée de communications et de marketing pour PÔLE Québec-Chaudière-Appalaches]. Le taux de chômage reste, de son côté, plutôt bas: 5,4 % à Québec, comparativement à 9,5 % à Montréal, ou à la moyenne provinciale de 7,8 %. « On a le taux de chômage le plus bas du Québec », indique M. Gingras. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: 6500 emplois créés à Québec en 2007.

Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Québec devance Montréal pour le revenu disponible

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 août 2008 24 commentaires

Jean Cazes, 30 juillet 2008.

Source: La Presse Canadienne, La Presse, 6 août 2008.

Pour la première fois, la ville de Québec devance Montréal au chapitre du revenu disponible par habitant, révèlent les données diffusées mercredi sur le site Internet de l’Institut de la statistique du Québec.

Sur les six régions métropolitaines de la province, Québec est celle qui connaît la hausse la plus rapide, soit 6,2 %. C’est la plus forte augmentation depuis le début des compilations à ce sujet, mentionne l’Institut. Grâce à cette croissance marquée, le revenu disponible par habitant à Québec s’établissait en 2007 à 26 134 $, comparativement à 25 828 $ à Montréal.

L’enrichissement des résidants de la capitale s’explique en bonne partie par les paiements d’équité salariale de l’administration publique provinciale et la bonne performance du marché du travail, selon l’Institut. (…)

La suite. À consulter enfin, entre autres billets: Vitalité économique: Québec obtient une bonne note.

Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Trouvez l’intrus

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 août 2008 4 commentaires

Habituellement ce sont les collaborateurs qui travaillent à vous rapporter la nouvelle, cette fois-çi on vous fait travailler un peu et on vous demande de trouver l’intrus sur cette image du Vieux-Québec…

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Photographies citadines, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Scènes urbaines: le “tag�, ou l’art d’enlaidir ce que l’on cherche à embellir! (2)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 août 2008 29 commentaires

Jean Cazes, 5 août 2008.

Profitant d’une météo exceptionnelle cet après-midi (il faisait soleil!!), j’ai fait une balade en vélo le long des nouvelles berges de la Saint-Charles. Mais évidemment, il fallait que je tombe ENCORE sur l' »oeuvre » d’un colon…

PS: quelqu’un a-t-il une idée du coût de fabrication d’un tel panneau d’interprétation?

Hey, les « ti-culs taggeurs »: y’a d’autres moyens de se distraire ou de se défouler de façon constructive, nom d’une Bobinette! Je ne sais pas, moi, lisez des Tintin, tricotez des mitaines, abonnez-vous à la bibliothèque de Québec, jouez au Nintendo ou Mario Bros, joignez les scoots ou un club de mycologues amateurs, collectionnez les insectes ou les tasses victoriennes, cultivez un potager, apprenez l’accordéon, la calligraphie ou l’origami, fondez un groupe de musique de chambre ou heavy-metal, militez dans un mouvement écologique, faites la promotion de l’éradication de l’herbe à poux, auditionnez pour Zoof Story, pratiquez la boxe, le karaté ou la savate… Et de grâce, arrêtez de briser le bien collectif!!

À consulter, entre autres billets: Scènes urbaines: le “tagâ€?, ou l’art d’enlaidir… (1) et Quand “graffitisâ€? riment avec “vandalismeâ€?: non pas un, mais deux autres exemples patents.

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Art de vivre en ville, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Scènes urbaines.

Quartier Saint-Sacrement : une vie commerciale au rythme du troisième âge

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 août 2008 6 commentaires

Sur les 23 prestataires de services répertoriés sur le site Internet de l’Association des gens d’affaires du quartier Saint-Sacrement, pas moins de 14 ont trait aux soins de santé. Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve

Bref, on imagine mal un quelconque promoteur organiser un grand « rave » dans ce secteur de la ville! ;-)

Source: Jean-Frédéric Légaré, Le Soleil, 2 août 2008.

(…) Les chiffres sont limpides. Alors que dans les années 90, Saint-Sacrement remportait la palme du quartier le plus âgé au Canada, aujourd’hui, 30 % de ses 9800 résidants ont plus de 65 ans. Ce qui en fait, de loin, le quartier le plus âgé de la capitale, où la part de personnes du troisième âge est de 16 % en moyenne. (…)

Hélène Boutin, présidente de l’Association des gens d’affaires du quartier Saint-Sacrement, reconnaît que la forte représentation des personnes âgées dans la population modifie quelque peu la nature des commerces. Sur les 23 prestataires de services répertoriés sur le site Internet de l’Association, pas moins de 14 ont trait aux soins de santé. Une situation qui s’explique également par la présence de deux hôpitaux dans le quartier : Saint-Sacrement et Jeffery Hale.

«Les commerçants sont sensibilisés aux besoins de la clientèle âgée, assure Mme Boutin. Le service à domicile, par exemple, est très courant.»

Mais à son dire, le paysage social du quartier serait en train de changer avec le retour des jeunes familles. Une observation que ne confirment pas les chiffres, cependant. (…)

La suite. À lire aussi: Saint-Sacrement : gérer le vieillissement par le zonage. À consulter enfin, entre autres billets: Feu vert pour la Cité verte.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Commercial, Qualité et milieu de vie.

USA: Le pétrole hors de prix c’est bon pour la ligne!

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 août 2008 10 commentaires

Source: Le Matin Online (Lausanne, Suisse), 2 août 2008.

(…) « La théorie veut que si le prix de l´essence monte, les gens vont marcher davantage et rouler à bicyclette. Ou bien, ils prennent les transports en commun, ce qui suppose une marche pour aller à la station et en revenir », souligne Charles Courtemanche, professeur d´économie à l´Université de Caroline du Nord.

« Les gens vont aussi moins au restaurant quand les prix de l´essence sont à la hausse, car il faut conduire pour y aller et ils ont moins d´argent », ajoute-t-il. (…)

L´essence chère force aussi les Américains à conduire plus lentement afin de faire durer le plein du réservoir. Conséquences inattendues: le nombre de morts sur les routes a diminué en même temps que la pollution.

Le prix de l´essence a aussi encouragé les constructeurs automobiles à produire des voitures plus économiques, ce qui pourrait créer des milliers d´emplois, renforcer la sécurité énergétique américaine et doper les économies locales, affirme l´organisation de scientifiques, Union of Concerned Scientists (UCS). (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Plus on économise, plus on dépense….

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs.

L’entreprise familiale Henri Leclerc Camera déclare faillite

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er août 2008 5 commentaires

Hélas, une autre « institution de Québec » disparaît au profit des grandes chaînes et méga-entrepôts. Récemment, c’était Création Suzanne (article)…

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 1er août 2008.

(…) Ces dernières années, Henri Leclerc Caméra avait notamment piloté une expansion de ses activités dans le secteur de la haute ville. Une aventure qui n’a pas été convaincante.

Véritable institution à Québec, Henri Leclerc Caméra aura ainsi vendu plus d’un appareil à plus d’une génération de photographes.

Chez Photo Presto, sur la rue Saint-Joseph, on déplorait hier la fermeture de la boutique spécialisée. «C’est véritablement une page d’histoire du monde de la photo à Québec qui se tourne», a souligné le gérant Henri Thériault.

Dans la capitale, Photo Presto demeure d’ailleurs l’une des rares boutiques de référence en matière de photographie.

Selon M. Thériault, il est de plus en plus difficile pour les commerçants indépendants de vendre leurs produits au même prix que les grandes surfaces qui jouissent d’un très large volume d’achats. «Les marges de profits sont donc très faibles», fait-il remarquer. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Bar Chez son père: Fermeture imminente!.

Voir aussi : Commercial, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Un parc plutôt que du béton

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 juillet 2008 16 commentaires

Ma suggestion farfelue (ou peut-être pas tant que ça) du jour: on couvre de gazon et de bancs toutes ses plaies urbaines, on fait un suivi de fréquentation pendant un an, puis on évalue leur destinée: parcs, habitations ou commerces!

Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 26 juillet 2008.

Coin Cartier–René-Lévesque, les blocs de béton ont récemment fait place à un tapis de gazon. Plutôt que de laisser le terrain de cette ancienne station-service à l’abandon, Québec y a aménagé cet été un parc temporaire en attendant de voir un projet y fleurir.

Impressionnée par la soudaine popularité de cet endroit longtemps délaissé, la conseillère de Montcalm, Anne Guérette, espère voir la Ville répéter l’expérience. En convertissant en parcs certains terrains abandonnés, Québec s’assurerait ainsi un meilleur contrôle sur l’utilisation des rares espaces libres au cœur de la capitale.

«Dans Montcalm, les terrains à développer, on peut les compter sur les doigts d’une seule main», évalue cette architecte de formation. Or, les fermetures de stations-service laissent souvent à l’abandon des espaces de qualité. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Stations-services vacantes (45) à Québec: Des taxes?.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Parc, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.