Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 19 mars 2008.

Après s’être rivé le nez sur l’école des Saints-Martyrs-Canadiens en haute ville, le groupe Norplex échoue dans une nouvelle tentative de conversion d’une école en condos, celle de Stadacona dans Limoilou.

D’abord pressée de vendre le gros bâtiment de la rue François-1er, inoccupé depuis que ses élèves ont été transférés à la nouvelle école primaire La Grande-Hermine, la commission scolaire de la Capitale a décidé hier soir, a appris Le Soleil, de mettre le pied sur le frein et d’annuler l’appel d’offres public lancé en novembre. (…)

La décision des commissaires scolaires donne des ailes à un regroupement de citoyens et d’organismes sociaux qui, aidé du groupe de ressources techniques Sosaco, avait présenté un projet de transformer l’école en 20 logements pour jeunes familles, en locaux pour les groupes communautaires et en espace de sport pour les jeunes défavorisés. (…)

La suite. À consulter, ce billet: Opposition à un pro­jet ré­si­den­tiel­ sur l’em­pla­ce­ment de l’an­cien­ne éco­le des ­Saints-Mar­tyrs-Ca­na­diens: autre cas patent de “syndrome pas-dans-ma-cour�?.

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 18 mars 2008.

(…) Les longs couloirs plutôt tristes qui sillonnent le sous-sol du campus n’ont pas la cote, surtout parmi la gent féminine, et ce, depuis plusieurs années.

Un sondage Internet mené à la fin février par le service de sécurité et prévention de l’Université Laval auprès de 2700 personnes montre qu’après 18h, 30 % des sondés ne se sentent pas en sécurité dans les couloirs pour piétons. La proportion grimpe à 42 % chez les femmes. À cette heure, les corridors sont évidemment moins fréquentés, ce qui peut expliquer une part de l’insécurité, convient Serge Demers, directeur adjoint au service de la sécurité. (…)

La suite. À consulter, ce billet: Les fresques et graffitis des tunnels de l’Université Laval (1).

J’ai déjà traité ce sujet il n’y a pas longtemps; je me permets d’y revenir puisque je tiens à défendre un autre commerce de mon coin (sur la 3e Avenue, aujourd’hui fermé) qui à mes yeux, n’a vraiment, mais là, vraiment pas grand chose à se reprocher!!

J’ai ben d’la misère avec ces « boubous macoutes urbains » et le ton qu’ils adoptent dans leur rubrique. Et ils sont payés pour ça! Je fais bien sûr référence au dernier « Horreur de la semaine » du Carrefour de Québec…

À consulter, ce billet: À la défense de mon p’tit kiosque de crème glacée!.

Source: Annie Morin, Le Soleil, 14 mars 2008.

La Ville de Québec investira dans la peinture, mais pas dans les infrastructures du Marché du Vieux-Port. Déçu, le directeur général de l’endroit évoque déjà un déménagement.

«On va finir notre bail, mais on ne mettra plus d’énergie sur ce site-là. On va regarder ailleurs, faire notre développement ailleurs», a confié André Filteau au Soleil, hier.

Le bail de la Coopérative des horticulteurs de Québec est valide jusqu’en 2018. Il permet aux maraîchers d’exploiter les installations municipales érigées sur un terrain de la rue quai Saint-André qui appartient, lui, au gouvernement fédéral. (…)

La suite. À consulter, ce billet: Marché du Vieux-Port: Une exposition à voir.

Note: la photo ci-haut est l’oeuvre de « Gassami-Marie« .

Source: Radio-Canada (Ça me dit de prendre le temps), 8 mars 2008.

Le quartier de Val-Bélair, situé dans l’arrondissement Laurentien, vient de se doter d’un nouveau plan de quartier. Ce quartier de la ville de Québec, situé dans les contreforts laurentiens près du Mont Bélair, a connu au cours des dernières années une croissance démographique très rapide. En quelques années, la population est passée de 10 000 à 22 000 résidents. Avec près de 5 000 jeunes âgés entre 10 et 22 ans, Val-Bélair est le quartier le plus jeune et le plus familial de la ville de Québec. Ces jeunes entretiennent un fort sentiment d’appartenance avec leur quartier. Toutefois, ils se sentent loin de la vie urbaine et mal connectés au reste de l’agglomération. Réjean Lemoine explique.

Le reportage radio (env. 7 min.). À consulter aussi, ce billet: Val-Bélair, future Silicon Valley de la Défense ?

Source: Renée Larochelle, Au fil des événements, 13 mars 2008.

Branle-bas de combat en ce samedi matin de mars chez les Tremblay de Sainte-Foy, une famille de quatre personnes comptant deux ados et leurs parents. Alors que Maude, 15 ans, doit être au gymnase de la polyvalente de L’Ancienne-Lorette à 9 h pour jouer un match de basket-ball, Camille, sa soeur, a un tournoi de soccer à Beauport. Pendant que leur mère leur crie de se dépêcher et sort en trombe avant de démarrer la voiture, le téléphone sonne. C’est Florence, l’amie de Maude, qui habite à quelques rues de chez elle. Pourrait-on la prendre en passant? Merci. Et vroum!

Tirée de la vie d’une famille québécoise, cette scène illustre bien à quel point l’automobile est devenue indispensable dans nos vies. Pour la majorité des gens en effet, tout tourne autour de cette véritable reine du foyer, sans laquelle rien n’est possible, et ce, même si son utilisation coûte cher, même si l’autobus ne passe pas si loin de la maison, même si on devrait marcher pour sa santé, même si… (…)

La suite. À consulter, ce billet: Rouler à l’électricité�… ou la fuite en avant?.

Source: Radio-Canada, 11 mars 2008.

Le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) a annoncé, mardi, qu’il allait profiter des célébrations entourant le 400e anniversaire de la fondation de Québec pour réclamer davantage de logements abordables.

Le groupe de pression compte ériger, le 26 juin, le « Camp des 4 sans », un campement pour ceux qui ont difficilement accès à un logement abordable.

Deux jours plus tard, une manifestation sera aussi organisée dans la Vieille Capitale. (…)

La suite. À consulter, ce billet: Régie du logement: Les propriétaires sont avantagés.

Aux prises avec des dépôts à neige qui débordent et un autre 25 à 35 cm attendus pour le week-end, la ville pourrait cesser de déneiger les trottoirs pour le reste de la saison froide.(…)

Source: Le Journal de Québec 07/03/2008

La suite

Transport en commun: 4 options pour un tunnel au centre-ville. (Source: Radio-Canada, Ottawa-Gatineau, 3 mars 2008.)

La Ville d’Ottawa dévoile quatre scénarios pour la construction d’un tunnel réservé au transport en commun afin de diminuer la circulation dans le centre-ville.

Le coût pour réaliser ces scénarios varie de 3,2 à 3,8 milliards de dollars, dépendamment du projet:

Un tunnel pour les autobus et le maintien de la liaison du train léger déjà existante.
Un tunnel nord-sud pour les autobus et les trains qui relierait l’Université d’Ottawa au secteur Riverside-Sud, via l’aéroport.
Un tunnel est-ouest pour le train léger qui relierait la station Baseline à la station Baseline à la station Blair.
Un tunnel est-ouest pour le train léger (option 3) et la réalisation du tunnel nord-sud pour les trains légers (une partie de l’option 2).

La Ville a déjà laissé savoir que la participation des gouvernement fédéral et provincial est essentielle à la réalisation éventuelle d’un de ces projets. (…)

La suite de ce dossier. À consulter aussi, ce billet: Étude sur le tramway: Maltais en désaccord avec Labeaume.

Merci à Maxime Roy pour nous avoir signalé cet article!

Encore une fois, ici, il n’est nullement question de remettre en cause un mode de vie: notre dépendance à l’automobile en ville, particulièrement à Québec…

Et en passant, je vous invite à écouter en reprise, ce soir, ce convaincant reportage de ENQUÊTE, qui prouve à quel point la production d’éthanol, comme carburant dit alternatif, est un non-sens incroyable aux plans environnemental et humain!

ROULER À L’ÉLECTRICITÉ: Du rêve à la réalité. (Source: Paul-Robert Raymond, Le Soleil, 1er mars 2008.

L’auto électrique fait rêver, depuis longtemps. À la fin du XIXe et au début du XXe siècle, des véhicules électriques sillon­naient les routes de l’époque. Cependant, ils valaient 10 fois le prix d’une maison. L’essence bon marché et le prix des autos avec un moteur à combustion ont eu raison de la voiture électrique.

Aujourd’hui, qui ne rêverait pas de ne plus pouvoir mettre une goutte de carburant dans son automobile? Qui peut prédire combien coûtera le litre d’essence ou le baril de pétrole dans 5, 10 ou 15 ans? Selon les prévisions de l’Association for the Study of Peak Oil & Gas (ASPO), le pic pétrolier serait présentement atteint, donc l’ère du baril de pétrole bon marché serait terminée. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: La fin du pétrole, pas de la voiture.