Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Qualité et milieu de vie »

Québec toujours à la recherche d’un emplacement pour le centre de compostage

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 mars 2012 Commentaires fermés sur Québec toujours à la recherche d’un emplacement pour le centre de compostage

Source : Valérie Gaudreau, Le Soleil, le 28 mars 2012

(Québec) Val-Bélair n’est pas le seul «plan B» envisagé par la Ville de Québec pour un centre de compostage, selon le conseiller responsable de l’environnement, Steve Verret.

«Ça peut être Val-Bélair comme ça peut être un autre. Ce sera à SNC-Lavalin de nous le dire. Ils m’ont dit qu’ils avaient d’autres solutions à amener au projet», a indiqué M. Verret hier.

SNC-Lavalin a été mandatée en septembre pour mener des études préparatoires et environnementales afin de déterminer le meilleur emplacement pour le futur centre de compostage. Au départ, la Ville de Québec avait choisi un grand terrain entre Saint-Augustin et l’aéroport pour établir son centre de compostage à ciel ouvert, qui recevra les résidus de l’usine de biométhanisation prévue en 2014.

Or, l’administration de l’aéroport, les villes voisines de Saint-Augustin et de L’Ancienne-Lorette, des citoyens et l’Union des producteurs agricoles (UPA) ont sévèrement critiqué le projet.

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Usine de compostage : le maire réagit à la levée de boucliers.

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.

Québec, ville ouverte

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 février 2012 1 commentaire

Source : Ville de Québec

Québec, ville ouverte!
Québec, le 22 février 2012 – La Ville de Québec est heureuse de lancer son nouveau portail de données ouvertes, dans le cadre de l’événement Web à Québec. Avec ce portail, la Ville procède donc à l’ouverture de plusieurs données publiques, ce qui permettra aux internautes de créer des applications mobiles ou d’effectuer une multitude de développements sur le Web.

« Une fois de plus, la Ville de Québec démontre son avant-gardisme en matière de gouvernance ouverte, de Web et de mobilité, a affirmé M. Sylvain Légaré, membre du comité exécutif. Les gens de Québec pourront retirer de nombreux bénéfices de la créativité des internautes qui concevront des applications Web pour leurs concitoyens! J’ai la certitude que des développements innovateurs et inventifs émergeront de l’ouverture de nos données publiques. »

Rappelons qu’en juin 2011, la Ville de Québec a été sollicitée par le regroupement de citoyens Capitale Ouverte pour la libération de ses données.

Des possibilités infinies!
Les données qui sont mises à la disposition des passionnés du Web sur le nouveau portail sont des plus variées : emplacement de tous les parcomètres, horaire des activités de loisir à caractère libre, délimitations géographiques des arrondissements et des quartiers, liste des bibliothèques, liste des chantiers routiers, calendrier des séances, toponymes, etc. L’ouverture des données se fera progressivement, selon les demandes de la communauté, les possibilités informatiques et les ressources disponibles.

À l’instar de plusieurs autres grandes villes à travers le monde, la réutilisation des données sera encadrée par des normes reconnues internationalement et par une licence d’utilisation et de responsabilité pour ses utilisateurs. Les données ouvertes sont anonymes et les renseignements personnels sont protégés.

Les amateurs de données ouvertes peuvent consulter le portail « Données ouvertes ».

Une compétition relevée!
Le portail est lancé dans le cadre de l’événement Web à Québec, qui propose, entre autres, la compétition Iron Web. À cette occasion, 10 programmeurs, intégrateurs, chargés de projet ou designers devront concevoir un site Internet en 48 heures à partir du portail « Données ouvertes » de la Ville de Québec.

La Ville tiendra également une conférence le jeudi 23 février sur le thème « Vers une ville intelligente ».

Pour obtenir plus de renseignements sur l’événement Web à Québec, les citoyens peuvent consulter le webaquebec.org.

Québec, ville branchée!
Données ouvertes : donnees.ville.quebec.qc.ca
Web : ville.quebec.qc.ca
Twitter : twitter.com/villequebec
YouTube : youtube.com/user/QuebecVille
Mobile : m.ville.quebec.qc.ca

La Ville de Québec souhaite de l’inspiration et de la créativité à tous les participants de l’Iron Web et aux internautes qui consulteront son portail!

le communiqué

Voir aussi : Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Pouvons-nous éviter les points de rupture dans le développement de la ville?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 février 2012 63 commentaires

Cette question m’a sauté aux yeux pendant le débat autour de l’îlot Irving et différents autres projets depuis quelques années. La ville dans son ensemble est prise avec une démographie croissante et des problèmes de circulation et de disponibilité de terrains sur son territoire.

La croissance ultrarapide des nouvelles banlieues de la grande ville de Québec (Shannon, St-Gabriel, Tewksberry, Stoneham, Lac Beauport, St-Brigitte-de-Laval et la côte de Beaupré) est une démonstration du peu de solutions abordables pour les nouveaux arrivants pour vivre en ville. Historiquement, notre ville a connu un développement à l’horizontale en conquérant les terres agricoles avoisinantes au fil des ans. Vue de haut, elle est essentiellement meublée de maisons bon marché plein-pied la plupart du temps. Mais, il faut se rendre à l’évidence que ces nouveaux territoires ne seront jamais réellement bien desservis par des liens routiers rapides. Les emprises se font rares et c’est à contre-courant de paver de nouvelles routes à 6 voies de larges en 2012. La qualité de vie recherchée en périphérie deviendra nécessairement un enfer à cause des transports.

Il faut planifier inévitablement une forme de densification au centre-ville à court terme pour éviter cette problématique. Mais, pouvons-nous réellement éviter des points de rupture lorsqu’on décide de modifier un territoire déjà occupé depuis de nombreuses années?

Cette rupture est l’argument principal des opposants aux projets de densification. Ils avancent avec raison que le nouvel édifice ne s’harmonisera pas avec la trame urbaine. Mais, suivant cette logique, comment peut-on entreprendre la densification? Quelle est la première étape? Si on évite cette rupture, passe-t-on à côté de l’objectif?

La région regorge d’exemples où, à un moment précis, un projet immobilier a profondément transformé le paysage urbain. Des projets fortement contestés à l’époque qui se sont avérés des joyaux architecturaux plus tard. Nous avons qu’à penser au Château Frontenac et à l’édifice Price. Toutefois, les contre-exemples sont nombreux aussi comme l’Hôtel-Dieu et le bunker de la rue Grande-Allée.

En ce qui concerne le quartier St-Jean-Baptiste et sa trame urbaine, il faut faire un petit cours d’histoire pour la comprendre. Il faut savoir que la ville de Québec a connu une crise économique entre 1850 et 1940. Cette crise a fait ralentir les investissements immobiliers qui à gelé dans le temps cette trame urbaine. Dans un contexte normal, ce quartier aurait connu davantage de rénovation urbaine et oui la densification aurait été au rendez-vous étant donné sa proximité au centre-ville et sa position en haute-ville. Sachant ça, doit-on niveler par le bas et conformer l’ensemble des nouvelles constructions aux anciens immeubles qui ont déjoué le temps en dépassant de leur durée de vie utile? La question se pose. J’ai récemment participé à un débat à l’émission Agora à VOX sur ces questions (voir émission du 2012-02-08).

Malgré que je suis un défenseur du patrimoine bâti, je crois qu’on doit densifier considérablement le centre-ville pour soulager les transports sur le territoire. Quelle est votre opinion?

Mise à jour 22:49 : Nous avons discuté de ce billet dans notre chronique mensuelle à l’émission la Capitale Blogue. Je vous invite à écouter.

Chronique Québec Urbain à la Capitale Blogue 2012-02-12

Voir aussi : Architecture urbaine, Art de vivre en ville, Étalement urbain, Qualité et milieu de vie.

Des bornes de recharge pour autos électriques installées dans la ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 janvier 2012 Commentaires fermés sur Des bornes de recharge pour autos électriques installées dans la ville

Source : Sébastien Templier, La Presse, le 13 janvier 2012

Le premier réseau public de recharge pour véhicules électriques en Amérique Nord sera en exploitation dans les agglomérations de Montréal et de Québec au mois de mars. Il ne manque plus que les automobilistes.

Hydro-Québec a profité hier de l’ouverture du Salon automobile de Montréal pour présenter son réseau.

Les quelque 300 premiers propriétaires québécois de véhicules électriques pourront utiliser au printemps l’une des 90 bornes installées dans les stationnements de 50 établissements et installations de l’Agence métropolitaine de transport, Rona, Rôtisserie St-Hubert et Metro. Trente bornes de plus seront installées l’été prochain.

La Californie et le Texas sont les premiers États à posséder un réseau plus ou moins comparable, mais il s’agit de réseaux privés. Le «circuit électrique» d’Hydro-Québec est une première. «On voulait assumer un rôle de leadership», explique Pierre-Luc Desgagné, directeur principal, Planification stratégique, au sein de la société d’État.

«Ce qui est une première, c’est qu’il s’agit d’un réseau public. On fait le pari que les gens vont se tourner vers un carburant vert. Hydro-Québec ajoute un élément à son portefeuille de services. Elle fournit du carburant propre», ajoute-t-il.

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Ce billet répondra certainement à la question posée à la fin de ce billet du mois de juin.

Le site web du projet « Circuit Électrique ».

Voir aussi : Nouvel urbanisme, Qualité et milieu de vie.

La « Bouchée Généreuse » ouvre ses portes

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 décembre 2011 4 commentaires

Source : Marc-André Gagnon, Journal de Québec, le 12 décembre 2011

L’organisme communautaire La Bouchée Généreuse a inauguré ce matin son nouvel immeuble du quartier Limoilou, acquis grâce à une subvention de 150 000$ accordée par la Ville de Québec.

La Bouchée Généreuse distribue, depuis une douzaine d’années, de la nourriture, des meubles et des vêtements. L’an dernier, plus de 60 000 personnes en ont bénéficié.

Le comité d’investissement communautaire TELUS, La Capitale groupe financier et l’Industrielle Alliance a aussi investi 75 000$ dans ce projet. « La demande de la communauté locale était de plus en plus importante et nos locaux situés au sous-sol de l’église Saint-Zéphérin-de-Stadaconna ne suffisaient plus », explique Pierre Gravel, directeur de l’organisme.

Les nouveaux locaux sont situés au coin du boulevard Wilfrid-Hamel et de la 18e rue, devant le Colisée Pepsi.

L’endroit était jusque-là surtout utilisé comme espace de stationnement improvisé lors des évènements qui ont lieu à ExpoCité.

La bâtisse était autrefois occupée par l’entreprise Hygiénex, qui a depuis déménagé ses laboratoires dans des locaux plus spacieux.


l’article


Coin Hamel et 18e, donc j’en conclus que c’est à cet endroit, mais je m’en veux de ne pas avoir rien remarqué, étant donné que je me suis rendu souvent dans ce secteur dernièrement.

Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Institutionnel, Qualité et milieu de vie.

Le carrousel prêt pour la fête du vin ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 novembre 2011 2 commentaires

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 17 novembre 2011

Convaincu par son « pote » Alain Juppé, ministre et maire de Bordeaux, Jean-Marie Malaval, alias M. Caramel, devrait arriver à doter Québec d’un carrousel à temps pour Bordeaux fête le vin à Québec, en septembre 2012.

C’est ce qu’a confirmé M. Caramel au Journal, lorsqu’il a été joint hier, à sa résidence de Bordeaux. « Je dirais que les chances sont très bonnes, soit à 80 % », a-t-il affirmé, réitérant ses propos rapportés par le journal français Sud-Ouest, et dont Le Soleil faisait état mercredi.

M. Caramel s’est trouvé un partenaire québécois pour mener à bien son projet, un ami qui vend ses produits au Marché du Vieux-Port et qui possède une maison à l’île d’Orléans. Il est même rendu à l’étape de régler les détails pour le transport du manège de Bordeaux jusqu’à Québec, dit-il.

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Un carrousel à Québec pour 2012.

Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Détruire les ghettos pour favoriser la mixité

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 novembre 2011 Commentaires fermés sur Détruire les ghettos pour favoriser la mixité

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 14 novembre 2011

La façon de détruire les ghettos pour favoriser la mixité a impressionné le maire Labeaume, qui y a vu des solutions pour les secteurs de Marie-de-l’Incarnation et Saint-Pie-X.

La ville de Saint-Malo a en effet revitalisé le quartier la Découverte, où on avait concentré tous les « cas difficiles » sous forme de très grands immeubles. « Avec l’aide de l’État, nous détruisons les immeubles et nous les reconstruisons dans les autres quartiers et (y réimplantons les gens). »

La Ville achète également des appartements dans la vieille ville pour les transformer en logements à loyer modéré (différents des HLM). « Dans la vieille ville, le grand risque, c’est de voir partir les résidants principaux (…) S’il n’y a plus que des résidences secondaires, il n’y a plus de commerces de proximité, plus d’écoles et plus de vie; alors, excusez-moi, mais ça devient le Mont Saint-Michel. »

Ou encore le Vieux-Québec… « On travaille là-dessus », de soupirer le maire Labeaume.

« Mais ça demande 20 ans; alors il faut être maire longtemps », a avertit M. Couanau, qui est en poste depuis 1989 à la tête de cette ville qui compte 50 000 habitants.

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Voir aussi : Nouvel urbanisme, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs.

La densification : assez « attirante » pour Québec ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 novembre 2011 Commentaires fermés sur La densification : assez « attirante » pour Québec ?

Source : Samuel Auger, Le Soleil, le 14 novembre 2011

(Québec) Le Conseil régional de l’environnement lance une campagne de sensibilisation sur la densité urbaine et l’occupation durable du territoire, dans le but avoué de redorer le blason de ces thèmes malmenés par des opposants.

Tours de condos, immeubles de logements ou complexes résidentiels : la densité en ville fait réagir. Certains résidants font bloc devant ce genre de développements, alors que d’autres hésitent à s’y installer.

Le Conseil régional de l’environnement de la Capitale-Nationale (CRE) entend bien renverser la tendance. «Plusieurs personnes associent l’augmentation de la densité avec une diminution de la qualité de vie. Alors que notre prétention, c’est le contraire. Il y a moyens d’offrir des milieux de bien plus grande qualité de vie, tout en ayant une meilleure densité», soutient le directeur général Alexandre Turgeon, également à la tête du regroupement Vivre en ville.

Le site Web www.imaginerlequebecautrement.org a été lan­cé pour la cause. Dans les prochains jours, les automobilistes apercevront une campagne de publicité derrière les autobus du Réseau de transport de la Capitale. Le but : remporter la guerre de l’image. Et convaincre que la densité peut être attirante et souhaitable.

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S’inspirer d’ailleurs: Densification à Courbevoie.

La densification urbaine est un concept qui consiste à faire vivre davantage de population sur un même espace urbain. C’est ainsi, par exemple, que lorsqu’on passe d’un quartier en habitat individuel (petites maisons unifamiliales) à un quartier d’habitat collectif (avec des immeubles où les gens partagent un immeuble en plusieurs appartements) on effectue une densification urbaine.

tiré de Wikipédia.

Voir aussi : Nouvel urbanisme, Qualité et milieu de vie.

St-Jean-Baptiste : plusieurs années à endurer des travaux routiers

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 octobre 2011 17 commentaires

Source : Radio-Canada, le 15 octobre 2011

La Ville procède à une cure de rajeunissement dans le quartier Saint-Jean-Baptiste, à Québec, qui va se poursuivre jusqu’en 2014.

Les réseaux d’aqueduc et d’égout ont été installés il y a plus de 50 ans et certaines rues sont devenues presque impraticables.

« Il y a quelques mois, ça prenait pratiquement un véhicule 4 par 4 pour circuler ici. C’était vraiment cahin-caha, l’asphalte, la structure de la chaussée étaient vraiment déficients », affirme le conseiller aux communications à la Ville de Québec, Jacques Perron.

Plus de 7 millions de dollars seront investis en quatre ans.

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Rue d’Aiguillon : état des travaux.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Qualité et milieu de vie.

Abribus à l’immeuble Jules-Dallaire ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 septembre 2011 9 commentaires

Petite photo de ce qui semble, selon toute vraisemblance être un abribus tempéré, au pied de l’immeuble Jules-Dallaire sur la route de l’Église. Toutefois aucune information ne semble se retrouver à ce propos sur le site de la RTC ou sur le web. Est-ce que cela se fait selon le même principe que l’abribus financé par la SSQ ?

Nouvel abribus: Place Ste-Foy

Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Transport en commun.