Québec, vendredi 25 avril 2014 — L’ITIS présente son troisième colloque annuel sur la thématique des villes et communautés intelligentes, intitulé « Big Data et Open Data au cœur de la ville intelligente », le mardi 29 avril 2014 à l’auditorium Jean-Paul-Tardif du pavillon La Laurentienne à l’Université Laval. L’événement donnera la parole à 12 conférenciers qui tenteront de décrypter le phénomène des données massives et ouvertes, tout en mettant de l’avant leur potentiel pour la gestion des villes et organisations.

Aujourd’hui, les données sont omniprésentes. À petite et grande échelle, elles sont générées, quotidiennement par des citoyens, des entreprises, des villes, des États. Pour beaucoup, il s’agit d’un enjeu prioritaire, tant pour le commerce que pour la gouvernance. À terme, elles transformeront les processus, les organisations, des secteurs d’activités tout entiers, voire même la société. À l’heure où plusieurs analyses se demandent « Is Data the New Oil? », cecolloque d’une journée invite ses participants et participantes à explorer le phénomène des données – massives et ouvertes, à saisir leur potentiel et également à comprendre les défis qui sont liés à leur mise en valeur dans nos organisations.

C’est d’abord les villes et leurs citoyens, comme sources de données, qui seront explorés au fil de l’avant-midi, question de bien saisir la place de l’économie numérique et des technologies dans les agglomérations québécoises et canadiennes. Diverses façons par lesquelles États et citoyens génèrent ou utilisent ces données, par le biais des TIC, seront également observées avec, au programme : indicateurs de performance, analyse démographique, médias sociaux et géolocalisation.

Pour sa part, l’après-midi permettra de voir et saisir le potentiel lié à ces données, ainsi que les défis rattachés à leur utilisation. Des experts issus du milieu universitaire et du milieu des affaires se succéderont afin d’explorer les défis statistiques, de présenter les outils qu’ils ont imaginés ou développés en lien avec ces données, ainsi que des approches devisualisation liées aux données massives ou encore des réalités et contraintes liées à leur intégration au sein des organisations, publiques ou privées.

Quelques éléments à surveiller de la journée :

• 9 h 15 : Revue systématique sur les villes intelligentes, comparant Québec à 15 autres villes américaines et européennes;
• 9 h 45 : Évolution des tendances démographiques dans les villes intelligentes canadiennes, dont Québec et Montréal;
• 10 h 35 : Présentation des initiatives du Gouvernement du Québec en matière de données ouvertes;
• 14 h 30 : Présence d’un représentant de la branche américaine d’IBM, autour de leurs projets liés au Big Data (en anglais);
• 16 h 35 : Survol des actions de la Ville de Québec pour la mise en valeur des données ouvertes;

… Et plus!

Le colloque « Big Data et Open Data au cœur de la ville intelligente » est présenté par l’Institut Technologies de l’information et Sociétés (ITIS) de l’Université Laval le mardi 29 avril 2014, de 8 h 30 à 17 h (suivi d’un cocktail de 17 h à 18 h), à l’Université Laval, pavillon La Laurentienne, auditorium Jean-Paul-Tardif.

Programmation complète

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Radio-Canada (Québec)

La ville de Québec est la grande ville canadienne où les femmes peuvent espérer avoir la meilleure qualité de vie, selon une étude du Centre canadien de politiques alternatives portant sur l’égalité des sexes.

Selon l’analyse de l’organisme, Québec se place en tête du classement général qui se base sur une comparaison entre la situation des hommes et celle des femmes dans cinq domaines : sécurité économique, leadership, santé, sécurité personnelle et éducation.

L’organisme de recherche a utilisé les données de Statistiques Canada pour comparer 20 agglomérations canadiennes.

De façon globale, les villes de la province de Québec s’en sortent mieux que les autres villes du Canada dans cette étude. Si Québec est au premier rang, Montréal se classe au quatrième rang et Sherbrooke obtient la huitième position du classement général.

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Samuel Auger
Le Soleil

(Québec) En dépit des efforts de la Ville de Québec pour accroître l’offre de condos, de maisons de ville et d’autres déclinaisons de densité urbaine, les citoyens de la capitale préfèrent encore majoritairement une maison unifamiliale isolée dans un quartier résidentiel loin du travail, révèle un important sondage.

Où les citoyens de la région rêvent-ils d’habiter? La Ville de Québec a commandé un sondage Léger Marketing fin 2010 sur les aspirations de ses contribuables. Il s’agit de la plus récente étude du genre à la Ville de Québec. Le sondage – présenté vendredi à des chercheurs de l’Université Laval et obtenu par Le Soleil – a un échantillon impressionnant avec 2506 personnes.

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En allant prendre des photos pour le 2e immeuble du fédéral, j’ai aperçu ce nouveau type de lampadaires d’un seul côté de la rue et sur une courte distance. Projet pilote ? Ce sont bien des lampadaires aux DEL ?

Plaines d’Abraham: 300 lampadaires au DEL.

Est-ce que vous connaissez la population de votre quartier ? Entre 2006 et 2011, est-ce qu’il y a eu une variation (+ ou -) ? Un lecteur (merci Franks) a fait des démarches auprès de la Ville de Québec.

Durant cette période comprise entre 2006 et 2011, certains quartiers ont vu le nombre de leurs citoyens diminuer : Vieux-Québec (-350), Saint-Roch (-110), St-Jean-Baptiste (-375), Vieux Limoilou (-295), Des Châtels (-295). D’autres ont vu leur nombre augmenter : Neufchâtel Lebourgneuf (+ 6975), Duberger Les Saules (+ 1570), Notre-Dame-des-Laurentides (+ 2700), St-Émile (+ 1870), Val-Bélair (+ 2910).

Le tout dans une population totale (en 2013) de 791,934 personnes

Qu’en conclure ?

Michel Dumais

(…) Il y a des années de cela, la simple logique eut voulu que la Ville cesse de penser «big telcos» afin de conclure rapidement une alliance avec l’organisme communautaire «Île sans fil» et ainsi favoriser le déploiement rapide sur l’île de la technologie sans fil.

Une telle alliance, un modèle dans le genre, existe.

Mais pas à Montréal. Plutôt à Québec, alors que la Ville et l’organisme communautaire «Zap Québec» travaillent main dans la main pour le plus grand bénéfice des citoyens de Québec et des touristes. Et à Montréal? On jase, on jase.

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Nouvelle expansion de ZAP Québec * Taïeb Moalla (Journal de Québec)

* Zap Québec est génial, vraiment ! :-)

Samuel Auger
Le Soleil

(Québec) La métamorphose possible de l’hôtelLe Concorde en résidence pour personnes âgées a soulevé les passionsà Québec, créant des vagues autantchez les citoyens et les gens d’affairesque les élus. Or, Concorde ou pas, le visage de la capitale sera plus vieuxque jamais dans les prochaines années. Les aînés seront majoritaires à Québec.Et la capitale n’est pas prête à accommoder cette vague de citoyens plus âgés, estime un professeur en urbanisme spécialiste de cet enjeu de taille.

Le vieillissement de la population est inévitable à Québec. D’ici 20 ans, pas moins de 80 000 citoyens auront 65 ans et plus. (…)

Cinq idées pour rafraîchir la ville pour les aînés

Des habitations plus denses, loin des quartiers centraux La prochaine vague de personnes âgées sera surtout dans les banlieues. Et ces résidents ne souhaitent pas pour la plupart quitter leur quartier, auquel ils sont attachés. La densité urbaine facilite également les soins à domicile en limitant les déplacements des infirmières d’une maison à l’autre.

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Gilbert Leduc
Le Soleil

(Québec) Malgré l’achèvement des travaux dans trois importants parcs éoliens, ceux de L’Érable, de la Seigneurie de Beaupré et Des Moulins, le panier de projets de construction dans la grande région de Québec demeure encore fort bien garni.

Un inventaire effectué par Québec International permet d’identifier plus de 300 projets sur le territoire des régions administratives de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches. Ces projets de construction – présentement en chantier ou encore qui ont fait l’objet d’une annonce – représentent des investissements totalisant 13 milliards $. (…)

Le nombre d’heures travaillées dans la grande région de Québec devrait diminuer de 4 % en 2014, selon la Commission de la construction du Québec (CCQ). Il devrait atteindre 25,7 millions d’heures comparativement à 26,6 millions d’heures en 2012.

«Il n’y a rien de catastrophique à tout ça», s’empresse de mentionner l’économiste de la CCQ, Pauline Dupuis. «Ça va demeurer une belle année. La région de Québec nous a habitués, de 2010 à 2012, à des croissances exceptionnelles. Un rythme difficilement soutenable sur une longue période.»

En effet, les régions de Québec et de l’Estrie ont été les seules à ne pas avoir encaissé une diminution des heures travaillées en 2013. Selon les estimations de la CCQ, les baisses du nombre d’heures travaillées au Québec en 2013 varient entre 4 % et 23 %. À Québec et en Estrie, il n’y a eu aucune baisse, aucune hausse.

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(…) La Ville de Québec et le ministère de la Culture et des Communications profitent de cette journée d’activités pour lancer une nouvelle section consacrée exclusivement à l’archéologie, disponible dans le site Internet de la Ville. Cette section représente une mine de renseignements pour toute personne intéressée par le sujet et constitue un formidable outil de référence.

L’archéologie à Québec

Samuel Auger
Le Soleil

La scène municipale est ponctuée de plans de construction, d’échéanciers et de projections. Des promesses parfois honorées, bafouées ou simplement tombées dans l’oubli. Pour donner le ton à 2014, Le Soleil a recensé 13 promesses concernant la ville de Québec. Des engagements en matière de transport, d’habitation et de loisirs qui doivent tous se concrétiser d’ici le 31 décembre, si l’on se fie à la parole des autorités. Certaines promesses seront respectées sans l’ombre d’un doute, alors que d’autres seront peut-être reportées… Tour d’horizon.

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