Source: Stuart Foxman, Sélection du Reader’s Digest, novembre 2008.
Pour certains, le navettage est la partie la plus désagréable de la journée de travail. Le temps qu’on y consacre, l’argent qu’on y dépense et les contrariétés qu’il entraîne finissent par peser lourd.
Un sondage de Statistiques Canada révèle que 29 % des personnes qui se servent de leur voiture pour aller au travail en en revenir détestent le navettage. Pour les utilisateurs des transports en commun, le degré d’insatisfaction est encore plus élevé, soit de 47 %. Les personnes les plus satisfaites à cet égard sont celles qui se rendent au travail en bicyclette ou à pied. A noter toutefois, que plus on aime son travail, moins le navettage semble poser problème.
Nous avons estimé les coûts qu’entraîne le navettage pour trois villes canadiennes, soit Montréal, Toronto et Calgary, et comparé coûts de déplacement en voiture et coûts de déplacement par les transports en commun. (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: Jamais sans mon char? Sans aller jusqu’à rayer l’automobile de sa vie, on pourrait mettre la pédale douce sur ce symbole d’autonomie et d’indépendance.