J’apporte cet article, pour bien faire comprendre qu’on peut toujours changer notre mode de transport et façon de faire, que ce soit en relation avec l’urbanisme, ou bien donc avec notre mode de vie de citadin…

Source: François Cardinal, La Presse.

Le pétrole est une drogue dure à laquelle la planète est accro. Devrions-nous modifier nos habitudes avant que la ressource ne vienne à manquer? Notre journaliste François Cardinal revient d’un séjour en Suède, seul pays au monde à avoir entamé une cure de désintoxication.

[…]Le défi est grand, mais moins utopique qu’on pourrait le croire. La Suède, qui nage à contre-courant depuis 30 ans déjà, l’a prouvé. Secouée par la crise du pétrole dans les années 70, le pays consomme en effet deux fois moins d’or noir aujourd’hui qu’à l’époque.[…]

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À quand quelques choses de ce genre, ou autre énergie de type renouvelable ici à Québec ?

Source: Radio-Canada (Mauricie) 28 mars 2007

La Ville de Trois-Rivìères, la Société de développement économique de Trois-Rivières et l’entreprise EH2: Énergie Hydrogène songent à utiliser l’hydrogène comme source d’énergie.

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Les Chinois nous montrent un bel exemple de choix radical et innovateur, même si en apparence ce n’est pas leur habitude. Ai-je besoin de dire que cela pourrait se faire ici à Québec et que ce n’est point utopique !

Le seul hic, c’est l’impact de ce projet aura sur l’écologie de cette région de la terre… Hum ! Bonne idée au départ, mais dans le mauvais endroit…

Source: Julie Desne, Agence France-Presse

Ce qui n’est encore qu’un bout de terre recouvert de champs de choux au large de Shanghai devrait devenir d’ici trois ans la première cité 100 % écologique en Chine. Si tout se déroule conformément aux plans prévus, cette éco-cité commencera à émerger en 2009 dans le district de Dongtan, sur l’île de Chongming, à l’embouchure du Yangtze.

«La Shanghai Industrial Investment Co. (SIIC) est venue nous voir pour que nous dessinions avec eux la ville de Dongtan», raconte Dong Shanfeng, responsable du projet pour le cabinet d’urbanisme britannique Arup, partenaire du gouvernement de Shanghai. Le budget initial prévoit un investissement de 1,3 milliard de dollars, qui pourrait drastiquement augmenter au cours des travaux.

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Un artiste anglais anonyme présente certaines de ses oeuvres. La section vidéo présente certains de ses explois. Ne manquez pas « museums« !

Merci à Gérald Gobeil.

On a fait écho, récemment dans les médias, des délirants projets de tours présentés il y a quelques jours au Salon International de l’immobilier (MIPIM). Beaucoup de ces projets sont planifiés ou en cours dans les Émirats arabes unis.

À titre d’exemples, outre le Burj Dubai, la plus haute tour de bureaux au monde en construction, on y érigerait l’extravagant Pentominium: « Avec ses 160 étages et ses 515 mètres de hauteur, elle est l’immeuble résidentiel le plus haut du monde, avec une débauche de luxe (…) et un seul appartement par étage » (Agence France-Presse)!

Aussi, ce billet.

Je suppose que c’est le genre de densification que certains lecteurs de Québec Urbain ont émis comme idée dans leurs commentaires. Le seul hic, d’après l’image c’est le rapprochement des blocs entre-eux. Peu de vue dégagée pour certain. Sauf la fenêtre du voisin. Et côté vert, il ne semble point avoir rien dans ce domaine. Dommage!!! Mais dans l’ensemble cela pourrait être intéressant. Surtout si on pouvait transposer ce genre de projet ici à Québec, mais en incluant des éléments verts dans les édifices..

Source: Isabelle Audet, La Presse, 9 mars 2007

L’ancien terrain de l’usine GM à Boisbriand accueillera ses premiers propriétaires résidentiels avant la fin de l’année. La municipalité et le promoteur, Faubourg Boisbriand, peaufinent ces jours-ci les plans définitifs du secteur résidentiel.

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Voir aussi ce lien.

Option intéressante, pour ceux qui optent absolument pour la banlieue, tant qu’a parler du tramway, bien il y aussi le train de banlieue. (TOD) Autre projet qui pourrait être fait, mais je sais que depuis un certain nombre d’année, on a démanteler bon nombre de tronçon de chemin de fer dans la région.

Source: Simon Diotte, La Presse, 5 mars 2007

L’ouverture de nouvelles gares force la banlieue à se redéfinir. Au lieu de faire du développement centré uniquement sur les déplacements en automobile, comme on le fait depuis plus d’un demi-siècle, de nouveaux projets axés sur l’utilisation des transports collectifs voient le jour. Et ils connaissent un franc succès. Pleins feux sur une petite révolution dans la construction immobilière.

Claude Valiquette et sa conjointe ne pensaient jamais résider en banlieue éloignée. Mais avec le train de banlieue, qui sert de cordon ombilical vers le centre-ville de Montréal, la chose autrefois impossible est devenue réalité. Ils ont acheté récemment une maison de ville à Mont-Saint-Hilaire, à cinq minutes à pied de la gare de train. «Ça ne me prend que 45 à 50 minutes pour me rendre au travail. Et ce n’est pas du temps perdu, j’en profite pour lire», affirme M. Valiquette, avec satisfaction.

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L’impact sur la qualité de l’air ainsi que sur le milieu si cela s’applique autant dans l’urbain que le rural, imaginez respirer un air plus pur, à côté d’une usine ! A moins que les compagnies veulent payer plus, ce qui m’étonnerais… Cela peut-il s’appliquer aussi au moyen de transport toutes catégories confondues ? Cela inciterait peut-être certaines personnes à revenir vivres dans les agglomérations urbaines ? Cela pourrait-il entrer dans la conception du nouvel urbanisme ??? Peut-être même permettre l’établissement d’usines qui respectent l’environnement près de zone résidentielle. Bref…

Certains lecteurs de QU diront que c’est utopique, mais voila de cela 15 ans on aurait traité d’illuminé les gens qui auraient affirmé qu’ils y auraient des bars sans fumée. À cette époque on fumait dans les hôpitaux. L’utopie d’aujourd’hui est peut-être les réalisations de demain !

Source: François Desjardins, revue L’Actualité, janvier 2007

La surconsommation de ressources naturelles est à ce point inquiétante que les entreprises devront tôt ou tard passer par une révolution de nature écologique. Comment les y obliger ? Au lieu de taxer les revenus, taxons l’utilisation des ressources et le gaspillage !
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S’il y a un sujet récurrent qui fait beaucoup jaser ces temps-ci, autant dans Québec Urbain qu’au sein des décideurs des différents paliers gouvernementaux (surtout en cette période préélectorale), c’est bien et toujours la pertinence ou non d’implanter un tramway à Québec! Au même moment, de multiples projets semblent se concrétiser dans l’est du pays: Laval, Outaouais, rive sud de Montréal et j’en passe…

Wikipédia, on le sait, est une véritable petite mine de renseignements. En complément d’informations, voici donc ce volumineux dossier que je vous invite à explorer. À consulter entre autres, la liste des tramways déjà implantés dans le monde!

Voir aussi ce billet.

Ah ! Que je rêve de voir ce genre de projet innovateur ici, à Québec, et au Québec ! Mais voyant le retard de la province et surtout de la ville de Québec, pour ce genre de projets, on peut se demander si nous vivons sur la même planète ?! Il y aurait sûrement des endroits intéressants dans ou près du centre-ville, pour permettre la construction de ce genre d’habitation.

On a à se rappeler le terrain vacant des anciennes Galeries Sainte-Anne, de la pointe-aux-Lièvres, ou bien donc pourquoi pas dans certains terrains contenant de vieux édifices commerciaux, industriels, qu’on pourrait reconvertir. Bref…

Source: Élodie Mazein, Agence France-Presse, 2 mars 2007

Les projets de construction de communautés écologiques, ayant pour leitmotiv «zéro carbone, zéro déchets», fleurissent au Royaume-Uni avec des engagements de plus en plus poussés en termes de préservation de l’environnement et des bâtiments de plus en plus vastes.

La réussite du projet précédent pousse en effet les concepteurs à aller toujours plus loin: la communauté New England Quarter à Brighton (sud de l’Angleterre), qui a reçu son permis de construire fin février, abritera 172 appartements –dont 54 à caractère social–, des entreprises, des espaces commerciaux et des espaces verts.

Le tout construit selon les dix principes «Habiter sur une seule planète» (One planet living, OPL), initiative conjointe du fonds mondial pour la nature WWF et de l’organisation de protection de l’environnement BioRegional.

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