Still, no city has managed to unseat Hall of Famer Quebec City. Keep reading for the reasons why it continues to earn T+L readers’ affections — and, of course, the full list of the best cities in Canada.
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Voir aussi : Publications & ressources Internet, Québec La cité, Tourisme.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Commercial, Tourisme.
BAptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Le secrétariat général de l’Organisation des villes du patrimoine mondial déménagera à Espace 400e, tout comme l’Office du tourisme de Québec, quand la Ville aura finalement mis la main sur le bâtiment fédéral du port. Mais ce sera après une nouvelle rénovation des lieux planifiée en 2021.
La cession pour un symbolique 1$ du 100, quai Saint-André avait été célébrée par la Ville et le gouvernement libéral de Justin Trudeau durant l’été 2019. Dans les faits, l’État canadien est toujours propriétaire.
«La transaction sera officialisée dans les prochaines semaines», indique cependant au Soleil le porte-parole municipal David O’Brien.
Un document récemment rendu public donne des détails sur le dessein de la mairie pour l’immeuble de verre de 5 étages : «Les étages supérieurs seront aménagés en espaces de bureau pour accueillir le siège social de l’Office du tourisme de Québec (OTQ) et celui de l’Organisation des villes du patrimoine mondial (OVPM).»
Il faudra toutefois aménager ce legs fédéral du 400e de 2008 avant d’y loger les nouveaux occupants. «La Ville est à évaluer le projet à l’interne, note David O’Brien, plusieurs étapes doivent être franchies une fois que la transaction sera conclue : plans et devis, appels d’offres, construction.»
«Le projet est prévu être réalisé en 2021.»
L’usage du reste du vaste bâtiment de 4115,3 mètres carrés (44 300 pieds carrés) sera précisé d’ici là. Dans son document, la mairie évoque une «opportunité très intéressante» d’organiser des «événements attractifs pour les touristes», tout près des navires de croisière. «La Ville propose donc une nouvelle vocation à cet immeuble […] pour le développement de ce secteur touristique en croissance. Le projet consiste à accueillir des organismes à but non lucratif (OBNL) actifs dans l’animation événementielle et touristique, afin qu’ils puissent disposer d’une place permanente pour animer les lieux.»
Nouveau départ
Si le projet se réalise tel qu’annoncé, le secrétariat général de l’Organisation des villes du patrimoine mondial fera ses boîtes pour la deuxième fois en quelques années. Fin 2017, l’ancienne conseillère municipale Julie Lemieux s’était rendue jusqu’en Corée du Sud pour mousser un premier déménagement. La Ville suggérait alors à l’OVPM de quitter son local de l’avenue Wilfrid-Laurier, près des plaines d’Abraham. La proposition acceptée : l’achat du 5, rue du Cul-de-Sac dans le Petit Champlain.
Voici que la mairie mentionne un nouveau départ vers les quais du port.
Du bureau de l’arrondissement
La soixantaine d’employés de l’Office du tourisme de Québec arriveront quant à eux du 399, Saint-Joseph Est. Cet immeuble de l’arrondissement La Cité-Limoilou, situé devant la bibliothèque Gabrielle-Roy, est vidé par la Ville. La majorité des quelque 250 fonctionnaires et élus qui y bossent doivent s’installer au YMCA Saint-Roch de la rue du Pont. Mais pas l’OTQ qui habitera Espace 400e.
Deux processus de vente
Rappelons que les tentatives d’animer le 100, quai Saint-André après les festivités de 2008 n’avaient pas été couronnées du succès escompté. Le gouvernement fédéral avait donc essayé de vendre à deux reprises Espace 400e. Des tentatives infructueuses, même s’il était offert à prix d’ami. D’abord évalué à 10,64 millions $, il pouvait être acquis pour 5,5 millions $. En 2019, le fédéral a finalement décidé de le donner la Ville de Québec.
Construit en 1984, le bâtiment a subi des rénovations de 9 millions $ en 2007, juste à temps pour le 400e anniversaire de la fondation d’un établissement français permanent par Samuel de Champlain et son équipage.
Le terrain d’Espace 400e fait 4204 mètres carrés et compte 35 places de stationnement.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Institutionnel, Québec La cité, Tourisme.
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Le propriétaire du Best Western du quartier Saint-Roch donne le coup d’envoi d’un projet immobilier évalué à 32 millions $ qui commencera par la construction de plus de 40 logements ainsi que d’un stationnement souterrain d’une centaine de places.
«Les travaux devraient débuter cet été», annonce au Soleil André Huot, collaborateur de l’hôtelier Joey Thiffault. Mais, déjà, des ouvriers sont à l’ouvrage.
Un grand terrain a été libéré entre les rues de la Salle et de la Reine, dans le quadrilatère coincé entre les rues de la Couronne et Dorchester. C’est là que sera joué le premier acte.
Autorisée par la Ville fin novembre, début décembre, la démolition de deux bâtiments d’habitation de 1920 et 1970 est réalisée. Et les fondations des voisins ont été renforcées.
Ainsi, dès l’été, André Huot pourra lancer la phase 1. «C’est un chantier qui va s’étendre sur un an.»
Que pourra-t-on voir au cours de ce premier tour de piste des développeurs? Le grand rectangle aujourd’hui délimité par des murets de béton temporaires sera d’abord vidé. «Le but de l’exercice, c’est d’avoir des stationnements souterrains pour l’hôtel Best Western existant.» Entre 90 et 120 voitures pourront s’y réfugier.
«Ça fait longtemps que M. Thiffault ne veut plus avoir de stationnements sur sol», observe André Huot. «C’est mieux pour l’environnement immédiat du quartier. C’est plus beau d’avoir un bâtiment que d’avoir un terrain de gravier.»
Justement, sur ledit stationnement érigé sous terre, il y aura des habitations. «Ça implique de la construction résidentielle aussi sur ces terrains-là. […] On construit 40 unités résidentielles locatives.»
«Il y aura deux bâtiments», poursuit M. Huot. «Un qui donne sur la rue de la Salle de quatre étages et un qui donne sur la rue de la Reine de trois étages.» Entre les deux? Il y aura «une cour intérieure agrémentée d’arbres».
«Probablement que ça va être mis en location pour juillet 2021. Les logements varieront de 600 pieds carrés à 1200 pieds carrés, de 3 ½ à 5 ½.»
Voilà pour le chantier de 2020-2021. «Pour cette partie-là, c’est une douzaine de millions [de dollars] au total.»
Phase 2 : jusqu’à 12 étages
Il y a pareillement du mouvement derrière le Best Western dont la devanture borde la rue de la Couronne. Une des compagnies de Joey Thiffault vient finalement de mettre la main sur la petite maison du 355, rue de la Salle. Cette acquisition permet de compléter un grand terrain sur lequel l’homme d’affaires rêve d’une tour de 12 étages.
Ici, il reste plus de fils à attacher avant de commencer l’excavation. «C’est dans un deuxième temps, dans une deuxième phase», insiste d’ailleurs André Huot. «On regarde pour construire, adjacent à l’hôtel existant, un nouveau bâtiment à usage mixte probablement résidentiel et hôtelier.» Il y aurait un stationnement souterrain. «Mais le projet reste à confirmer.»
Cette phase 2 est néanmoins avancée. Déjà en 2012, l’immeuble avait été intégré au plan d’urbanisme de la Ville de Québec, qui est favorable.
Aussi, quoique les détails ne soient toujours pas dessinés, M. Huot certifie que le désir d’aller de l’avant, plus tôt que tard, est bien réel. «On espère 2021. Ce n’est pas remis aux calendes grecques. Ça dépend du marché hôtelier, du marché résidentiel locatif. On va au gré du marché. C’est lui qui décide un peu ce qu’on fait, quand on le fait et comment on le fait.»
«Ce qui est assuré, c’est qu’il y a un bâtiment là avec un zonage d’une douzaine d’étages qui est possible et qu’on veut faire tout en bois massif. Un peu comme la tour Origine [de la Pointe-aux-Lièvres], mais avec une option hôtellerie.»
Le plan toujours à l’étude comporte un agrandissement du Best Western de la même hauteur que l’hôtel actuel, soit six étages. Au-dessus, il y aura des appartements. Reste à déterminer s’ils seront loués ou vendus en copropriétés.
«C’est un investissement qui va être autour de 20 millions $.»
10 ans de préparation
Voilà un bon moment que Joey Thiffault et André Huot préparent ce développement dans le quartier Saint-Roch. Ils ont acheté petit à petit des propriétés du secteur. «Ce sont des terrains qu’on assemble depuis plusieurs années, depuis au moins une dizaine d’années.»
Une entreprise de M. Thiffault possède d’ailleurs quelques autres terrains des alentours.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Tourisme.
Villes Régions Monde
Claudia Larochelle
Interview avec Étienne Berthold, professeur en géographie à l’Université Laval
Vous avez récemment mené des recherches sur le processus de patrimonialisation. Pourriez-vous nous en dire plus sur la recherche, son contexte et les principaux objectifs ?
Mon objet d’étude est le patrimoine urbain. Je m’intéresse à l’ensemble des processus qui accompagnent les transformations, la requalification des quartiers. Comment un quartier devient-il quartier historique ? Le processus de patrimonialisation est un objet d’étude qui est déjà très bien documenté à l’échelle du bien public. Mais à l’échelle de la propriété privée, je me demande de quelle façon un quartier historique peut devenir patrimonial pour les propriétaires. Autrement dit, comment « une maison » peut-elle devenir un symbole patrimonial ?
Au fil des années, je me suis penché sur les mécanismes qui sous-tendent le déploiement de l’idéologie patrimoniale à l’échelle de la propriété privée. En 2015, nous avons repéré des maisons à travers le Vieux-Québec (Figure 1) qui ont été restaurées par les propriétaires privés. Ensuite, nous avons fait l’analyse du discours des propriétaires à l’égard de cette restauration afin de savoir dans quelle visée celle-ci avait été effectuée. Effectivement, plusieurs de ces maisons ont été restaurées en fonction de l’idéologie patrimoniale, c’est-à-dire pour valoriser la dimension historique du bâtiment.
Il y a un discours voulant que les Québécois soient dépossédés de leurs biens par les propriétaires non-résidents (les absentee owners) dans le Vieux-Québec, nommément les Américains. L’objectif de la recherche était de se demander comment ce discours a pu se construire ? Et est-ce qu’il fait du sens par rapport à la réalité ? Qui sont ces propriétaires étrangers ? De quelle façon les discours se sont construits autour des propriétaires non-résidents dans le Vieux-Québec ? Qu’est-ce que ces discours cherchent à nous dire ? Est-ce que ces discours disent la vérité sur le phénomène des propriétaires non-résidents ? Voilà des questions qui animent mes plus récents efforts de recherche.
(…)
Est-ce que vous avez des résultats ? Quels seraient les premiers résultats que vous tirez de cette enquête de terrain ?
Une des premières choses qui nous a surpris, c’est que la proportion d’Américains est extrêmement basse : 90% des propriétaires non-résidents sont des Québécois qui vivent dans un rayon de 3 km2. Autrement dit, l’idée – largement répandue – que l’augmentation du nombre de propriétaires américains soit reliée à une hausse des valeurs immobilières n’est pas une équation à systématiser, même si cela peut arriver en fonction de la demande. Il y a plusieurs sens à la notion de spéculation, mais dans le cas du Vieux-Québec, le constat est qu’il n’y a pas de grands propriétaires qui possèdent des grands ensembles. Le phénomène en cours correspond plutôt à de la petite spéculation, à l’échelle individuelle.
Au niveau théorique, le constat est que nous sommes en présence d’une pratique discursive, qui s’est immiscée dans l’espace public et qui ne correspond pas complètement à la réalité. En tant que chercheur en histoire culturelle, je cherche à comprendre comment ce discours s’est construit et le comparer avec la réalité effective. En ce sens, les collaborations avec des collègues ayant développé des approches méthodologiques qualitatives et quantitatives offriront un contexte de recherche pluridisciplinaire nécessaire à la compréhension du phénomène des propriétaires non-résidents.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Tourisme.
Kathryne Lamontagne
Journal de Québec
Le Réseau de transport de la Capitale a finalement accepté de dévoiler les données d’achalandage de ses deux parcours desservant l’aéroport, qui affichent un bon départ. Il aura fallu six mois, des démarches répétées et deux demandes d’accès à l’information, mais Le Journal a finalement été en mesure de connaître la popularité des trajets 76 et 80, en vigueur depuis cet été. Jusqu’ici, le RTC se bornait à ne vouloir dévoiler les chiffres qu’après une année d’activité des tracés menant à l’aérogare.
Dans un document transmis à la mi-janvier grâce à la loi sur l’accès à l’information, on apprend que le nouveau parcours 76, qui relie l’aéroport aux gares d’autocars et de trains de Sainte-Foy, a connu plus de 121 000 passages entre le moment de sa mise en service, le 15 juin dernier, et le 31 décembre.
Le parcours 80, qui existait déjà, a toutefois vu sa fréquence être augmentée et son tracé modifié pour rejoindre l’aéroport. Entre le moment de ces modifications, à la mi-août, et le 31 décembre, 250 000 montées ont été enregistrées. Cela représente 10 000 passages de plus que pour la même période l’année précédente.
Il s’agit de bons débuts pour ces nouveaux trajets, le 76 s’inscrivant dans les 25 meilleurs parcours du réseau malgré ses quelques premiers mois d’existence, alors que le 80 se classe en 10e position.
« On est satisfait », avance la porte-parole du RTC Brigitte Lemay. « Habituellement, on dit que ça prend trois ans avant de voir les effets d’un nouveau parcours ou d’une modification. On est sur la bonne voie », précise-t-elle.
Reste maintenant à savoir si les usagers des parcours 76 et 80 se rendent régulièrement jusqu’à la toute fin du tracé, à l’aéroport. « Cela fera partie de nos analyses plus poussées au terme d’une première année complète d’exploitation. De façon préliminaire, environ 200 à 250 personnes utilisent les services à l’aéroport sur un jour de semaine sur les deux parcours », a exposé Mme Lemay.
NOMBRE DE DÉPLACEMENTS (VALIDATIONS DE LA CARTE OPUS)
Nouveau parcours 76 : 121 462 (du 15 juin au 31 décembre 2019)
Parcours 80 : 251 638 (du 1er août au 31 décembre 2019)
Parcours 80 : 242 618 (du 1er août au 31 décembre 2018)
À titre de comparaison, les parcours réguliers génèrent généralement entre 20 000 et 750 000 passages par année. Les Métrobus, qui comptent pour 60 % de l’achalandage total du RTC, varient entre 1,8 et 6,7 M de déplacements annuellement.
* Les caractères gras pour les délais reliés à l’information sont de Québec Urbain
Voir aussi : Tourisme, Transport, Transport en commun.
Architectural Digest
Not all streets are created equal. Take the colorful Caminito that anchors Buenos Aires’s La Boca neighborhood: It not only provides visitors with a vibrant photo op but also serves as a reminder of how the neighborhood was built in the 19th century. Streets, however, don’t have to offer a history lesson or be rendered in Technicolor to be charming. Some are notable for their stunning natural features, such as the cherry blossom tunnel in Bonn, Germany, which makes an appearance for a few short weeks every spring. Here AD surveys 29 of the most beautiful streets in the world.
(…)
Quebec City, Canada
Quebec City makes a strong argument for being Canada’s most beautiful locale. And it’s with streets like Rue du Petit Champlain that makes it tough to beat. The charming, European-inspired street is lined with unique boutiques and bistros. This picture-perfect area is truly enjoyable during any season of the year.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Québec La cité, Tourisme.
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Le défunt hôtel Manoir Charest disparaîtra sous peu. Dès que la Ville apposera le dernier sceau sur les plans, un immeuble de briques de six étages abritant 36 appartements touristiques poussera rapidement sur le grand lot du coin du boulevard Charest Est et de la rue Dorchester. Ouverture annoncée des Lofts Dorchester : 1er juillet. «On devrait démolir, si tout va bien, jeudi», annonce le copropriétaire de Kudos immobilier (Les Lofts du Vieux-Québec), Patrick Thériault. Durant la première phase du chantier, 24 logements avec cuisine seront construits à l’intersection achalandée. Dès cette portion du bâti terminée, les ouvriers s’attaqueront à la seconde aile érigée sur le terrain situé à l’arrière, rue Notre-Dame-des-Anges. Là, 12 logis de plus seront loués.
«C’est la première fois qu’on met un édifice à terre et qu’on repart dans le neuf», observe M. Thériault. L’entreprise avait plutôt l’habitude d’acheter des maisons du Vieux-Québec, du Vieux-Port et de Saint-Roch et d’en remodeler complètement l’intérieur pour ensuite les offrir aux touristes.
(…)
Poursuivant l’expansion de Kudos immobilier selon le même modèle d’affaires, le constructeur ajoutera donc 36 appartements touristiques à son portefeuille lorsque les Lofts Dorchester seront dressés. Un bâtiment dont l’apparence a été pensée pour s’intégrer dans la Basse-Ville : «On ne voulait pas faire du “Vieux-Québec” dans le quartier Saint-Roch. Je tenais vraiment à ce qu’on aille chercher le vieux style de Saint-Roch.» Il évoque une «architecture manufacturière» avec de grandes fenêtres à carreaux.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Tourisme.
KARINE PROUST
Châteauneuf-sur-Charente, France
Point de vue
Le Soleil
Douces sont les promenades au fil des quartiers de Québec. Pendant mon séjour, j’ai marché pendant des heures sans jamais me lasser. Chaque coin de rue était une nouvelle découverte soit vers un quartier, soit sur une nouvelle vue qui s’offrait à moi. Que vous aimiez ou non la culture, l’histoire, la nature, le tourisme, le shopping, Québec est une invitation à la flânerie, à la poésie, un savoureux mélange de rencontres surprenantes, délicieuses et inattendues.
En me promenant du côté de la Gare du Palais, 40 chaises «poétiques», oeuvre de l’artiste Michel Goulet, vous offre le privilège de vous asseoir sur des poèmes ou de déambuler entre ceux-ci. C’est ici que j’y ai rencontré Denis Côté, fils du peintre impressionniste de Maizerets, Valmont-Côté (1921-2003) qui, me voyant admirer l’installation, se mit tout naturellement à me conter la culture québécoise. Et c’est ainsi qu’en parlant avec lui, j’appris que la fontaine Charles Daudelin derrière lui avait sa petite soeur à Paris, place du Québec, et là, en toute parisienne que je suis, alors que j’ai sillonné des milliers de fois la ville qui m’a vu naître, rien de pareil me rappelait cette fontaine. Soit dit entre nous, je suis allée voir sur internet et effectivement je l’ai trouvée.
Denis Côté me parla de l’oeuvre de son père avec douceur, simplicité et humilité. Il attendait sagement le bus qui le conduirait à Baie-St-Paul afin d’y chercher les toiles de son père qui ont été récemment exposées dans ce joyau d’artisanat. Ce fut une belle rencontre.
Un petit détour et hop me voilà sur le lieu historique Cartier-Brébeuf, là où une autre partie historique vous emmènera sur les traces de Jacques Cartier.
C’est pour cela que je marche autant. Pour laisser l’imprévu et la possibilité des rencontres de lieux, de personnes ou d’animaux… Car vous ne pourrez pas rater les rendez-vous impromptus avec les écureuils aux pelages bien fournis. J’ai beaucoup observé leurs allers et venues aux Plaines d’Abraham ou dans le centre-ville. Ils sont vifs. Je n’ai pu les approcher qu’aux abords de la Rivière St-Charles lors d’une de mes grandes balades quotidiennes. J’avais emmené quelques noix avec moi au cas où… Et j’en fut bien heureuse! Les écureuils arrivaient en courant très proches de moi car ils savaient, sans doute par habitude, puisqu’il est fréquent de voir les habitants leur donner à manger, qu’un petit mets les attendaient. Quelques noix, quelques petits moments à les observer et ma route reprenait son cours jusqu’à l’exposition extérieure proposée par Avocats Sans Frontières Canada devant le centre récréatif de St-Roch. Le photographe Lassine Coulibaly nous plonge au travers de ses photos au coeur de la violence faites sur les femmes et filles durant les conflits au Mali. Les photos et légendes en disent long…
(…)
Québec, havre de paix, pour moi parisienne qui connaît le stress permanent d’une ville agitée sous toutes ses formes, merci pour l’accueil si chaleureux qui fait du bien au coeur. Une parisienne de passage qui resterait bien chez vous. Je reviendrai car je me garde d’autres visites comme celle de l’observatoire et du musée des plaines d’Abraham entres autres.
Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Témoignage, Tourisme.
FlightNetwork
Ask any urbanite in the world, and they will probably tell you their city is the best. So, Flight Network set out to name the World’s Best Cities© by asking the experts — a 1000+ Travel Writers, Travel Bloggers and Travel Agencies from all around the globe, who have seen and experienced the best the planet has to offer.
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Voir aussi : Conférences / évènements, Tourisme.