Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Transport en commun »

Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval: Agir sur la congestion routière par la recherche

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 octobre 2019 1 commentaire

Le Soleil
CAPITALES STUDIO
Une réalisation du service de la promotion

La congestion frappe de plus en plus le réseau routier de Québec et cause bien des casse-têtes. Les émissions de gaz à effet de serre (GES), les retards et la perte de productivité sont quelques-uns de ces désagréments. Les données récoltées sur le réseau routier et dans les véhicules permettent toutefois d’optimiser le transport, la consommation d’essence et les émissions de GES. C’est la spécialité de Leandro C. Coelho, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en logistique intégrée et professeur au Département d’opérations et systèmes de décision à la FSA ULaval, qui a d’ailleurs de grandes ambitions pour Québec.

Quel est le meilleur trajet pour un camion de livraison? Quelles sont ses heures de départ et de retour idéales ? Comment réduire au maximum le temps que passera le véhicule dans la congestion routière? C’est le genre de questions sur lesquelles Leandro C. Coelho a beaucoup travaillé ces dernières années pour des entreprises privées de différents secteurs d’activité. De plus en plus, il colla­bore avec des organisations publiques et parapubliques telles que le Réseau de transport de la Capitale, dont il a d’ailleurs optimisé les trajets d’autobus pour réduire le temps de transit.

«Notre travail permet des économies d’essence, une baisse de la congestion routière, une diminution du nombre total d’heures de travail rémunérées des chauffeurs, une amélioration du service à la clientèle et, bien sûr, une réduction des émissions de GES», se réjouit Leandro C. Coelho, qui est membre du Centre interuniversitaire de recherche sur les réseaux d’entreprise, la logistique et le transport. Ce dernier relève de huit universités partenaires québécoises et participe au Centre d’innovation en logistique et chaînes d’approvisionnement durables.

(…)

SAVIEZ-VOUS QUE ?

Plus de 6,6 millions de véhicules étaient immatriculés au Québec en 2018, pour 5,4 millions de permis de conduire valides.

Environ 10 000 voitures sont immatriculées par année à la Ville de Québec.

En 2017, la région de Québec-Lévis comptait 1,43 véhicule par ménage et 2,1 millions de déplacements.
L’heure de pointe maximale du matin, entre 7 h et 8 h, gagne en intensité avec plus de 251 700 déplacements. Quant à l’heure de pointe maximale de l’après-midi, plus forte que celle du matin, elle se situe entre 16h et 17h et atteint 284 000 déplacements.

En moyenne, on retrouve 1,2 personne par véhicule à l’heure de pointe du matin.

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Voir aussi : Transport, Transport en commun.

Autoroute Laurentienne, boulevard urbain, Place Fleur de Lys et autres sujets

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 octobre 2019 2 commentaires

François Bourque
Le Soleil

(…)

Au plan urbain, la démolition annoncée du vieux Colisée est plutôt une bonne nouvelle.

Il y a quelques années encore, j’aurais craint que la Ville récupère l’espace pour agrandir le stationnement. Il est aujourd’hui permis d’espérer qu’on lui trouvera un meilleur usage.

Le maire Labeaume a d’ailleurs évoqué ces jours derniers l’intérêt de promoteurs pour ce terrain.

On pourrait imaginer une nouvelle rue qui passerait à la porte du Grand Marché, côté est, offrant la possibilité d’une façade sur rue à de futurs immeubles à construire sur le site du Colisée.

Le site d’ExpoCité y perdrait un peu en superficie, mais y gagnerait en qualité urbaine et en vitalité.

À l’époque où elle plaidait pour la construction d’un nouvel amphithéâtre, l’administration Labeaume faisait miroiter l’important développement immobilier qui allait suivre. Et les taxes qui en résulteraient.

Le raisonnement était un peu court. L’expérience nord-américaine montre que construire un nouveau stade n’a pas un effet automatique sur le développement du voisinage.

D’autres conditions doivent y être et des investissements publics sont généralement nécessaires pour rendre le secteur attrayant pour des développeurs.

Il aura fallu plus de vingt ans avant de voir des grues autour du Centre Bell à Montréal. Le marché immobilier n’était pas prêt avant.

(…)

On ne le voyait pas venir au début, mais l’objectif est aujourd’hui de déborder du site d’ExpoCité et de créer un tout nouveau quartier pouvant assurer le lien entre Limoilou, Saint-Roch, Saint-Sauveur et Vanier.

Cette vision est tributaire de la transformation de l’autoroute Laurentienne en boulevard urbain. On parle du tronçon entre la rue Soumande, au nord de Fleur de Lys et la rue de la Croix-Rouge, près du parc Victoria.

L’idée de transformer ce tronçon est dans l’air depuis quelques décennies, encouragée par des architectes, urbanistes et universitaires et groupes de citoyens. La Ville de Québec y est favorable, mais la décision appartient au ministère des Transports (MTQ) où un «dossier d’opportunité» est toujours à l’étude.

La valeur dominante au MTQ a longtemps été la fluidité (et la vitesse) de la circulation automobile. On le sent aujourd’hui plus ouvert à d’autres enjeux d’urbanisme, mais le réflexe de l’autoroute, encouragé par des radios privées, reste difficile à briser.

Le MTQ est conscient du «prix politique» qu’il lui faut payer chaque fois qu’il renonce à un kilomètre d’autoroute.

L’autre «pièce maîtresse» de ce nouveau quartier, liée à la première, est la transformation du centre commercial Fleur de Lys.

Les propriétaires William et Jonathan Trudel souhaitent faire éclater le modèle déclinant de la galerie marchande entourée de stationnements de surface.

(…)

Le promoteur Jonathan Trudel en a fait une tournée avec l’architecte de Québec Érick Rivard pour recenser les meilleures pratiques et repérer les erreurs à éviter.

M. Trudel a aussi rencontré des groupes d’étudiants en design urbain venus lui soumettre des scénarios pour Fleur de Lys. Des idées très «intéressantes», a-t-il perçu.

(…)

La Ville de Québec, qui a mené une consultation publique l’hiver dernier sur l’avenir de ce secteur, devrait faire connaître ses orientations au début 2020. Il est envisagé un nouveau programme particulier d’urbanisme (PPU) pour ce secteur, ce qui mettrait le projet à l’abri de toute contestation référendaire.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art de vivre en ville, Commercial, Densification, Tramway à Québec, Transport, Transport en commun.

Le tramway est la meilleure option pour Québec, conclut une étude comparative

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 octobre 2019 59 commentaires

Étude Systra Texte complet

Taïeb Moalla
Journal de Québec

Comme le métro coûterait quatre à cinq fois plus cher que le tramway, l’étude comparative des systèmes de transport lourds, commandée par la Ville de Québec, conclut que «le tramway est la meilleure option pour Québec».

L’analyse réalisée par la firme Systra Canada, qui travaille déjà sur la conception du tramway de Québec, a porté sur quatre modes différents de transport lourds : le tramway, le train léger sur rail (SLR), le monorail et le métro en souterrain.

Pour comparer ces systèmes, on a utilisé quatre critères : les conditions d’insertion, la fiabilité des systèmes dans des conditions hivernales, la disponibilité technologique et les coûts.

Dans un premier temps, ces critères ont permis d’exclure le SLR et le monorail et de retenir le métro et le tramway. La recommandation finale s’est par la suite portée sur le tramway.

Cinq fois plus cher pour le métro

Le même montant d’investissement de 2,2 milliards$, qui permet de construire 23 km de tramway, ne permettrait de construire que 5 km de métro, calcule-t-on. Le coût d’investissement est compris entre 25 et 45 millions$ du kilomètre pour le tramway contre 100 à 200 millions$ du kilomètre pour le métro. Le coût d’exploitation est de 10 à 15$ (par véhicule par kilomètre) pour le tramway contre 11 à 17$ pour le métro.

(…)

Si le métro présente plusieurs avantages en terme de fréquence, de vitesse et de confort, «ce mode de transport a des coûts de réalisation élevés. Il est presque cinq fois plus coûteux que le tramway, car c’est un mode souterrain, De plus, la nature des sols, inconnue à ce stade d’étude, est porteuse de nombreuses incertitudes potentiellement susceptibles de renchérir des coûts», écrit-on.

Maud Bernard, de la firme Systra, a défendu l’indépendance «intellectuelle» de l’étude en affirmant que les équipes de travail ayant planché sur l’analyse sont différentes de celles qui travaillent déjà sur la conception du tramway.

Les conclusions de Systra ont été «révisées» et «validées» par Jacques Roy et Robert Gagné. Ces deux professeurs de HEC Montréal ont appuyé la recommandation formelle d’opter pour le tramway. «Les investissements requis pour un métro à Québec seraient tout simplement exorbitants», confirment-ils.
Le professeur Gagné a ajouté «qu’on a été rassurés sur la capacité de faire fonctionner un tramway en hiver».

Un scénario optimal ferait en sorte qu’une rame de tramway de 260 passagers aurait une fréquence de 4 minutes en heure de pointe, d’après Systra. «Ce système permettrait de répondre à la demande au moins jusqu’en 2041», écrivent MM. Roy et Gagné.

M. Roy a cependant convenu que la Ville de Québec devra relever «le défi de sortir les gens de leurs voitures» pour qu’ils optent pour le tramway.

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Le communiqué de la Ville

Une différente évaluation de l’étude métro-tramway de Systra – Robert VandeWinkel, Ingénieur: Un entretien au FM93 de Monsieur VandeWinkel, membre fondateur de  »J’y vais en mnétro »

Voir aussi : Projet - Tramway, Transport en commun.

Nova Bus lance un nouveau bus électrique à forte autonomie entre les recharges

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 octobre 2019 1 commentaire

La Presse Canadienne

NEW YORK — Le fabricant québécois d’autobus urbain Nova Bus lance son nouvel autobus 100 % électrique, le LFSe Plus, qui peut rouler de 340 à 470 kilomètres entre les recharges selon la demande énergétique et les conditions d’exploitation.

Ce nouveau véhicule est présenté à New York à la conférence de l’American Public Transportation Association.

Nova Bus affirme que le LFSe Plus utilise des matériaux de pointe, dont le carbure de silicium, pour améliorer la gestion thermique. Un poids plus faible et une plus grande densité énergétique contribuent aux performances du véhicule et à sa durabilité.

Le moteur électrique, doté d’un système modulaire intégré, diminue les coûts d’entretien de façon importante et n’émet aucun gaz à effet de serre.

Le LFSe Plus propose deux méthodes de recharge. D’abord, la technologie OppCharge à interface commune, qui utilise un pantographe fixé à une infrastructure externe pour une recharge rapide en service. Pour sa part, la recharge au garage se branche directement au véhicule afin de transférer le courant à la batterie lorsque l’autobus est à l’arrêt.

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* Merci à un fidèle lecteur

Voir aussi : Transport, Transport en commun.

RTC: nouveau site web en version bêta

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 octobre 2019 Commentaires fermés sur RTC: nouveau site web en version bêta

Le site internet

Voir aussi : Transport en commun.

Est-ce le début de la fin du Phare?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 octobre 2019 8 commentaires

François Bourque
Le Soleil

CHRONIQUE / Le nouveau délai de deux années pour une mise en chantier annoncé par le promoteur Michel Dallaire et le licenciement de 71 employés affectés au projet rendent la question inévitable : est-ce le début de la fin pour le projet du Phare et de sa tour de 65 étages?

Le conseiller exécutif de la Ville de Québec, Rémy Normand, parle d’un simple «pas de côté», mais les signaux s’additionnent sur les difficultés du projet.

L’argument voulant qu’il faut mettre Le Phare sur pause le temps de revoir les plans du pôle d’échanges d’autobus est incontournable.

Un promoteur ne peut pas continuer à planifier une construction s’il sait que les plans, les volumes à prévoir et les accès au sous-sol sont appelés à changer.

On note ici que ce n’est pas le promoteur qui a demandé à revoir les plans et qu’il est en cela une victime des circonstances.

Cette pause forcée arrive cependant à un moment presque providentiel pour le promoteur Dallaire qui peinait à rassembler les conditions lui permettant de mettre son projet en chantier.

Non seulement n’aura-t-il plus à expliquer pourquoi son projet tarde tant, mais la Ville vient de lui donner un excellent motif pour réclamer un dédommagement pour le retard.

Je ne suis pas l’avocat de la Ville ni celui du Groupe Dallaire, mais un projet qui retarde coûte plus cher et quelqu’un finit par devoir payer.

Et si le projet devait être abandonné, le promoteur pourra maintenant en rejeter une part de responsabilités sur la Ville.

Depuis la rupture avec Cominar, Michel Dallaire pilote seul le projet du Phare. Il n’a pas fait de cachette de ses difficultés à trouver assez de locataires pour lancer le projet.

Ni de ses difficultés de financement pour un projet initialement évalué à 755 millions $, mais dont le coût risque de grimper avec les retards. Des locataires pourraient se lasser d’attendre une date de livraison qui devient de plus en plus hypothétique.

Il n’y a par ailleurs toujours pas d’entente sur le partage des factures d’infrastructure municipales liées au Phare.

(…)

Relocaliser le pôle d’échanges permettrait un tracé de tramway plus direct vers le marché public et d’éviter un détour de 600 mètres par Le Phare dans un tunnel en «U» compliqué et coûteux.

Et si le projet de Phare devait s’éteindre, on éviterait de se retrouver avec un pôle d’échanges avec rien au-dessus, dans le voisinage ingrat des bretelles d’autoroutes.

Si la Ville a de bonnes raisons de maintenir quand même le site du Phare, elle devrait expliquer pourquoi, plutôt que de servir des réponses arrogantes (et parfois mensongères) qui desservent le projet et l’intérêt public.

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Projet - Le Phare de Québec, Projet - Tramway, Transport en commun.

Industrielle Alliance avait un projet de pôle d’échanges

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 octobre 2019 3 commentaires

Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec

Le Groupe Dallaire n’était pas la seule entreprise en lice pour accueillir un pôle d’échanges sur le boulevard Laurier. Industrielle Alliance a aussi présenté à la Ville un projet qui prévoyait la construction de quatre nouveaux immeubles.

La présentation a été effectuée il y a environ «deux ans et demi», confirme la direction. Le site en question est situé à l’angle du boulevard Laurier et la route de l’Église, sur les terrains adjacents à l’édifice hébergeant les travailleurs du ministère de la Justice.

«À ce moment, notre proposition ne tenait pas compte du tramway. Il y avait une portion souterraine et une externe dans notre projet», explique au Journal le vice-président aux placements immobiliers chez Industrielle Alliance, Mario Bédard.

Pour le moment, aucune nouvelle discussion n’a eu lieu avec des représentants de la municipalité. Et la Ville a assuré, jeudi, qu’il n’était pas question de revoir le site pour le pôle d’échanges du réseau structurant de transport en commun, et ce, même si de nouvelles analyses seront effectuées au cours des prochains mois.

Quatre immeubles

Le plan d’Industrielle Alliance prévoyait la sortie de terre de deux immeubles d’environ neuf étages sur le terrain entre le bâtiment du ministère de la Justice et la route de l’Église. Deux autres édifices d’une même hauteur étaient aussi prévus dans le stationnement à l’arrière du magasin Canadian Tire.

Industrielle Alliance n’était pas en mesure de fournir, jeudi, les coûts entourant ce projet. La société se dit toutefois prête à refaire ses devoirs pour y intégrer le tramway à son développement présenté en 2017. Cette année-là, il était question de l’aménagement d’un service rapide par bus.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Projet - Tramway, Transport en commun.

Un nouveau partenariat entre le RTC et Communauto pour la mobilité intégrée

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 octobre 2019 Commentaires fermés sur Un nouveau partenariat entre le RTC et Communauto pour la mobilité intégrée

En conférence de presse le 10 octobre, le Réseau de transport de la Capitale (RTC) et CommunautoCommunauto, pionnière en Amérique, en tant que gestionnaire du plus ancien et de l’un des plus importants services d’autopartage, ont annoncé un nouveau partenariat. Des espaces réservés dans certains Parc-O-Bus (POB), la localisation de stations et des voitures libre-service en temps réel, la réservation à même l’application RTC Nomade temps réel et la création d’un « forfait intégré » seront déployés graduellement jusqu’au printemps 2020 au bénéfice des clients. Il s’agit d’un jalon important de la mobilité intégrée.

La mobilité intégrée permettra à chacun de choisir son mode de transport adapté au secteur où il se trouve, aux conditions du moment et aux types de déplacement, le tout sur une même plateforme numérique. Ce partenariat avec Communauto est donc marquant pour la mobilité urbaine, que ce soit pour l’offre de services, les infrastructures, la tarification et l’information à la clientèle.

(…)

Désormais, des espaces de stationnement seront réservés à ces véhicules commun dans huit (8) POB locaux et régionaux. Il s’agit d’un pas de plus vers la mobilité intégrée, objectif précisément défini dans le Plan stratégique 2018-2027 du RTC.

Dès cet automne, le premier volet du partenariat consacrera deux espaces de stationnement identifiés pour les voitures en autopartage de Communauto dans cinq POB locaux et un régional. Il s’agit des POB 41e Rue / 1re Avenue, Carrefour Les Saules, Jardin zoologique, Promenades Beauport, Pie-XII (coin Quatre-Bourgeois) et Le Gendre. Ensuite, dès leur ouverture, les futurs POB Bastien et Sainte-Anne comprendront également ces deux espaces.

Le point majeur de l’entente vise l’intégration des données de Communauto dans l’application RTC Nomade temps réel, l’application mobile du RTC qui permet notamment la consultation d’horaires en temps réel et la création d’itinéraires. Dès cet automne, l’utilisateur pourra donc localiser les stations Communauto ainsi que les voitures en libre-service (voitures FLEX) sur la carte de l’application mobile. La réservation sera également possible à même l’interface de l’application à l’hiver 2020.

Pour appuyer ce nouveau partenariat, le RTC offrira aux intéressés un « forfait intégré » qui inclura le titre de transport mensuel général du RTC pour un mois donné, et 10 courses FLEX Communauto de 30 minutes ou moins. Il sera disponible dès le printemps 2020 à 99 $.

Finalement, Communauto bonifie le Duo Auto+Bus en ajoutant le retour tardif gratuit. Le Duo Auto+Bus permet déjà à l’abonné d’avoir L’abonne BUS du RTC et l’abonnement à un forfait avantageux Communauto en autopartage. Afin de faciliter certains déplacements pour les abonnés, le retour tardif gratuit leur permettra de conserver la voiture la nuit sans frais additionnels (23 h à 7 h).

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Projet Le Phare: Construction reportée dans 2 ans

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 octobre 2019 12 commentaires

Jean-François Nadeau
Radio-Canada

La construction du Phare sera reportée deux ans en raison des délais provoqués par le projet de réseau de transport structurant, ce qui force la mise à pied de 71 employés du Groupe Dallaire.

Plus précisément, c’est la conception du pôle d’échange du réseau de transport en commun qui accuse du retard.

Selon Rémy Normand, vice-président du comité exécutif, les plans sont plus compliqués que prévu à dessiner parce que le ministère des Transports exige maintenant que l’interconnexion avec la Rive-Sud soit intégrée à ce pôle.

« Imaginez qu’il y a des bus de la Rive-Sud qui vont entrer, que le tramway va être là avec un corridor de connexion au pôle, que les bus du RTC vont rentrer, les express, le métrobus et tout ça alors il faut vraiment le penser comme il faut », justifie l’élu de l’administration Labeaume.

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Plus de 70 employés perdent leur emploi chez Groupe Dallaire (Journal de Québec)

Le communiqué du Groupe Dallaire

Le maire de Lévis blâme la Ville de Québec Le Soleil

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Projet - Le Phare de Québec, Tramway à Québec, Transport, Transport en commun.

«Partenaires» recherchés pour 16 sites liés au futur tramway

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er octobre 2019 1 commentaire

Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec

La Ville de Québec veut s’associer au privé pour développer 16 sites stratégiques liés au futur réseau structurant de transport collectif.

Le Service du développement économique et des grands projets cherche des «partenaires» pour les quatre stations de tramway souterraines du centre-ville, les deux terminus en fin de ligne, les pôles d’échanges Saint-Roch et D’Estimauville, les Parc-O-Bus Bastien et Legendre puis sept autres stations extérieures du futur tramway dans Limoilou, à Sainte-Foy et en haute-ville.

«La construction de ces infrastructures générera un achalandage élevé et représente un potentiel de développement intéressant pour d’éventuels partenaires», peut-on lire dans un appel d’offres lancé hier.
La Ville cherche d’abord et avant tout à recruter une firme qui l’accompagnera dans l’évaluation du potentiel de développement immobilier des 16 sites ciblés ainsi que l’évaluation de leurs valeurs commerciales et foncières.

Chacun des sites devra faire l’objet d’une analyse poussée pour déterminer les usages (commercial, résidentiel, bureau, hôtellerie, etc.) qui seront priorisés.

Plusieurs formes de partenariat

Divers modèles de partenariat avec le secteur privé sont envisagés par la Ville en fonction de l’intérêt du marché pour chaque site (propriété des actifs, rente, location, etc.).

Le fournisseur qui sera sélectionné pour « accompagner » la Ville devra la conseiller sur les stratégies de développement, de démarchage et de sélection des partenaires.

«Les sites très variés attireront des partenariats tout aussi uniques. À titre d’exemple, pour le pôle d’échange D’Estimauville, le RTC détient un terrain d’une superficie approximative de 18 000 mètres carrés : un ou plusieurs partenaires pourraient manifester leur intérêt à développer ce site en partenariat avec le RTC, afin d’en faire une destination et un lieu prisé pour la communauté», expose-t-on dans la documentation.

Jusqu’à 20 000 clients par jour

Les pôles d’échanges seront les infrastructures les plus achalandées du réseau avec 10 000 à 20 000 clients par jour, selon les estimations de la Ville.

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Voir aussi : Projet - Tramway, Québec La cité, Transport en commun.