Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Transport »

Rénovations sur dix ans pour le stationnement d’Youville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 janvier 2021 6 commentaires

Source: Jean-Luc Lavallée, Journal de Québec, le 28 janvier 2021

Après le stationnement du complexe G, celui de la place D’Youville au centre-ville subira à son tour une cure de rajeunissement qui s’échelonnera sur une «dizaine d’années», a appris Le Journal.

La Société québécoise des infrastructures (SQI) est encore au stade de la planification de ce grand chantier.

Selon toute vraisemblance, il ne débutera pas en 2021 même s’il est inscrit dans la liste des projets que le gouvernement Legault souhaite accélérer, dans la région de la Capitale-Nationale, pour la relance de l’économie.

la suite

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Institutionnel, Transport.

Consultation publique sur la vision de la mobilité active

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 janvier 2021 Commentaires fermés sur Consultation publique sur la vision de la mobilité active

Bonjour M. Gobeil,

J’ai participé à la phase 2 de consultation de la ville et l’utilisation des cartes interactives est tout simplement géniale, j’invite tous les participants de Quebec Urbain à y participer.(L.P. Simard)

Pour participer à la consultation

Bonjour,

Comme vous le savez sans doute, la Ville lançait l’automne dernier une importante consultation publique en vue de l’adoption, en 2022, de sa Vision de la mobilité active. Vous avez été nombreux à y participer et nous sentons un bel engouement de la part de chacun d’entre vous pour voir naître ce beau projet!

Sachez que notre travail se poursuit et c’est d’ailleurs pourquoi vous recevez ce nouvel appel à participation aujourd’hui. Jusqu’au 31 mars, vous êtes invités à nous partager vos idées à partir de notre carte interactive. Ajout de trottoir, prolongation d’un lien cyclable ou encore installation d’un support à vélo près d’un escalier sont autant de propositions que vous pourrez faire en ligne. Pour participer, rien de plus simple, visitez dès maintenant notre plateforme de participation publique.

Vous souhaitez pousser la réflexion un peu plus loin? Sachez qu’il vous est aussi possible de déposer un mémoire pour nous faire part, plus en détails, de vos besoins ou enjeux en matière de déplacements actifs. Avant de procéder, consultez les sujets qui ont déjà été traités dans le forum de discussion et dans la boîte à idées à même la plateforme. N.B. Si vous représentez un organisme qui a participé aux ateliers, il n’est pas nécessaire de traiter des sujets abordés durant ceux-ci dans votre mémoire.

Nous vous remercions une fois de plus pour votre précieuse collaboration dans la construction de cette belle Vision pour Québec!

Pour en savoir davantage sur la Vision ou sur notre démarche participative, visite notre site internet.

Merci de partager ce message dans votre réseau.

Équipe de participation publique
Service de l’interaction citoyenne
Ville de Québec
Consultations@ville.quebec.qc.ca
www.ville.quebec.qc.ca

Voir aussi : Transport, Vélo.

Le laissez-passer mensuel Général disponible sur l’application RTC Nomade paiement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 janvier 2021 Commentaires fermés sur Le laissez-passer mensuel Général disponible sur l’application RTC Nomade paiement

Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) annonce qu’il sera possible d’acheter dès aujourd’hui un laissez-passer mensuel de catégorie générale sur son application de paiement mobile gratuite, RTC Nomade paiement. Les titres mensuels achetés pourront être utilisés par les clients du RTC et du STAC dès le 1er février 2021.

Rappelons que le déploiement des titres disponibles sur l’application est graduel afin de familiariser la clientèle et les chauffeurs à cette nouvelle méthode de paiement sans contact.

Depuis le 18 juin 2020, les titres occasionnels Général (1 passage, 1 jour, 5 jours consécutifs, Week-end illimité) sont disponibles sur l’application. Depuis le 14 décembre dernier, les clients peuvent également se procurer certains titres de transport de la Société de transport de Lévis (1 billet, 4 billets, 8 billets, 12 billets). Les titres réduits (avec photo, pour les aînés et les étudiants) et le Métropolitain seront disponibles ultérieurement.

La suite

Voir aussi : Transport en commun.

Le transport en commun espère rebondir après la pandémie

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 janvier 2021 Commentaires fermés sur Le transport en commun espère rebondir après la pandémie

Jacob Serebrin
Presse Canadienne

(Montréal) La pandémie de COVID-19 a entraîné une chute importante de la fréquentation des transports en commun à travers le Canada, mais de nombreuses villes ont décidé de maintenir les niveaux de service cette année, tandis que d’autres ont même choisi de développer leur réseau.

Peu de temps après que la crise sanitaire mondiale a atteint le Canada, les taux d’utilisation des transports en commun à travers le pays ont chuté d’environ 85 %, selon Matti Siemiatycki, professeur au département de géographie et de planification de l’Université de Toronto.

Cet expert en matière de politiques de transport a souligné que les agences de transport en commun au Canada craignaient de devoir réduire considérablement leurs services. « Les réseaux de transport en commun ont été parmi les secteurs de l’économie les plus touchés par la pandémie », a-t-il remarqué lors d’une récente entrevue.

Au lieu de cela, le financement des gouvernements provincial et fédéral a sauvé les systèmes de transport en commun du pays qui étaient sur le bord de l’effondrement, a-t-il déclaré.

Aux États-Unis, cependant, les systèmes de transport en commun sont confrontés à la « redoutable spirale de la mort des transports en commun », a indiqué M. Siemiatycki — les compressions conduisent à de nouvelles baisses de l’achalandage, ce qui entraîne de nouvelles coupes et baisses.

Washington et Boston ont annoncé d’importantes réductions de service. À New York, l’autorité de transport locale a déclaré à la mi-novembre qu’elle pourrait être forcée de réduire de 40 % le service d’autobus et de métro et de licencier plus de 9000 travailleurs.

En revanche, Toronto et Montréal étendent leurs réseaux de transport en commun. Luc Tremblay, directeur général de la Société de transport de Montréal (STM), a affirmé en entrevue que Montréal avait choisi de maintenir les niveaux de service de 2020 aux niveaux de 2019 — et ce, malgré le fait que l’achalandage représente environ 35 % de ce qu’il était avant la COVID-19.

La métropole a fait ce choix pour que le service soit disponible lorsque les utilisateurs décideront de revenir. « C’est la clé, a-t-il soutenu. Construisez-le, et ils viendront. »

Mardi, quelques heures avant que le gouvernement du Québec n’impose de nouvelles restrictions pour limiter la propagation du virus, il annonçait une expansion majeure du Réseau express métropolitain (REM). Vingt-trois stations seront ajoutées au réseau et la construction doit commencer en 2023.

Dans la plus grande ville du pays, la Commission de transport de Toronto a indiqué que le service au cours de la semaine du 4 décembre était à 95 % des niveaux d’avant la pandémie. La commission s’est engagée à maintenir le même niveau de service en 2021. Le gouvernement de l’Ontario va également de l’avant avec un plan de 28 milliards pour étendre le transport en commun dans la région de Toronto.

En Colombie-Britannique, les agences de transport recevront plus d’un milliard en financement fédéral et provincial pour maintenir les niveaux de service. L’argent fédéral a également aidé l’agence de transport de Winnipeg à combler une lacune dans son budget après une baisse de l’achalandage — et de ses recettes tarifaires.

Marco D’Angelo, président et directeur général de l’Association canadienne du transport urbain, une association professionnelle qui représente les agences de transport en commun du pays, a dit que le service dans tout le pays représentait actuellement environ 87 % des niveaux pré-COVID.

« Les (agences) ne prévoient pas réduire le service, mais cela changera probablement, à moins que les gouvernements ne fournissent un soutien financier », a-t-il déclaré dans un courriel.

La suite

Voir aussi : Transport, Transport en commun.

Axe Hamel–Laurentienne: des organismes citoyens veulent que la Ville de Québec soit «plus ambitieuse»

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 décembre 2020 22 commentaires

Taïeb Moalla
Journal de Québec

Si la Ville de Québec veut transformer l’autoroute Laurentienne en un véritable boulevard urbain, cela doit passer par la réduction des voies routières, la diminution du débit automobile et l’amélioration du transport en commun dans le secteur, plaident des groupes citoyens.

Divers organismes environnementaux et conseils de quartier ont uni leurs voix, mardi matin, pour appeler la municipalité à être «plus ambitieuse» pour ce projet qui pourrait métamorphoser ce coin de la ville.

«On ne peut pas faire les choses à moitié. Il faut bien réussir la revitalisation du secteur Hamel–Laurentienne. Si on a une autoroute déguisée en boulevard, on va avoir de la difficulté à atteindre les objectifs», a affirmé Étienne Grandmont, directeur général d’Accès transports viables.

Selon Alexandre Turgeon, directeur général du Conseil régional de l’environnement de la Capitale-Nationale, il faut absolument «alerter sur le fait qu’on s’enligne vers un choix médiocre qui viendrait consacrer l’autoroute, si on suit ce qu’il y a sur la table actuellement».

De leur côté, les conseils de quartier de Lairet, Saint-Roch, Saint-Sauveur et Vieux-Limoilou ont insisté sur «l’enclavement actuel que cause l’autoroute Laurentienne entre les quartiers limitrophes. Les impacts positifs qui découleraient de sa transformation profonde en boulevard urbain sont nombreux: réduction du bruit et de la pollution de l’air, réduction des îlots de chaleur, possibilités de verdissement, et surtout, bonification des liens entre les quartiers et multiplication des déplacements actifs».

Ces groupes affirment que la Ville devrait s’inspirer de boulevards urbains comme René-Lévesque ou Charest [dans sa portion centre-ville] pour limiter le débit automobile qui est actuellement de 67 000 véhicules par jour sur l’autoroute Laurentienne.

Appelé à réagir mardi après-midi, Régis Labeaume a pris une certaine distance avec les groupes citoyens. Selon lui, «l’objectif (de la Ville) n’est pas de diminuer le nombre d’automobiles qui empruntent cette voie-là. L’objectif est de faire en sorte que ce ne soit plus une piste de course et que Laurentienne soit aménagée d’une façon telle que ça élimine l’espèce d’effet d’enclavement des quartiers».

Pour le transport en commun, les organismes citoyens ne sont pas enjoués à l’idée que le tramway se rende dans le secteur de Lebourgneuf lors de la première phase de déploiement du réseau structurant. «L’idée est d’utiliser ce qui est prévu actuellement. Ce n’est pas un trambus. C’est un métrobus qui part du pôle Saint-Roch et qui s’en va vers ce secteur-là, en passant par Pierre-Bertrand», a précisé M. Grandmont.

Interrogé sur l’impact éventuel d’un troisième lien sur la revitalisation de l’axe Hamel–Laurentienne, ce dernier a ajouté que «ce projet-là n’existe pas encore officiellement […]. Il y a des chances qu’il ne se réalise pas non plus. On ne peut pas en tenir compte dans la planification de ce secteur-là».

Les regroupements citoyens se disent conscients que l’autoroute Laurentienne est sous la responsabilité du ministère des Transports du Québec et que des discussions devront être menées entre la Ville et le gouvernement pour réaliser les aménagements. Aucune prévision budgétaire n’a été fournie par les groupes quant aux coûts d’une telle transformation.

Début octobre, la Ville de Québec a dévoilé sa vision pour le réaménagement de l’axe Hamel-Laurentienne. Il y a notamment été question de faire plonger l’autoroute sous terre grâce à un tunnel de 200 mètres [sous le boulevard Hamel] et d’ajouter des immeubles résidentiels sur des hauteurs allant jusqu’à 14 étages sur le côté sud du boulevard Hamel.

L’article

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Projet - Tramway, Projet - Troisième lien, Transport, Transport en commun.

Une solution de rechange d’ici au tramway boudée par Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 décembre 2020 11 commentaires

Martin Jolicoeur
Journal de Montréal

Un groupe d’ingénieurs québécois, convaincu d’avoir développé une solution de rechange viable et avantageuse aux coûteux systèmes de transport collectif par tramway, se désole de ne pouvoir parvenir à obtenir l’attention espérée du gouvernement du Québec.

Regroupés au sein de Groupe Pantero, une jeune entreprise encore méconnue de Montréal, ces ingénieurs d’expérience travaillent depuis une décennie dans l’ombre au développement d’un nouveau type de véhicule électrique (appelé Tram routier), à mi-chemin entre l’autobus et le tramway comme envisagé actuellement par la Ville de Québec.

«Nous nous expliquons mal cette difficulté d’obtenir l’attention requise de nos élus», affirme son président, Jean-François Audet, convaincu que ce nouveau système pourrait devenir la clé de voûte d’un «prochain fleuron» de l’industrie québécoise des transports.

«C’est dommage de l’exprimer ainsi, mais je suis convaincu que si nous étions Alstom ou Volvo, il y a longtemps que la question serait réglée», se désole-t-il

Le Tram routier, auquel Pantero cherche en vain depuis deux ans à intéresser le gouvernement, est présenté comme plus efficace que l’autobus articulé et moins dispendieux que les systèmes traditionnels de tramway.

Offert en configurations de deux à quatre modules articulés, l’engin proposé se distingue principalement de l’autobus articulé par sa grande capacité d’accueil, réduisant d’autant le nombre de chauffeurs requis par les sociétés de transport.

Dans sa version la plus longue, par exemple, le véhicule proposé serait en mesure d’accueillir jusqu’à 295 passagers! Et, contrairement au tramway traditionnel, qui pourrait en accueillir autant, il ne requiert l’installation d’aucune infrastructure ferroviaire.

Ce produit unique est le résultat du travail d’ingénieurs dirigés par le québécois Jean Raymond, titulaire d’une vaste expérience dans le domaine au sein d’entreprises comme Nova Bus, Orion Bus Industries et GE Transport.

L’entreprise jouit de l’appui de l’ex-président de Nova Bus, puis ex-V.-P. principal de Volvo Buses, Jean-Pierre Baracat. Il en va de même de Jean-Noël Debroisse, ancien vice-président d’Alstom, géant de l’industrie ferroviaire. Tous deux siègent au conseil consultatif de l’entreprise.

«On ne réalise pas que ce que l’on a réussi ici, cela fait 30 ans que l’industrie essaie de le faire ailleurs, se réjouit M. Audet. Ce n’est pas un simple “me too” de ce qui existe déjà; ça n’existe tout simplement pas. Notre technologie en est une de rupture qui dérange bien des joueurs, croyez-moi.»

Une volonté politique?

Outre le projet de Québec, plusieurs autres projets de tramway sont actuellement à l’étude. C’est le cas de Longueuil, de Gatineau et de Laval. À Montréal, le projet de prolongement de la ligne rose vers l’ouest, entre le centre-ville et Lachine, pourrait aussi faire une place au tramway.

«Est-ce réaliste de penser que tous ces projets voient le jour au coût de 3 à 4 G$ chacun? Compte tenu de l’état de nos finances publiques, la question se pose.»

Avant qu’il ne soit trop tard, Pantero espère des nouvelles de Québec.

«Avec toute l’expertise que nous avons au Québec, ça n’a pas de maudit bon sens qu’on n’arrive pas à faire naître ce projet.»

«Je suis sûr que si nous étions réunis entre quatre murs, on pourrait joindre le dossier. Tout ce que ça nous prendrait, c’est un peu de volonté politique.»

L’article

* Merci à un fidèle lecteur trèa assidu.

Voir aussi : Transport, Transport en commun.

Tramway : Le Gendre sauvé; Lebourgneuf au lieu de Charlesbourg

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 décembre 2020 57 commentaires

Source : Taïeb Moalla, Journal de Québec, le 5 décembre 2020

Tout indique que le tracé ouest du tramway de Québec, incluant le terminus dans le secteur Le Gendre, sera préservé tel quel. Côté nord-est, le tramway va finalement desservir Lebourgneuf plutôt que Charlesbourg, a appris Le Journal.Des discussions intenses sur les deux extrémités du tracé sont en cours entre le ministre François Bonnardel et le maire Régis Labeaume. Une annonce officielle pourrait être faite avant la période des Fêtes, nous a fait savoir une source bien informée. Après certaines tergiversations, le gouvernement provincial s’est rendu aux arguments de la Ville quant à l’importance du secteur Le Gendre.

D’abord, il y avait peu de solutions crédibles pour dénicher un autre emplacement pour l’immense garage du tramway, grand comme six terrains de football.

Aussi, les récentes études d’achalandage du gouvernement — pas encore rendues publiques — confirmeraient l’importance du flux de l’achalandage en provenance de l’ouest, soit de la MRC de Portneuf, qu’il convient de «capter» rapidement grâce aux stationnements incitatifs de Le Gendre.

la suite

Voir aussi : Tramway à Québec, Transport, Transport en commun.

Refonte du tracé du tramway envisagé par le gouvernement Legault

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 novembre 2020 33 commentaires

Source : Tommy Chouinard, La Presse, le 24 novembre 2020

QUÉBEC — Les intentions du gouvernement Legault se précisent concernant le tramway de Québec. Il envisage de faire des coupes dans les deux extrémités du tracé, les tronçons nord à Charlesbourg et ouest à Cap-Rouge, afin de desservir Lebourgneuf et D’Estimauville, a appris La Presse.

Il y aurait un plus grand achalandage dans ces deux secteurs en pleine croissance, selon lui. Les besoins en matière de transport collectif y sont déjà importants, ajoute-t-on.

Les pourparlers ont commencé avec la Ville de Québec à la suite du rapport défavorable du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) au projet de tramway du maire Régis Labeaume. Le ministre des Transports, François Bonnardel, a demandé à la Ville de revoir le projet, sans remettre en question le choix du tramway comme mode de transport « lourd » et « colonne vertébrale » du réseau.

La réflexion du gouvernement avance au sujet du tracé le plus adéquat. Les deux extrémités actuelles sont remises en question.

la suite

Voir aussi : Tramway à Québec, Transport, Transport en commun.

Voyez le design retenu pour le futur tramway

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 novembre 2020 8 commentaires

Source : Taîeb Moalla, Le Journal de Québec, le 20 novembre 2020

Sobre, élégant et de couleur grise, le futur tramway de Québec doit, en même temps, incarner les thèmes de la modernité et du patrimoine pour être bien intégré au paysage urbain de Québec.

C’est ce que le maire Labeaume a expliqué, vendredi matin, en dévoilant le design retenu qui devra servir de «guide» lors de l’appel de propositions qui sera lancé bientôt.

la suite

Présentation .pdf sur les lignes directrices de design

Le communiqué officiel

Voir aussi : Tramway à Québec, Transport en commun.

Vélos à assistance électrique en libre-service dans la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 novembre 2020 Commentaires fermés sur Vélos à assistance électrique en libre-service dans la Ville de Québec

Québec, le 18 novembre 2020 – Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) est heureux d’annoncer le déploiement d’un nouveau service de vélopartage avec stations dans la Ville de Québec. Nommé àVélo, ce nouveau mode de transport permettra aux citoyens et aux visiteurs de l’agglomération d’avoir accès à des vélos à assistance électrique en libre-service, dans plusieurs secteurs de la ville.

« Le RTC est très fier de présenter àVélo, un projet de vélos en libre-service à assistance électrique. Il s’agit du premier parc entièrement électrique au Québec. Ce nouveau mode de déplacement actif permettra d’offrir aux résidents de l’agglomération et aux visiteurs une alternative pratique et flexible pour leurs déplacements de courte distance. Il s’agit d’une autre décision d’affaires qui permet au RTC de poursuivre sa vision du développement de la mobilité intégrée et d’encourager un mode de vie actif » a souligné M. Rémy Normand, président du Réseau de transport de la Capitale.

Ciblé dans le Plan stratégique 2018-2027 du RTC, le vélopartage représente une option de déplacement supplémentaire qui offre plus de choix et de flexibilité à la clientèle et qui est un pas de plus vers la mobilité intégrée. Cette initiative du RTC s’inscrit dans la tendance mondiale concernant ce type de service. Elle a été développée de concert avec les services concernés de la Ville de Québec.

« En tant que directeur d’Accès transports viables, mais aussi en tant que cycliste moi-même, je suis ravi de souligner le démarrage du projet ÀVélo du RTC, qui s’annonce comme une petite révolution, attendue avec impatience, dans le monde du cyclisme à Québec. Les expériences nationales et internationales ont démontré que, partout où des systèmes de vélopartage ont été implantés avec succès, on a vu une augmentation significative de la part modale du vélo », a souligné Étienne Grandmont, directeur général d’Accès transports viables.

Au début décembre, le RTC lancera un appel d’offres visant à confier certains volets du projet à deux fournisseurs. Si la réponse du marché correspond aux attentes, le RTC souhaite faire découvrir àVélo à la population avant la fin de la saison estivale 2021. Le projet sera ensuite déployé par phases, dans différents secteurs de la ville, au cours des trois prochaines années.

Le communiqué

Voir aussi : Transport, Vélo.