Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Transport »

Le laissez-passer du RTC à tarif réduit séduit les cégépiens

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 février 2019 Commentaires fermés sur Le laissez-passer du RTC à tarif réduit séduit les cégépiens

Daphnée Dion-Viens
Journal de Québec

Des étudiants de deux cégeps de Québec ont été beaucoup plus nombreux que prévu à se procurer le nouveau laissez-passer à tarif réduit leur donnant accès au transport en commun pour une session complète.
Depuis janvier, les étudiants des cégeps de Limoilou et Sainte-Foy peuvent se procurer un nouveau laissez-passer du Réseau de transport de la Capitale (RTC) qui leur donne accès au transport en commun pendant 17 semaines.

Le coût est de 155 $, soit une économie de 35 % par rapport à l’habituel laissez-passer mensuel pour étudiants.

Au Cégep Limoilou, la direction avait estimé à 400 le nombre d’étudiants qui se procureraient ce nouveau laissez-passer pour la session d’hiver, alors que ce nombre a plutôt grimpé à 930.
« On est très fiers du résultat, parce que ça répond vraiment à un besoin », affirme Marie-José La Haye, directrice des affaires étudiantes et communautaires au Cégep Limoilou. Ce chiffre pourrait grimper encore davantage lors de la rentrée cet automne, ajoute-t-elle.

L’an dernier, seulement 284 étudiants du Cégep Limoilou avaient acheté le laissez-passer étudiant régulier lors de la session d’hiver. Il est donc permis de croire qu’environ 600 étudiants ont maintenant troqué la voiture pour l’autobus, indique Mme La Haye.

« Au-delà de nos espérances »

Le scénario est semblable au Cégep de Sainte-Foy, où 1742 étudiants ont acheté le nouveau titre de transport. « C’est au-delà de nos espérances », lance la directrice des affaires étudiantes et des communications, Claude Boutin.

Ce nouveau laissez-passer à tarif réduit est à coût nul pour le RTC, puisqu’il est financé par un fonds en mobilité durable auquel participent les étudiants (9 $ par session par étudiant) et les cégeps (4 $ par session par étudiant), notamment grâce aux revenus des stationnements.

Dans les deux cégeps, on assure que l’argent est au rendez-vous, même si les sommes à débourser sont plus grandes que prévu. La proportion d’étudiants qui ont acheté ce nouveau titre de transport est de 22 % au Cégep Limoilou et de 27 % au Cégep de Sainte-Foy.

Cette initiative s’ajoute au projet de laissez-passer universitaire qui devrait entrer en vigueur cet automne.

Grâce à une cotisation de 30 $ par mois versée par tous les étudiants de l’Université Laval, ils auront un accès illimité aux services de transport en commun à Québec et à Lévis.

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Voir aussi : Transport en commun.

Terrain pour le pôle RTC St-Roch en attente

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 février 2019 9 commentaires

Que verra-t-on comme concept architectural ? Ça sera un grand point d’intérêt du développement du quartier central qu’est St-Roch et aussi d’intérêt pour le transport en commun.

La démolition de l’édifice de la Croix-Rouge se prépare.

Le pôle d’échange Saint-Roch en partie construit sous terre?

Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Transport en commun.

Les opposants au 3e lien se mobilisent

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 février 2019 19 commentaires

Marc-André Gagnon
Journal de Québec

Le député solidaire de Jean-Lesage, Sol Zanetti, s’attend à ce qu’une « assemblée publique » organisée pour mobiliser l’opposition au 3e lien fasse salle comble, le 13 mars prochain, à 19 h.

« On s’attend à ce que la salle déborde », a indiqué M. Zanetti à notre Bureau parlementaire, après qu’une affiche annonçant la tenue de l’événement a commencé à circuler sur les réseaux sociaux.

Ayant pour thème « Gagner contre le 3e lien », l’assemblée publique organisée par Québec solidaire aura lieu à la salle Le D’Auteuil, sur la rue Saint-Joseph Est, au cœur du comté de sa collègue de Taschereau, Catherine Dorion.

Pour l’instant, seuls les noms des deux élus se retrouvent sur l’affiche publicitaire, mais M. Zanetti promet que plusieurs conférenciers s’ajouteront à la liste, notamment des experts en aménagement urbain.
Tous auront un point en commun, c’est-à-dire « exposer les raisons pour lesquelles le 3e lien n’est pas un projet souhaitable pour Québec et la fluidité du transport dans la région », a expliqué le député de Jean-Lesage.

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Faire de Québec un Cleveland Laurent Mercier-Roy, Le Devoir. Un extrait: «Alors, vous vous demandez encore il est où, le problème ? Je vais vous le dire, il est où. Je ne vous parlerai pas de la congestion qui reviendra quatre ans plus tard en raison de la demande induite ; car ça, tous les experts peuvent vous l’expliquer de long en large. Je ne vous parlerai pas non plus des conséquences environnementales (c’est à se demander si on souhaite vraiment réduire nos émissions de GES) et économiques (le réseau routier coûte 3,2 milliards par année au Québec, soit une croissance de 82 % depuis 2005, selon le ministère des Transports).« 

Voir aussi : Projet - Troisième lien, Transport, Transport en commun.

Tramway : s’inspirer de Grenoble

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 février 2019 34 commentaires

Source : Olivier Lemieux, Radio-Canada, le 18 février 2019

En 1987, la ville de Grenoble, en France, célébrait l’inauguration de sa première ligne de tramway. Aujourd’hui, son réseau s’étend sur plus de 40 kilomètres et génère 240 000 éplacements quotidiens. Nous nous y sommes rendus pour comprendre les clés de son succès.
« Toutes les oppositions avant le tramway sont devenues des approbations après son installation », lance fièrement Michel Destot, maire de Grenoble de 1995 à 2014.
C’est sous son administration que le réseau municipal de tramway a explosé, passant d’une à cinq lignes.
La plus récente, inaugurée en 2015, s’étire vers la banlieue nord. Selon Michel Destot, le tramway a permis d’embellir la ville et de resserrer les liens entre les différents quartiers.

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Voir aussi : Tramway à Québec, Transport en commun.

Saint-Roch : deux boulevards au lieu de l’autoroute Laurentienne?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 février 2019 4 commentaires

Louise Boisvert
Radio-Canada

La Ville de Québec va procéder à la fin du mois à une consultation sur la requalification du pôle Wilfrid Hamel-Laurentienne. Des étudiants de l’Université Laval, qui se sont penchés sur la nouvelle vocation du secteur, proposent entre autres de démanteler l’autoroute pour aménager deux boulevards urbains.

L’idée, qui a été présentée à la Ville, a quelque chose de très inattendu.

Les étudiants de l’École d’architecture de l’Université Laval ont imaginé deux boulevards pour remplacer l’autoroute Laurentienne entre les rues de la Croix-Rouge et Soumande.

Il s’agit en fait du prolongement de la rue Dorchester et de la Couronne qui traversent déjà le quartier St-Roch.

« L’idée, ce n’est pas de faire table rase, c’est de composer avec ce que l’on a », explique leur professeur, l’architecte et designer urbain Érick Rivard.

« On garde le même nombre de voies pour les automobilistes », précise le professeur. L’espace ainsi créé entre les deux boulevards permettrait de réhabiliter la rivière Saint-Michel, un affluent de la rivière Saint-Charles, canalisé depuis la construction de l’autoroute Laurentienne.

En démantelant l’infrastructure de béton, la Ville pourrait ainsi récupérer toute une bande de terrains inutilisés.

Les étudiants ont imaginé leur plan d’aménagement en tenant compte des prévisions de la Ville de Québec qui a établi que 28 500 ménages viendront s’ajouter d’ici 20 ans.

Le secteur permettrait la construction de 4600 unités de logement, des maisons de ville, de la copropriété, des duplex et des logements sociaux.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Transport.

L’avenir de la ville passe par le réseau structurant

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 février 2019 23 commentaires

Érick Rivard
Monquartier.com

Il y a quelques jours, la Ville de Québec mettait en ligne un nouveau site internet entièrement dédié au réseau structurant. Les informations qu’on y trouve permettent d’avoir une bien meilleure idée de l’étendue du projet. La Ville de Québec m’a demandé de prendre position sur le projet dans l’espace public.

L’accent a beaucoup été mis sur le tramway dans les derniers mois, mais on a peu insisté sur le potentiel qu’offre ce réseau pour redéfinir complètement l’environnement de la ville. Pourtant, tant le trambus que le tramway permettront de redessiner certaines des plus grandes artères de la ville. Parmi celles-ci, la 1re Avenue et le boulevard des Capucins à Limoilou, l’axe de la Canardière dans Maizerets et le boulevard Charest dans Saint-Roch et Saint-Sauveur.

Pour accueillir les plateformes dédiées de ces deux modes supérieurs de transport en commun, ces « nouvelles rues » seront complètement remodelées, augmentant ainsi la marchabilité et le confort vers les transports en commun.

L’opportunité qu’offre cette opération urbaine est unique, et on peut déjà affirmer qu’aucun projet urbain n’aura eu autant d’impact dans l’histoire de la ville : des trottoirs plus généreux, des nouvelles plantations, des nouvelles installations pour les cyclistes et des stations et pôles d’échange de grande qualité, qui deviendront des marqueurs dans le paysage, sur plus de 40 km! Cette transformation à elle seule favorisera les saines habitudes de vie (la marche en premier lieu) et incitera naturellement plusieurs citoyens à opter pour le transport en commun.

Déjà aujourd’hui, je constate comment il est naturel pour les jeunes adolescents et universitaires de considérer le transport en commun comme mode privilégié de transport. Pour eux, un trambus, un tramway et plus de Métrobus, c’est encore plus de liberté! Il se pourrait d’ailleurs fort bien qu’une importante partie de cette génération choisisse de ne pas avoir de voiture, comme en font foi les indicateurs de la SAAQ et de statistiques Canada: « Entre 1996 et 2015, la proportion de Québécois âgés de 16 à 24 ans détenteurs d’un permis de conduire est passée de 59,1 % à 54,8 %. La baisse est particulièrement marquée chez les 16 à 19 ans (de 43,9 % à 35,7 %). Chez les 20 à 24 ans, la proportion est passée de 72,1 % à 67,4 %. » Source : La Presse, 20 janvier 2017.

La couverture que propose le réseau structurant pour desservir la plupart des grands générateurs de déplacement de la ville (Université, cégeps, hôpitaux, centres commerciaux, pôles d’emploi, etc.) ne pourra qu’augmenter l’attractivité du transport en commun dans le futur.

Une ville en santé

Québec est une ville étalée, et l’utilisation de la voiture a longtemps été le seul moyen à considérer dans plusieurs secteurs. Ce projet de transport en commun structurant est avant tout un projet de liberté, puisqu’il offre des choix de mobilité compétitifs.

En additionnant les bienfaits environnementaux liés à la diminution des gaz à effet de serre grâce à ces nouveaux modes de transport entièrement électriques et l’augmentation des utilisateurs de la marche et du vélo pour gagner les stations de tramway et trambus, on ne peut que rêver à une ville de Québec en santé.

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Voir aussi : Projet - Tramway, Transport en commun.

La banlieue nord aimerait encore plus d’autobus

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 février 2019 3 commentaires

Dominique Lelièvre
Journal de Québec

Les améliorations à la desserte des secteurs nord-ouest de Québec par le RTC ont laissé sur leur faim plusieurs résidents, samedi matin, tandis que des élus de l’opposition ont déploré des modifications surtout cosmétiques.

La direction du Réseau de transport de la Capitale est retournée devant la population au centre communautaire Michel-Labadie, sur l’avenue Chauveau, pour répondre aux critiques entendues il y a dix mois, lors des consultations publiques sur le réseau structurant.

Le mégaprojet prévoit essentiellement, pour ces résidents, un parc-o-bus et des voies dédiées sur l’autoroute Robert-Bourassa. Devant la déception des citoyens, le maire Régis Labeaume avait annoncé une bonification de la desserte en transport en commun dans La Haute-Saint-Charles, évoquant même « de nouveaux parcours ».

Parcours bonifiés

Toutefois, samedi, en excluant la création de deux parcours vers l’aéroport, le RTC n’avait que la bonification de trajets existants à proposer à la population. À partir de la fin de l’été, certains tracés seront prolongés, alors que d’autres, comme le Métrobus 804, verront leur fréquence s’accroître.

« Moi, je suis insatisfaite de ces parcours-là. Les parcours locaux, on dirait qu’on est laissés pour compte », a fait savoir une citoyenne mécontente. « Il y a beaucoup d’amélioration, mais il y a encore de la place », a nuancé une autre résidente, Francine Dion.

Un « plaster »

Selon le RTC, les nouveautés amélioreront les temps de déplacement et la connectivité au futur réseau structurant. « C’est un premier élément de réponse […]. C’est sûr qu’on ne répond pas totalement et entièrement à toutes les préoccupations qui nous ont été exprimées », a reconnu le président du RTC, Rémy Normand.

Le conseiller Raymond Dion et l’élu de Québec 21 Patrick Paquet ne se sont pas montrés impressionnés, le premier parlant d’un « plaster », le second « de petites chirurgies ». « On a, dans le fond, fait des petites bonifications, et à part Val-Bélair qui a quelques petits correctifs, le reste, on l’oublie », a commenté M. Dion, un ancien d’Équipe Labeaume et ex-président du RTC, de 2009 à 2013.

​DES NOUVEAUTÉS CET ÉTÉ

Métrobus 804:Fréquence améliorée en soirée et le dimanche

Parcours 70 et 75: Tracé modifié dans le nord-ouest de Val-Bélair
Un bus aux 30 minutes (certains tronçons seulement)

Parcours 74: Tracé modifié dans le quartier des Châtels, 2 départs de plus la fin de semaine Un bus aux 60 minutes

Parcours 84: Tracé prolongé vers Val-Bélair, 5 départs de plus la fin de semaine
Un bus aux 60 minutes (en période de pointe)

Deux parcours vers l’aéroport: Parcours 76 (entre l’aéroport et la gare de Sainte-Foy) et parcours 80 (entre l’aéroport et le centre-ville)

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L’opposition pas convaincue par la desserte nord-ouest du RTC Ian Bussières (Le Soleil)

Voir aussi : Transport en commun.

Tramway : le ministère de l’Environnement exige une évaluation environnementale

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 janvier 2019 Commentaires fermés sur Tramway : le ministère de l’Environnement exige une évaluation environnementale

Radio-Canada
Louise Boisvert

L’administration Labeaume se bute depuis des mois aux fonctionnaires du ministère de l’Environnement. Ils réclament que le projet de tramway soit soumis au processus d’évaluation des impacts sur l’environnement. La Ville craint que cela n’entraîne des délais.

Selon une directive entrée en vigueur le 23 mars dernier, les projets de transport sur rail sont dorénavant assujettis au nouveau régime d’autorisation environnementale de la Loi sur la qualité de l’environnement.

Or, la Ville de Québec plaide depuis des mois auprès des fonctionnaires du Ministère que le projet de tramway a été accepté par le gouvernement du Québec une semaine plus tôt, soit le 16 mars, ce qui l’exclut automatiquement de la nouvelle réglementation.

« On a reçu une fin de non-recevoir des fonctionnaires », a indiqué le président du Réseau de transport de la Capitale (RTC), Rémy Normand, lors d’une conférence de presse lundi.

Le processus d’évaluation environnementale permet aux différentes directions du Ministère de poser des questions, de revenir à la charge pour obtenir plus de précisions jusqu’à l’acceptation du projet. Un processus qui peut prendre jusqu’à quatre mois.

Le Ministère pourrait décider, au terme de ces échanges, de soumettre le projet au Bureau des audiences publiques en environnement, le BAPE. La procédure pourrait entraîner d’autres délais.

La Ville de Québec ne part pas en guerre contre le Ministère. Le maire en a glissé un mot au nouveau ministre de l’Environnement, Benoit Charette, la semaine dernière lors d’une première rencontre.

En attendant, elle vient de déposer, tel qu’attendu, un avis de projet auprès du ministère de l’Environnement.

Cette première démarche vient officialiser le processus environnemental. Du même coup, elle demande au Ministère qu’il lui accorde le même traitement que le projet de Réseau express métropolitain (REM) dans la région de Montréal. L’évaluation environnementale s’est faite en parallèle du projet et dans des délais acceptables.

Appui de groupes environnementaux

La Ville de Québec n’est pas la seule à demander une exemption. En novembre, les groupes environnementaux Vivre en Ville, Accès transport viable et le Conseil régional de l’environnement (CRE) ont fait parvenir une lettre à la ministre de l’Environnement d’alors

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Voir aussi : Tramway à Québec, Transport, Transport en commun.

Trois entrepôts du secteur D’Estimauville démolis pour le futur «pôle d’échange» du RTC

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 janvier 2019 2 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) ne perd pas de temps. Sitôt complété l’achat de trois entrepôts du secteur D’Estimauville, il entreprend leur démolition pour laisser le champ libre à la construction d’un futur «pôle d’échange» où les usagers pourront transférer d’un trajet d’autobus à l’autre ou sauter dans un trambus.
Ces édifices forment un grand carré bordé par le boulevard Monseigneur-Gauthier et l’avenue Jean-de-Clermont, puis complété par le Parc-O-Bus D’Estimauville du boulevard Sainte-Anne. Et leurs jours sont comptés.

Le Réseau de transport de la Capitale cherche un entrepreneur capable de vider le site rapidement, pour y planter du gazon le printemps venu. «Le [RTC] désire commencer les travaux de démolition aussitôt que possible suite à l’adjudication du contrat», lit-on dans des documents publiés lundi.

Il y a toutefois une contrainte. Jusqu’au 1er mars, un des locaux de l’ensemble industriel est occupé par les chauffeurs du RTC qui patientent pour embarquer dans un bus ou pour rentrer au bercail. Ces chauffeurs ne freineront toutefois pas les pelles mécaniques.

«[L’entrepreneur] peut débuter la démolition plus tôt pour les bâtiments non occupés suite à l’adjudication du contrat.» Et il devra avoir remis le site en état «avant le 15 mai», date butoir.

Les résidents du coin devront donc prendre leur mal en patience ce printemps. Des travaux auront même lieu la fin de semaine, quand le Parc-O-Bus est vide. Le RTC demande néanmoins qu’un mur de toile soit érigé du côté des appartements les plus collés. L’entreprise municipale demande également que les grands morceaux de bétons qui seront détachés des bâtiments ne soient pas concassés sur place.

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Voir aussi : Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.