Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Transport »

Voici l’histoire du tramway de Québec en 10 stations

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 mai 2018 Commentaires fermés sur Voici l’histoire du tramway de Québec en 10 stations

Jean-François Caron
Société historique de Québec
Journal de Québec

Alors que les différents paliers gouvernementaux s’apprêtent à investir des milliards de dollars pour développer un nouveau réseau structurant de transport en commun reposant sur l’établissement d’une ligne de tramway, bien des Québécois ont oublié ou ignorent simplement que la ville de Québec a déjà eu son réseau de transport sur rails et qu’elle lui a tourné le dos il y a 70 ans.

Le réseau de tramway avait précédé l’automobile et n’avait donc pas été conçu pour partager la voie publique avec ce nouveau moyen de transport. Aussi est-il devenu une nuisance.

Par ailleurs, la ville avait évolué et les déplacements des usagers avaient changé depuis 1865. Le tramway ne répondait plus à la réalité des travailleurs.

C’est la conjugaison de ces deux facteurs qui a conduit à la mise au rancart des «petits chars», comme on les appelait à l’époque.

Voici donc l’histoire du tramway de Québec en 10 stations.

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Voir aussi : Tramway à Québec.

La Ville procédera à une collecte de données pour le réseau structurant de transport en commun

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 mai 2018 6 commentaires

Québec, le 15 mai 2018 – Dès aujourd’hui, la Ville de Québec procédera à la collecte de données complémentaires et préliminaires nécessaires à l’avancement du projet de réseau structurant de transport en commun (relevés d’arpentage, sondages des sols et localisation des utilités publiques). Par conséquent, des employés de la Ville ou de ses fournisseurs, seront visibles sur le terrain, particulièrement dans les secteurs où le réseau structurant se déploiera.

Voici, en détail, en quoi consiste chacune des interventions :

Relevés d’arpentage

Relevés des données du relief et de certains équipements (poteaux, regards, bordures, fossés, etc.).

Sondages des sols

Études préliminaires visant à déterminer la nature des sols et à vérifier la présence de contamination.

Localisation des utilités publiques

Préciser la localisation des services (Bell, Hydro-Québec, etc.) pour préparer la conception à venir des tracés.

Prochaines étapes

À la suite de cette collecte de données, qui devrait s’échelonner jusqu’à la fin de l’année, la Ville de Québec réalisera les études de conception (2018-2019). Ces études consistent à préciser l’insertion de l’ensemble des tracés proposés dans le projet. La Ville sera donc en mesure, dans les prochains mois, de répondre aux préoccupations des citoyens par rapport à l’impact de l’implantation du réseau structurant sur leur propriété. Des rencontres spécifiques seront tenues au moment opportun. Les citoyens concernés en seront les premiers informés.

Par la suite, la Ville élaborera les plans et devis (2020-2022) pour finaliser de façon plus précise l’ensemble des besoins en infrastructures et en matériaux pour la mise en chantier du projet, prévue pour 2022.

Bilan des séances de consultation/information

La Ville de Québec analyse actuellement toutes les données recueillies lors des séances de consultation/information et par l’entremise du sondage en ligne. L’ensemble des résultats seront rendus publics d’ici les prochains mois.

À propos du réseau structurant de transport en commun

À la suite des consultations de juin 2017, les citoyens se sont prononcés à une forte majorité en faveur d’un réseau structurant de transport en commun. Le projet présenté par la Ville de Québec en mars 2018 comportera quatre composantes, soit le tramway (23 km, dont 3,5 km en souterrain), le trambus (17 km), les infrastructures dédiées au transport en commun (16 km) et le Métrobus (110 km). L’ensemble du réseau du Réseau de transport de la Capitale (RTC) se connectera à ces composantes pour assurer une couverture maximale sur le territoire. La Ville de Québec vise une mise en service complète d’ici 2026.

Voir aussi : Tramway à Québec, Transport en commun.

Pourquoi les cyclistes ne prennent-ils pas les maudites pistes cyclables ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 mai 2018 17 commentaires

Pier-Luc Ouellet
Urbania

Il y a quelques jours a circulé sur les réseaux sociaux ce vidéo d’un cycliste qui s’est fait frôler par un autobus de la STM. Le cycliste a enregistré son altercation avec le chauffeur, qui soutenait que le principal intéressé n’avait qu’à emprunter la piste cyclable et à laisser la rue aux véhicules motorisés.

Je ne savais pas quoi en penser. Je n’ai fait du vélo qu’une seule fois depuis que je suis à Montréal. Dix minutes en Bixi sur le boulevard Rosemont, dix minutes à être terrifié. Je comprends pourquoi les cyclistes disent que leur moyen de transport est bon pour la santé; la peur de ne pas survivre au trajet m’a fait suer comme jamais. Je ne suis pas un automobiliste non plus, je n’ai pas de voiture.

Ni auto ni vélo. En fait, la plupart du temps, je reste chez nous.

Mais toute cette histoire de pistes cyclables et d’autobus m’a intrigué. J’ai donc contacté Magali Bebronne, de Vélo Québec, pour prendre le pouls du camp des cyclistes sur la question (mais pas son pouls à elle, qui n’est sûrement pas trop rapide, parce qu’elle fait du sport, elle).

Les cyclistes viennent en vélo, les conducteurs viennent en maudit. (…)

«Ce qui me fascine dans le discours selon lequel les cyclistes devraient se limiter à leurs pistes cyclables, c’est que [selon ceux qui le tienne] c’est bien correct si les cyclistes perdent leur temps, si ça leur prend 10 minutes de plus à rejoindre leur destination. Par contre on ne demandera pas aux «vrais professionnels», les « vrais gens » qui travaillent et qui paient des impôts, de prendre 20 secondes pour ralentir un peu et dépasser de façon sécuritaire un cycliste. Les cyclistes devraient se sentir mal de ralentir un autobus avec 50 personnes à bord, mais on ne questionne jamais le fait que ce qui cause de la congestion et qui ralentit les autobus dans notre ville, ce sont les autos! Je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de conducteurs dans la vie qui se sentent coupables […] de ralentir les usagers du transport collectif».

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Voir aussi : Vélo.

Les projets de tramway au pays: un seul a dépassé les coûts projetés

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 30 avril 2018 2 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Parmi les 10 projets de tramway complétés ou en cours au pays, un seul a connu des dépassements de coûts et quatre se sont avérés moins chers que prévu.

Lors d’une présentation détaillée du projet de tramway-trambus de Québec faite le 26 mars dernier, le directeur général du Réseau de transport de la capitale, Alain Mercier, avait été questionné sur la possibilité que surviennent des dépassements de coûts. Il avait soutenu que l’expertise s’était beaucoup affinée au pays pour ce genre de projet.

« Il n’y a pas d’expérience de dépassement de coûts parce que c’est courant au Canada, les projets de transport en commun. On a une expertise, les coûts sont connus. »

Le Journal a donc recensé les projets de train léger sur rail, ou tramway, qui ont été réalisés au Canada dans les 10 dernières années ou qui sont en cours de construction. Nous avons contacté chacune des organisations responsables des projets.

L’affirmation de M. Mercier se vérifie, à une exception près. Le projet ION, à Waterloo, a connu des dépassements de coûts de l’ordre de 50 millions $ sur un projet initial de 818 millions $, soit une hausse de 6 %.

Mais ailleurs au pays, les projets se concrétisent à l’intérieur de l’enveloppe prévue.
Certains projets ont même coûté moins cher, comme les 2,5 km de la northwest leg du C-Train de Calgary, qui a coûté 18 millions $ de moins que prévu. Deux lignes de Vancouver, la Evergreen Line, et la Canada Line, ont vu leur facture réduite respectivement de 79 millions $, et de 5 millions $.

À Edmonton, la Metro Line, ouverte en 2015, a coûté 90 millions $ de moins qu’anticipé.

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Voir aussi : Tramway à Québec.

Autobus gratuit pour de futurs propriétaires immobiliers

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 avril 2018 2 commentaires

Alexandre Duval
Radio-Canada

Dans l’espoir d’attirer de nouveaux acheteurs et locataires, certains promoteurs immobiliers de Québec auront bientôt une offre alléchante à leur faire : un an d’autobus gratuit avec le Réseau de transport de la capitale (RTC) et un an d’abonnement à Communauto.

Ce « Forfait transport », élaboré par l’organisme Mobili-T, sera officiellement lancé le 25 avril à Québec. La valeur des abonnements offerts gratuitement atteint environ 1200 $ pour chaque nouveau propriétaire ou locataire.

« On sait que le transport, ça représente souvent un pôle important de dépenses dans les ménages », indique la coordonnatrice de Mobili-T, Véronique Samson.

L’objectif du Forfait n’est pas nécessairement que les futurs propriétaires et locataires abandonnent leur voiture, mais plutôt qu’ils profitent de leur nouvelle habitation pour se familiariser avec d’autres façons de se déplacer.

(…)

Pour l’instant, cette liste est plutôt courte. À ce jour, seulement deux promoteurs de Québec se sont joints à l’initiative : les Écocondos Origine et Tergos.

(…)

Quant à la tour Origine de la Pointe-aux-Lièvres, 40 des 94 unités sont toujours à vendre. Ce sont donc quelques dizaines de nouveaux propriétaires qui pourraient bénéficier du Forfait dès le 25 avril.

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Voir aussi : Transport en commun.

RTC: recherche d’un usager régulier du transport en commun pour siéger sur le conseil d’administration

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 avril 2018 Commentaires fermés sur RTC: recherche d’un usager régulier du transport en commun pour siéger sur le conseil d’administration

Le RTC est présentement à la recherche d’une personne pour combler un des postes d’administrateur usager des services de transport en commun régulier au sein de son conseil d’administration.

DESCRIPTION DU POSTE

Le poste d’administrateur au conseil d’administration du RTC implique de devoir participer :

• à des séances de travail des membres du conseil d’administration, lesquelles ont présentement lieu le mardi, de 9 h à 14 h, et ce, à raison d’un minimum de dix séances par année;

• aux assemblées publiques du conseil d’administration, lesquelles ont présentement lieu le mercredi, à partir de 17 h, et ce, à raison d’un minimum de dix séances publiques par année. Il est également possible que d’autres rencontres s’ajoutent au calendrier des assemblées publiques;

• à des rencontres de travail de deux comités techniques du conseil d’administration. La fréquence, l’heure et la durée de la rencontre de travail sont variables selon la nature du comité. Il faut toutefois noter que certains comités siègent une fois par mois.

EXIGENCES DU POSTE

La personne désirant devenir administrateur du RTC devra :

• être un usager, sur une base régulière, des services de transport en commun régulier du RTC;

• détenir un diplôme d’études postsecondaires et une expérience d’un minimum de 10 ans dans l’une des compétences suivantes :

o Gestion financière ou comptabilité;
o Technologies de l’information;
o Communications et affaires publiques;
o Marketing et commercialisation;
o Ressources humaines et relations de travail;
o Droit;
o Audit et gestion des risques;
o Gestion de projets;
o Gouvernance;

• être doté d’une bonne connaissance du transport en commun du RTC ainsi que des enjeux reliés au transport dans l’agglomération de Québec.

En plus des critères mentionnés ci-devant, la disponibilité et la motivation seront également prises en compte dans la sélection. Avoir siégé à un conseil d’administration est considéré comme un atout.

Ce poste comporte une rémunération annuelle établie conformément au Règlement no 322 concernant la rémunération des membres du conseil d’administration du Réseau de transport de la Capitale (RTC), laquelle s’élève présentement à 15 067,31 $.

Les personnes intéressées doivent postuler en ligne sur notre site Internet avant le 30 avril 2018 à 12 h en joignant une lettre démontrant leur motivation à occuper ce poste ainsi que leur curriculum vitae.

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Voir aussi : Message d'intérêt public, Transport en commun.

Une façon de payer dernier cri dans le transport en commun à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 avril 2018 17 commentaires

Stéphanie Martin
Agence QMI

Le maire Labeaume veut révolutionner la façon de payer pour prendre le transport en commun à Québec et permettre l’embarquement par toutes les portes dans le tramway, les trambus et tous les autres bus, afin d’accélérer les temps de parcours.

«Il faut que ça roule, dit Régis Labeaume. Les méthodes traditionnelles, c’est long. Sur le temps de parcours, le mode de paiement va être fondamental. On doit passer à une autre vitesse en termes de mobilité parce qu’on n’est pas là actuellement.»

Régis Labeaume a rencontré les autorités du Bay Area Rapid Transit (BART), qui s’occupent des trains de banlieue de la ville de San Francisco. Un réseau qui prend de l’âge, mais qui demeure extrêmement populaire. Il a discuté des méthodes de paiement utilisées par les clients du BART. Ceux-ci utilisent l’équivalent de la carte Opus.

Pour Québec, il veut cependant ce qu’il y a de plus moderne, avec l’arrivée du transport structurant. D’abord, on vise un changement important dans le mode de paiement. Sans éliminer complètement le paiement traditionnel, celui-ci se fera éventuellement principalement sur téléphone intelligent, à partir d’un compte qui pourra être rechargé sur internet.

Le maire Labeaume étudie aussi la possibilité d’adopter le «paiement sur l’honneur». Cela permettrait aux usagers d’embarquer par n’importe quelle porte du véhicule qu’ils empruntent, du tramway au simple bus. Ils devraient simplement scanner leur titre de passage à l’entrée de la station, ou à la porte du véhicule, sur des bornes de paiement.

On dit «sur l’honneur», car personne n’est posté à l’entrée pour vérifier si chacun a un titre valide. En revanche, des inspecteurs peuvent se pointer en tout temps et contrôler les passagers, imposant des amendes aux contrevenants.

(…)

La Ville de Montréal a d’ailleurs réalisé un projet pilote sur trois parcours et, devant le succès obtenu et un gain de plus de 1600 heures en deux ans, elle a décidé de l’étendre à 13 autres lignes de bus. Et on a réalisé que contrairement à ce qu’on pourrait croire, la fraude n’était pas si fréquente.

«Ça fait plus de 15 ans qu’on demande ça au Réseau de transport de la capitale. Il y avait une résistance au changement. Mais toutes les villes en Europe ont ça. Ça accélère l’embarquement et le débarquement. Tout ce que ça demande, c’est un petit lecteur de carte. Étant donné qu’on va l’avoir dans le tramway, on doit habituer les gens. Ce changement peut amener une amélioration en efficacité et en rapidité au service», a indiqué M. Turgeon.

L’exemple de Montréal

– Embarquement à toutes les portes

– Plus de 1600 heures de gain en temps d’embarquement sur les trois lignes du projet pilote

– 88% des clients approuvent la démarche

– 77% des clients sont satisfaits de cette pratique

– 72% des clients remarquent un temps d’embarquement plus rapide

– 76% des chauffeurs apprécient cette pratique

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* Québec Urbain a rencontré M. Rémy Normand, responsable du RTC au sein du Conseil de Ville, lors du Colloque sur la sécurité routière et le paiement par cellulaire est à l’étude, la difficulté étant « la création de comptes-clients ». Aucune échéance ne semble fixée …

Voir aussi : Tramway à Québec, Transport en commun.

Colloque sur la sécurité routière: diffusion des documents présentés par la Ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 avril 2018 1 commentaire

Résultats de la consultation en ligne

Bilan routier 2012-2016

La Ville de Québec a ajouté ce matin sur son site internet les .pdf présentés lors du colloque. C’est à lire.

Un billet précédent et celui-ci

* Des données très intéressantes

Voir aussi : Conférences / évènements, Transport en commun.

Des pistes cyclables en vert ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 avril 2018 7 commentaires

Source : Stéphanie Martin, Le Journal de Québec, le 10 avril 2018

SAN FRANCISCO | Régis Labeaume veut s’inspirer de San Francisco pour rendre les rues de Québec plus sécuritaires. Selon lui, la réduction des limites de vitesse n’est pas la solution, mais il craque pour les pistes cyclables colorées.
Pour sa première journée en mission économique à San Francisco, le maire de Québec a passé beaucoup de temps avec les représentants de la San Francisco Municipal Transportation Agency (SFMTA), qui réglemente tout ce qui touche les transports terrestres de la cité sur la baie.
Depuis 2014, la SFMTA s’est donné une vision pour réduire à zéro le nombre de morts dans la circulation d’ici 2024. Ce nombre est passé de 30 à 20 en 2017, alors que la SFMTA octroie une part importante de son budget de fonctionnement annuel de 1,2 milliard $ à l’amélioration des rues. L’approche intéresse Québec.

Le maire en a profité pour se préparer et affûter ses arguments en prévision du sommet sur la sécurité routière, qui se tiendra vendredi et samedi à Québec. Il s’interrogeait notamment sur la baisse des limites de vitesse dans les quartiers, une question souvent soulevée par les citoyens et pas les partis politiques dans la capitale.

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Réseau cyclable : ajout de 23 nouveaux kilomètres en 2018.

Voir aussi : S'inspirer d'ailleurs, Vélo.

Réseau structurant de transport en commun – Une séance d’information/consultation supplémentaire à Ste-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 avril 2018 Commentaires fermés sur Réseau structurant de transport en commun – Une séance d’information/consultation supplémentaire à Ste-Foy

Québec, le 9 avril 2018 – La Ville de Québec et le Réseau de transport de la Capitale (RTC) tiendront une activité d’information/consultation supplémentaire le mercredi 11 avril 2018, à 19 h. L’ajout de cette séance permettra notamment aux citoyens qui n’ont pas pu assister à la séance de samedi après-midi de s’exprimer et de s’informer.

Voici les détails de la séance :

Le mercredi 11 avril 2018, 19 h

Édifice Andrée-P.-Boucher, salle du conseil
1130, route de l’Église
Arr. de Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge

Questionnaire en ligne

Les citoyens sont également invités à s’exprimer sur le projet en répondant au questionnaire en ligne.
Ce dernier est accessible jusqu’au 25 avril.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Message d'intérêt public, Tramway à Québec, Transport en commun.