* Pour assurer la représentativité des résultats de l’enquête, seuls les ménages directement invités par téléphone ou par la poste peuvent participer à l’enquête.
* Pour assurer la représentativité des résultats de l’enquête, seuls les ménages directement invités par téléphone ou par la poste peuvent participer à l’enquête.
Voir aussi : Consultation publique, Covoiturage, Transport, Transport en commun.
Stéphanie Martin
Journal de Québec
Avec des rames de 420 personnes aux 3 minutes, Québec pourrait rêver à des activités de plus grande ampleur, croit le bureau de projet
Une foule compacte qui quitte le Festival d’été de Québec (FEQ) après un concert monstre comme celui d’Imagine Dragons ou une prestation annulée à la dernière minute comme celle des Cowboys Fringants et le réseau d’autobus est vite congestionné. La venue d’un mode lourd comme le tramway permettra de faire circuler tout ce beau monde plus rapidement et plus efficacement, et pourrait même permettre à Québec de rêver à des événements encore plus imposants.
C’est l’analyse que font les spécialistes qui travaillent sur le projet de tramway de Québec. «Avec des trains qui passent aux 3 minutes avec plus de 400 personnes de capacité, on va être en business», illustre Martin Côté, responsable du maintien de la circulation et des services aux citoyens au bureau de projet du tramway de Québec.
À l’heure actuelle, sur la colline Parlementaire, pendant le FEQ, les métrobus articulés peuvent accueillir 125 passagers, par une ou deux portes, aux trois ou quatre minutes.
En comparaison, le tramway, qui en heure de pointe circulera aux 4 minutes et est conçu pour un achalandage normal de 272 personnes, pourra augmenter sa fréquence à trois minutes et sa capacité à 420 passagers, lors de grands événements, où on est plus entassés dans les wagons. Chose impossible pour les autobus. De plus, l’entrée dans le véhicule se fera par sept portes.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Projet - Tramway, Transport en commun.
François Cattapan
Métro Québec
En attendant le tramway, une zone de connexion temporaire sera aménagée au parc Victoria pour les autobus du Réseau de transport de la Capitale (RTC). Un appel d’offres sera lancé par la Ville de Québec pour concrétiser cette réalisation. Les travaux s’amorceront à l’automne.
L’aménagement de ces installations constitue le premier jalon menant au déploiement du réseau de transition. Celui-ci sera mis en place par le RTC pour la durée des travaux d’implantation du tramway. Les détails seront précisés d’ici quelques mois. La zone de connexion sera un élément clé du cheminement en transport en commun dans l’axe nord-sud à partir de 2024, et ce, jusqu’à l’entrée en exploitation du tramway.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Projet - Tramway, Transport en commun.
Source: Stéphanie Martin, Journal de Québec, le 10 juillet 2023
L’ancien dépanneur Couche-Tard situé sur le boulevard René-Lévesque, à l’angle de l’avenue Belvédère, sera acquis par la Ville de Québec en vue du futur tramway. PHOTO DIDIER DEBUSSCHÈRE
Deux anciens postes d’essence du boulevard René-Lévesque deviendront des stations du tramway, avec l’intention de la Ville de Québec d’acquérir le Couche-Tard qui vient de fermer au coin de Belvédère et la décontamination du terrain qu’elle est en voie d’acheter à l’intersection de Cartier. Récemment, le dépanneur Couche-Tard situé au coin de l’avenue Belvédère a fermé ses portes et ses pompes à essence. La porte-parole du Bureau de projet du tramway, Miriam Bard-Dumont, a confirmé au Journal que la Ville a entrepris une procédure pour l’acquérir, afin d’intégrer ce terrain au futur réseau de transport structurant. «La démarche d’acquisition suit son cours.»
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Tramway à Québec, Transport en commun.
Québec, le 4 juillet 2023 – La Ville de Québec et ses partenaires prévoient des mesures d’atténuation pour aider à la circulation et à l’accès au Festival d’été de Québec (FEQ), durant la grève des chauffeurs du Réseau de transport de la capitale (RTC). Alors qu’un achalandage accru dans le secteur de la haute-ville est à prévoir, la Ville de Québec souhaite ainsi assurer la sécurité des résidants, des festivaliers et de tous les usagers de l’espace public.
Accès au centre-ville
Les citoyens sont encouragés à arriver tôt en haute-ville et à privilégier la mobilité active comme le vélo ou la marche. Le covoiturage est également recommandé.
La Ville mettra en place deux zones débarcadères-éclairs où les citoyens pourront être rapidement déposés et récupérés, avant et après les spectacles. Ces zones seront situées aux endroits suivants :
Gare du Palais;
Anneau des plaines d’Abraham.
Une carte en ligne identifiera les espaces de stationnement en périphérie de la haute-ville afin d’aider les citoyens à planifier leur venue.
Sur la Grande Allée, une piste cyclable balisée, de l’avenue Belvédère à l’avenue Taché, favorisera la sécurité des cyclistes. Des espaces situés au jardin Jeanne-d’Arc ainsi qu’à la place de l’Assemblée-Nationale sont disponibles en périphérie des sites du FEQ pour y stationner les vélos.
Les festivaliers en provenance de la Rive-Sud sont invités à utiliser le traversier, notamment pour les piétons et les cyclistes. Une traverse supervisée sera d’ailleurs prévue sur Dalhousie, à la sortie du terminal du Port de Québec.
Comme chaque année, un périmètre festif, à l’intérieur duquel le transport automobile est interdit, sera érigé et fermé dès 16 h. Le Service de police de la Ville de Québec se réserve le droit de fermer ce périmètre plus tôt en journée si l’achalandage du secteur est trop important.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Message d'intérêt public, Transport en commun, Vélo.
Source : Louis Deschênes, Journal de Québec, le 1er juillet 2023
PHOTO D’ARCHIVES STEVENS LEBLANC/JOURNAL DE QUEBEC
Ce que les usagers et les organisateurs du Festival d’été de Québec craignaient est maintenant une réalité : les chauffeurs du Réseau de transport de la Capitale (RTC) sont officiellement en grève depuis ce matin.
Si rien ne se règle d’ici là, les utilisateurs du transport en commun devront se débrouiller autrement à Québec pour deux longues semaines, dont les 11 jours du plus important événement de l’été dans la Vieille-Capitale. Malgré l’avis de grève émis il y a 25 jours, les dernières négociations n’auront finalement pas permis aux deux parties d’en arriver à une entente.
Ainsi, la partie patronale a confirmé tôt samedi que les membres du Syndicat des employés du transport public du Québec Métropolitain inc. déclenchaient une grève du 1er juillet au 16 juillet inclusivement.
À moins d’une entente, la reprise des activités est prévue pour le lundi 17 juillet.
« Nous avons mis les efforts nécessaires pour en arriver à une entente, mais malheureusement l’horloge a sonné. Ça fait plus d’un an que nous sommes sans contrat de travail et que le Syndicat rappelle à l’employeur que la date butoir est le 30 juin pour en arriver à un règlement satisfaisant », a indiqué Hélène Fortin, présidente du Syndicat des employés par communiqué.
« Dans les prochaines heures, nous allons entendre toute sorte de choses, mais ce que j’aimerais qu’on retienne, c’est que l’avis de grève a été envoyé il y a plus de 25 jours. Cela fait 1 an que le dossier aurait pu être réglé par le RTC et ça n’a pas été fait. Si on en est là aujourd’hui, c’est parce qu’il y a eu un manque de volonté de la part de l’employeur », a-t-elle ajouté.
Un groupe d’entraide sur Facebook
Voir aussi : Message d'intérêt public, Transport en commun.
Possible grève au RTC : Marchand veut éviter que les gens soient « pris en otages » Raphaël Beaumont-Drouin (Radio-Canada)
Selon un tribunal, le transport en commun à Québec n’est pas un service essentiel Un extrait: « La seule question soulevée par la présente enquête est la suivante: Une grève des chauffeurs d’autobus du RTC peut-elle avoir pour effet de mettre en danger la santé ou la sécurité publique ».
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Transport en commun.
Stéphanie Martin
Journal de Québec
Les fils et la plateforme du futur tramway, deux sujets qui alimentent les passions dans le débat public. Québec sera-t-elle tapissée d’une toile de fils et séparée en deux par une plateforme infranchissable? Le Journal s’est entretenu avec deux experts du Bureau de projet pour y voir plus clair.
La plateforme du tramway qui a fait tant jaser depuis des mois est déjà dans le paysage, et on peut la voir sur un segment du tracé, à Sainte-Foy.
Les experts du Bureau de projet déplorent véhiculée par certains opposants au projet du fait que la plateforme du tramway «coupera la ville en deux». Or, on peut aller constater de visu ce qu’elle représente réellement, en hauteur et en largeur, sur une section du chemin des Quatre-Bourgeois.
En effet, lorsqu’on a refait le viaduc qui circule au-dessus de l’autoroute Henri-IV, on a déjà conçu et aménagé la dalle de béton qui accueillera le tramway, au centre de la chaussée, explique Benoît Carrier directeur de la division de la conception et de l’intégration, au Bureau de projet du tramway de Québec.
Pour l’observateur distrait, cela ressemble à n’importe quel terre-plein. Sa hauteur est de 15 cm, ou environ la hauteur d’un téléphone cellulaire.
En ce moment, elle est en partie gazonnée et en partie recouverte d’asphalte. C’est temporaire, confirme M. Carrier. Elle est bel et bien conçue pour accueillir les rails du tramway et des rames qui circuleront dans chaque direction. «La largeur complète de l’emprise sur le viaduc est prévue en fonction de la géométrie du tramway. La sous-fondation permet de supporter le véhicule.»
À certains endroits dans la ville, la plateforme sera moins haute. Par exemple, dans le secteur de l’avenue Cartier, elle aura 5 cm de haut, en raison de l’aménagement d’une voie partagée entre les automobilistes, les cyclistes et les piétons.
Actuellement, sur près du tiers du tracé du tramway (7,2 km sur 19,3 km), des fils électriques aériens paraissent dans le paysage. «Avec le tramway, on vient enfouir ça», confirme Benoît Carrier, directeur de la conception, au Bureau de projet du tramway. Résultat: il y aura moins de fils le long de la voie publique. Ce sera particulièrement notable sur René-Lévesque et dans Limoilou, où les réseaux filaires sont au-dessus de la voie publique. Le tramway, quant à lui, nécessite un fil électrifié fin de 1,5 cm de diamètre dans chaque direction et des câbles transversaux de soutien qui seront reliés aux poteaux d’éclairage, installés tous les 40 mètres. Sur 88% du tracé, ces poteaux seront les seuls nécessaires. Les poteaux de bois vont donc disparaître aussi. «Ce sera beaucoup plus intégré et esthétique. Les poteaux seront moins lourds et moins imposants», illustre M. Carrier.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.
Source : Taïeb Moalla, Journal de Québec, le 19 juin 2023
Site du futur pole d’échange pour le tramway entre le boulevard Hochelaga et Laurier a Quebec, lundi le 19 juin 2023. STEVENS LEBLANC/JOURNAL DE QUEBEC
Dans une transaction qui constitue la plus grosse acquisition pour permettre la réalisation du tramway, la Ville de Québec vient de débourser 37 M$ pour mettre la main sur le stationnement du 1200, route de l’Église et y construire le futur pôle d’échanges de Sainte-Foy. C’est ce qu’on peut lire dans un sommaire décisionnel du comité exécutif publié lundi en fin de matinée.
Ce document concerne le stationnement situé au 1200, route de l’Église (Édifice Louis-Philippe-Pigeon), à l’arrière du Canadian Tire, dans le quadrilatère formé par la route de l’Église et les boulevards Laurier et Hochelaga.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Tramway à Québec, Transport en commun.