Julie Dufresne
Radio-Canada
Québec veut assurer l’avenir du transport en commun dans la province en donnant aux villes le pouvoir de taxer ceux qui habitent à proximité des transports collectifs, existants et à venir.
Dans une entrevue à Radio-Canada, le ministre des Transports et responsable de la région de Montréal a indiqué qu’il souhaite utiliser la captation de la plus-value foncière pour financer l’exploitation et le développement des transports collectifs.
En clair : si vous achetez une propriété nouvellement construite à proximité d’un transport collectif existant ou à venir, le gouvernement veut permettre à votre ville d’imposer une taxe qui permettra de le financer
Sustainable Prosperity. The Cost of Sprawl: A Comparison
* We tend to think of the cost of a house as only the price of the mortgage. But in reality, adding more houses to a community requires a lot more than the buildings. Sidewalks, water and wastewater pipes, schools and libraries, police and fire protection, and of course, roads. And whether the costs are paid by the homeowner, the local government, or businesses, the lower density in the suburbs leads to higher costs to operate, maintain and replace all these services.
* Mise à jour: » MONTRÉAL, le 23 févr. 2015 /CNW Telbec/ – À la suite du reportage de Radio-Canada sur la captation de la plus-value foncière, le ministre des Transports et ministre responsable de la région de Montréal, M. Robert Poëti, tient à rétablir les faits.
« Contrairement à ce qui est véhiculé dans le reportage de Radio-Canada, le gouvernement du Québec n’a aucunement l’intention de créer une nouvelle taxe pour les citoyens qui habitent à proximité des services de transport collectif existants et à venir », a déclaré le ministre Poëti. »