Québec, le 12 décembre 2023 – La Ville de Québec dévoile le tracé du premier corridor Vélo cité (CVC). Les travaux pour l’implantation de ce lien cyclable en périphérie reliant Charlesbourg au centre-ville débuteront en 2024 et se poursuivront par phases jusqu’en 2026. Ce premier CVC établira un lien direct entre deux destinations, et ce, avec une accessibilité toute l’année avec des aménagements confortables et sécuritaires adaptés à tous les profils de cyclistes.

En 2024, il est visé que Charlesbourg soit relié à Limoilou, et en 2025, au centre-ville. Le corridor, composé de six tronçons, sera mis en service progressivement au fur et à mesure de la réalisation des travaux sur ces tronçons.

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Ce fut très intéressant. Et l’intégrale sera disponible ici

L’appétit pour les pistes cyclables grandit à Québec Émilie Pelletier (Le Soleil)

Le communiqué de la Ville

Une nouvelle réalité qui s’installe sur le chemin Sainte-Foy alors que la piste cyclable sur le chemin Sainte-Foy entreprend son premier hiver. Voyons voir si cette nouvelle réalité aura l’approbation des résidents du secteur.

Québec, le 20 novembre 2023 – La Ville de Québec dévoile aujourd’hui les résultats d’un récent sondage portant sur la mobilité sur son territoire. Du côté des habitudes de déplacement, les données recueillies démontrent que près des deux tiers (64 %) des citoyens utilisent leur automobile comme principal moyen de transport contre 13 % pour la marche et 8 % pour le transport en commun. On note aussi que la jeune génération (18-34 ans) est plus nombreuse à adopter les nouveaux services de mobilité (àVélo, Flexibus, Communauto, etc.).

Questionnés sur leur satisfaction quant à l’efficacité de leurs déplacements dans le réseau actuel, les utilisateurs du transport actif se disent satisfaits à 85 % de leurs déplacements à vélo et à 84 % de leurs déplacements à la marche, en comparaison à 74 % pour leurs déplacements en voiture. Fait intéressant, la majorité des répondants seraient ouverts à utiliser plus souvent les transports actifs (62 %) et le transport en commun (56 %) si les infrastructures étaient améliorées.

« Ce sondage valide la pertinence de notre approche en matière de mobilité active, qui mise notamment sur l’accélération du développement et la bonification du confort et de l’efficacité sur les réseaux piétonniers et cyclables, s’est exprimé le vice-président du comité exécutif responsable du transport et de la mobilité, M. Pierre-Luc Lachance. Notre vision est d‘avoir une ville qui offre des possibilités de déplacements sans opposer les modes de transport l’un à l’autre. Nous sommes déterminés à créer un environnement où la mobilité sera pleinement inclusive pour tous les citoyens. »

La cohabitation entre les différents modes de transport reste la principale source d’insatisfaction chez tous les répondants, peu importe le mode de transport privilégié. En effet, 53 % des cyclistes et 41 % des piétons se disent insatisfaits de la cohabitation avec les automobilistes. À l’inverse 54 % des automobilistes sont mécontents de la cohabitation avec les piétons et les cyclistes.

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Les résultats du sondage

Le communiqué de la Ville de Québec

Un extrait: « Parmi les améliorations en cours, mentionnons :

L’ajout de 61 km de trottoirs déneigés (total d’environ 1 300 km);
L’ajout de 13,4 km de corridors cyclables déneigés par rapport à l’année dernière (total de 121,3 km);
La mise en service de sept nouveaux équipements de grattage équipés de brise-glace pour les trottoirs;
Un projet pilote sur l’interdiction de stationner du côté trottoir pour les rues étroites;
Concernant les liens cyclables hivernaux, ils sont traités en priorité 1. Toutefois, pendant ou après une opération de déblaiement, la neige entassée en bordure de rue peut les rendre partiellement inaccessibles. Un délai de 24 à 48 h après le déclenchement d’une opération d’enlèvement est à prévoir afin que les liens cyclables soient complètement praticables ».

àVélo a connu un grand succès pour sa troisième saison : au total, ce sont plus de 26 000 clients qui ont réalisé 670 782 déplacements durant la saison, qui a pris fin le 31 octobre dernier. Rappelons que l’objectif pour la saison était d’enregistrer 350 000 déplacements, et a été atteint à la mi-saison seulement.

(…)

Plusieurs bonifications ont été apportées au service dans les derniers mois. D’abord, en collaboration avec la Ville de Québec, 23 % des stations ont été électrifiées afin d’améliorer l’expérience des usagers. Les travaux se poursuivent afin d’augmenter significativement le nombre de stations électrifiées pour le début de la prochaine saison. De plus, certaines stations plus achalandées ont été agrandies afin de mieux répondre à la demande des usagers.

Pour la prochaine saison, le plan initial d’àVélo sera bonifié : plutôt que 100 stations et 1 000 vélos, ce sont 115 stations et 1 300 vélos qui seront disponibles afin de répondre à la demande grandissante. Les emplacements des nouvelles stations seront présentés ultérieurement.

(…)

Pour faciliter les déplacements des cyclistes durant la période hivernale, le RTC offrira désormais le service de supports VéloBus toute l’année sur les véhicules qui desservent les parcours Métrobus 800, 801, 802, 804 et 807. Avec ce projet, le RTC poursuit son leadership en ce qui concerne l’offre de mobilité, en contribuant à l’engouement des citoyens pour la mobilité active et les modes de déplacement alternatifs.

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Stéphanie Martin
Journal de Québec

LYON | Bruno Marchand fait le pari que son plan d’accroître les corridors vélo à Québec offrira plus de fluidité aux autos. Il présentera d’ailleurs bientôt une carte complète du futur réseau cyclable à Québec.

À sa dernière journée à Lyon, le maire de Québec a rencontré les responsables du réseau cyclable de la Métropole, qui lui ont présenté leur ambitieux projet de doter Lyon d’un réseau cyclable de 355 km de voies, qui couvriront tout le territoire d’ici 2030.

Le maire de Québec a lui aussi beaucoup d’ambition en cette matière. Et loin de vouloir «faire la guerre à l’auto», comme lui reprochent certains, il est convaincu qu’avec le nouveau partage de la route qu’apporteront les pistes cyclables, «même celui qui utilise son auto est gagnant».

Pas de statu quo

«On n’arrivera pas à conserver nos grands axes fluides en conservant le statu quo. Les automobilistes vont attendre plus longtemps chaque année qui va passer. On veut faire en sorte qu’il passe plus de gens dans le même axe.»

En auto, en vélo, ou à pied.

C’est déjà ce qu’on veut mesurer sur le nouvel axe cyclable du chemin Sainte-Foy, dit-il.

«C’est contre-intuitif totalement», admet-il, et cela ne veut pas dire qu’on enlèvera une voie partout pour créer des voies cyclables. Mais là où on le fera, «en permettant à des gens de voyager à vélo ou à pied, ça permet à des gens qui sont en auto d’avoir plus d’espace. Parce qu’on prend des usagers qui sont en auto et on les met dans le transport collectif et on leur propose le vélo et la marche et ça libère des espaces.»

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Mardi 12 septembre 2023, à 19 h (séance en présentiel)
Lieu : Centre des loisirs Saint-Sacrement 1360, boulevard de l’Entente

L’ordre du jour

Lien cyclable sur Chemin Sainte-Foy : des ajustements, mais pas de retour en arrière Simon Bélanger Monmontcalm

Mise à jour: « Hier soir, une bonne partie de la réunion du Conseil de quartier St-Sacrement a porté sur la nouvelle voie cyclable du chemin Ste-Foy. Trois experts de la ville de Québec ont d’abord fait un exposé très professionnel et responsable sur l’état de situation de cette piste après quelques semaines d’expérimentation. Puis, il y eu une période d’interventions du public présent. Il en est ressorti entre autres une critique significative à l’égard des cyclistes lors de leurs passages sur les feux piétons. Plusieurs cyclistes passeraient ces feux sans ralentir et des piétons s’y sentent souvent insécures. Alors, passons-nous le mot comme cyclistes: respectons la loi et ces gens: un arrêt complet au feu piéton puis un passage à distance de tout piéton. C’est si simple ! N’oublions pas qu’une collision à une vitesse aussi basse que 10-15 km / h. peut blesser sérieusement une personne, surtout un enfant ou un(e) aîné(e). Il en va aussi de notre crédibilité comme usager de la route ».

Québec, le 8 août 2023 – Alors qu’àVélo en est seulement à sa mi-saison, l’objectif d’enregistrer 350 000 déplacements au terme de la saison a déjà été atteint. Rappelons que cette année, ce sont 74 stations et 780 vélos qui sont disponibles.

« Atteindre l’objectif de déplacements si tôt témoigne de la demande grandissante pour àVélo, qui fait désormais partie des habitudes de déplacements de plusieurs. L’engouement pour ce service n’est plus à prouver, et nous allons poursuivre son déploiement pour que de plus en plus de citoyens puissent faire le choix de la mobilité active » a souligné Maude Mercier Larouche, présidente du RTC.

Afin d’optimiser l’expérience des clients, plusieurs améliorations ont été apportées au service depuis le 1er mai. Les stations du Parc de la Francophonie, de la Place Jacques-Cartier et du Parc Roger-Lemelin ont été agrandies pour pouvoir répondre à une plus grande demande. De plus, en collaboration avec la Ville de Québec, 12 stations ont été électrifiées afin d’améliorer l’expérience des clients. Électrifier les stations permet aux batteries de se recharger à même les ancrages, ce qui bonifie la disponibilité des vélos et facilite l’exploitation du service. Les travaux pour électrifier les stations vont se poursuivre dans les prochaines semaines, avec l’objectif d’avoir près de 50 % des stations électrifiées dans les prochaines années.

Le service àVélo est disponible jusqu’au 31 octobre prochain. Au terme de la saison, un bilan complet sera publié.

àVélo

Le communiqué

* Il ne manque qu’une entente RTC/Commission de la capitale nationale pour que àVélo soit présent le long du boulevard Champlain. Avec les nouvelles stations qui sont extrêmement populaires, un circuit d’autobus uniquement en fin de semaine (et dont on cherche les arrêts), et des stationnements pleins (75 places à la Station de la plage qui est un succès monstre, 140 places à la Station de la voile un peu plus loin et un stationnement en bas de la Côte de Sillery toujours pleinement occupé), les vélos électriques seraient fort appréciés

Simon Carmichael
Le Soleil

Les Lévisiens se sentent très en sécurité en voiture, selon un sondage commandé par l’administration Lehouillier. Mais si les automobilistes se disent aux anges, les cyclistes, eux, trouvent que les routes de la Rive-Sud sont beaucoup plus hostiles.

Le coup de sonde mené par la firme SOM pour la Ville de Lévis est sans équivoque : 96 % du millier de répondants se sent en sécurité en circulant sur les routes lévisiennes. De Pintendre à Breakeyville, on se satisfait de l’aménagement des voies de circulation.

Le résultat ravit Lévis, qui se prépare à l’élaboration d’une stratégie pour améliorer la sécurité de ses routes.

Sans surprise, l’écrasante majorité des répondants de l’étude se définit d’abord et avant tout comme automobiliste. Et elle se sent en sécurité.

Mais le diable est dans les détails. Quand on s’éloigne de la voiture, un « drapeau rouge » se lève, explique le directeur des transports et de la mobilité durable de la Ville, David Boudreault.

Les cyclistes de Lévis sont nombreux à se sentir en danger en se promenant en bordure des routes de leur ville.

Environ 40 % d’entre eux juge que la Rive-Sud est « peu », voire « pas du tout sécuritaire » pour les vélos en été. En hiver, cette proportion passe à 55%.

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