Source: Karine Gagnon Le Journal de Québec, 30 août 2006

C’était l’heure du souper. Les ouvriers qui s’affairaient à construire le pont de Québec terminaient leur journée. Il y a eu un grand bruit et la nouvelle a commencé à circuler: le pont s’était effondré et il y avait beaucoup de morts.»

Auteur de trois ouvrages sur l’histoire du pont de Québec, Michel L’Hébreux connaît par coeur l’histoire des deux grandes tragédies qui ont marqué sa construction. Aussi s’est-il joint, hier, aux activités de commémoration, 99 ans après le premier effondrement de la structure, qui a entraîné 76 ouvriers dans la mort.

C’était le 29 août 1907. Le pont de Québec devait devenir le dernier chaînon du chemin de fer transcontinental, après 50 ans de pourparlers. «Il y avait une centaine d’ouvriers sur le pont, lorsqu’il s’est écroulé, dont un bon nombre de Mohawks, qui avaient développé une grande expertise dans le domaine de la construction de grandes structures», rappelle M. L’Hébreux. Parmi les victimes figurent d’ailleurs 33 Mohawks ainsi que 21 résidants de la région de Québec, dont une forte majorité de la Rive-Sud.

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Source: Louis-Guy Lemieux Le Soleil, 17 juillet 2006

Les gens de la région l’appellent, affectueusement, le « vieux » pont de Québec. C’est probablement le manque scandaleux d’entretien qui le fait paraître plus vieux que son âge. Le pont cantilever le plus long au monde, avec ses 549 mètres de portée libre entre ses piliers principaux, a été inauguré, le 22 août 1919, par le prince de Galles et une belle brochette de notables.

Voir la suite. Et aussi cet autre article de l’auteur.

Source: Site internet Nos Racines

Ce territoire du cap jusqu’au bassin Louise n’a pas toujours été ce qu’il est maintenant. Il faut se rappeler qu’au temps de Samuel-de Champlain et ce jusqu’au 19e siècle, il y avait seulement des terres qui longeaient le Cap aux Diamants, d’ailleurs les gens qui avaient construit sur ces terrains passaient par la grève, sinon par canot lors des hautes marées. Certains chanceux se sont pratiqué des passages par derrière leurs maisons pour entrer et sortir par le haut des côtes qu’ils y avaient dans ces temps-là (exemple côte du Séminaire…)

D’ailleurs un certain Nicolas-Gaspard Boucault (en 1754) dans un mémoire suggérait des améliorations à apporter à la basse-ville dans ce secteur. De construire de fortes murailles qu’on faisaient ensuite remplir de terres pour éloigner la marée, ce qui permettrait de construire non seulement des Quais mais aussi des résidences. Murailles qui pouvaient servir de fortification en cas d’invasion ennemi.

Source: Denis Fortin Québec Hebdo, 13 juin 2006

La Fête nationale du 24 juin trouve ses origines dans un passé immémorial. Historiquement, elle a été associée aux célébrations antiques du solstice d’été, de même qu’aux fêtes agraires marquant le début de la belle saison.

Durant le premier millénaire de notre ère, l’Église avait placé le caractère rituel et sacré de la fête du solstice d’été sous le patronage de Saint-Jean-Baptiste. Cette fête chrétienne, rapidement devenue la Saint-Jean, a été importée d’Europe par nos ancêtres, au début de la colonisation.
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Sources diverses : Livres d’histoires de Québec des éditions de l’homme, ainsi que des livrets de l’histoire des quartiers, des publications du Québec.

En lisant la nouvelle de la construction de condos dans Sillery, ce n’est pas la première fois, que des communautés religieuses vendent des parcelles de terrains pour raisons financières.

Il faut se rappeler que bon nombre du territoire de la ville de Québec dans les années 1800 et au début du 20e siècle appartenaient a des communautés religieuses. Donc, des quartiers comme St-Sauveur, St-Roch, Montcalm et St-Sacrement; une bonne partie de ceux-ci, appartenaient aux communautés qui les ont vendus pour l’argent et aussi le besoin de la ville de Québec d’accroître son territoire.

Je me souviens d’avoir lu, que pour la naissance du quartier Montcalm aux alentours de 1920, les religieuses avaient vendu des terrains (avec un bon profit) à conditions que les résidences construites soient d’une valeur entre 5000 et 8000 $ ce qui correspond à des résidences de 250 000 ou 300 000$ dollars maintenant.

Ce que je viens de vous partager, c’est de mémoire…

Source: Wikipédia (L’encyclopédie libre).

Le Sommet des Amériques qui eut lieu dans la ville de Québec, au Canada durant la fin de semaine du 20 avril 2001 était le lieu des pourparlers concernant la proposition de Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA). La rencontre est probablement mieux connue pour l’ensemble de dispositifs de sécurité mis en place pour l’événement et pour les nombreuses manifestations civiles qui entourèrent les négociations. (…)

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Source: Commission de la capitale nationale (communiqué), 10 avril 2006.

Québec, le lundi 10 avril 2006. – La Commission de la capitale nationale du Québec est heureuse de profiter de la tenue à Québec du 41e congrès de l’Association québécoise du transport et des routes pour publier un ouvrage retraçant l’histoire des transports dans la capitale, des origines à nos jours. (…)

Pour réaliser ce document souvenir, la Commission de la capitale nationale du Québec a invité M. Jean Provencher, historien, à redécouvrir l’histoire des transports dans la capitale. Il nous raconte d’où nous venons pour nous aider à mieux comprendre où nous allons. (…)

La suite. Voir aussi cet autre billet.

En passant: c’est du 19 au 23 avril qu’aura lieu cette année le Salon international du livre de Québec!

Merci à Gérald Gobeil pour nous avoir signalé cette publication!

L’avez-vous ressenti? Moi, non, hélas, contrairement au dernier séisme perceptible (et plus fort) dans la région, celui du 6 mars 2005.

Compte rendu (Commission géologique du Canada). Voir aussi ce dossier portant sur le tremblement de terre de novembre 1988.

À la fin du XIXe siècle, les nombreux véhicules qui y circulent tracent des roulières dans la terre battue. Les piétons échappent à ce boubier des jours de pluie en marchant sur un trottoir de bois.

Aujourd’hui, le Complexe Méduse [billet] occupe le centre de ce site.

Image historique et citation tirées de Québec, une histoire capitale [billet].

Voir aussi cet autre billet.

Attendue ici avec la même intensité, la « Supertempête » de l’Est américain n’aura finalement déposé qu’un « maigre » 25 cm de neige sur Québec, accompagné de vents dépassant 80 km/h au cours de la nuit. Mais vers 7h00, la pression atmosphérique au niveau de la mer tombait à 96,5 kPa, battant le record mensuel du 4 mars 1971 [billet].

Coincidant avec de grandes marées (plus de 7 mètres à Québec), cette basse pression engendra en matinée des inondations d’une rare étendue dans le secteur du Vieux Port, comme en témoignent les deux photos ci-haut…

À consulter: Superstorm ’93 et Marées (Atlas du Canada).